Le plafond légal de la dette américaine atteint à la mi-octobre

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Le plafond légal de la dette des États-Unis sera atteint « mi-octobre » et doit être rehaussé par le Congrès d'ici là pour éviter un défaut de paiement, a indiqué lundi le secrétaire américain au Trésor.

« À cette date, les États-Unis auront atteint la limite de leurs possibilités légales d'emprunter et le Trésor devra financer le gouvernement avec les seules liquidités dont il disposera », écrit Jacob Lew dans une lettre envoyée aux responsables du Congrès et rendue publique par le ministère.

« Le Congrès doit agir avant la mi-octobre [afin de] supprimer la menace d'un défaut de paiement », urge-t-il. Si les investisseurs venaient à ne plus vouloir prêter de l'argent aux États-Unis, les États-Unis pourraient être confrontés à une pénurie de liquidités immédiate ».

M. Lew précise dans sa missive qu'à la mi-octobre, le Trésor ne sera plus en possession que de 50 milliards de dollars dans ses caisses - un montant que les dépenses nettes de l'administration peuvent « parfois » dépasser en une seule journée.

Un débat récurrent

Le plafond de la dette fait l'objet d'une intense bataille depuis plusieurs années à Washington, les républicains refusant systématiquement de l'augmenter durablement.

Ce plafond avait été atteint une première fois au début de 2013. Il avait été relevé temporairement à 16 700 milliards de dollars - son niveau actuel - grâce à un compromis entre démocrates et républicains.

Depuis, l'administration a eu recours à des mesures extraordinaires pour éviter de dépasser cette nouvelle limite.

On croyait jusqu'à aujourd'hui que le plafond serait atteint à la mi-septembre.

À l'été 2011, un précédent blocage politique sur le sujet avait conduit l'agence de notation Standard and

Poor's à priver les États-Unis de leur prestigieux « triple A ».

Lettre au Congrès de Jacob Lew.pdf by Radio-Canada
 

Jelis

VIB
Le plafond légal de la dette des États-Unis sera atteint « mi-octobre » et doit être rehaussé par le Congrès d'ici là pour éviter un défaut de paiement, a indiqué lundi le secrétaire américain au Trésor.

« À cette date, les États-Unis auront atteint la limite de leurs possibilités légales d'emprunter et le Trésor devra financer le gouvernement avec les seules liquidités dont il disposera », écrit Jacob Lew dans une lettre envoyée aux responsables du Congrès et rendue publique par le ministère.

« Le Congrès doit agir avant la mi-octobre [afin de] supprimer la menace d'un défaut de paiement », urge-t-il. Si les investisseurs venaient à ne plus vouloir prêter de l'argent aux États-Unis, les États-Unis pourraient être confrontés à une pénurie de liquidités immédiate ».

M. Lew précise dans sa missive qu'à la mi-octobre, le Trésor ne sera plus en possession que de 50 milliards de dollars dans ses caisses - un montant que les dépenses nettes de l'administration peuvent « parfois » dépasser en une seule journée.

Un débat récurrent

Le plafond de la dette fait l'objet d'une intense bataille depuis plusieurs années à Washington, les républicains refusant systématiquement de l'augmenter durablement.

Ce plafond avait été atteint une première fois au début de 2013. Il avait été relevé temporairement à 16 700 milliards de dollars - son niveau actuel - grâce à un compromis entre démocrates et républicains.

Depuis, l'administration a eu recours à des mesures extraordinaires pour éviter de dépasser cette nouvelle limite.

On croyait jusqu'à aujourd'hui que le plafond serait atteint à la mi-septembre.

À l'été 2011, un précédent blocage politique sur le sujet avait conduit l'agence de notation Standard and

Poor's à priver les États-Unis de leur prestigieux « triple A ».

Lettre au Congrès de Jacob Lew.pdf by Radio-Canada

Quand on est impuissant à l'intérieur on bombe le torse à l'extérieur... pas étonnant de retrouver nos trois mousquetaires aussi excités dans les dossiers internationaux que discrets (pour ne pas dire discrédités) sur leurs scènes politiques respectives.

Solutionner l'économie non, jouer aux soldats de plomb oui.
 

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Quand on est impuissant à l'intérieur on bombe le torse à l'extérieur... pas étonnant de retrouver nos trois mousquetaires aussi excités dans les dossiers internationaux que discrets (pour ne pas dire discrédités) sur leurs scènes politiques respectives.

Solutionner l'économie non, jouer aux soldats de plomb oui.

Bon... apparemment toi tu ne connais pas trop bien le fonctionnement des USA.... ce bloquage n'en est pas vraiment un. Ce genre de situation se produit 1 à 2 fois par mandat présidentiel depuis 1945....
 
Et ce serait donc une solution que de creuser toujours un peu plus le trou?

Je ne vois pas le rapport... Les états unis sont assez "grand" pour décider ce qu'ils font... et apparemment ça marche... ils ont un PIB égale à l'Union européenne c'est à dire un PIB de 27 pays!!
15% de plus que la chine qui a 5 fois la population des US
4 fois plus que l'Inde qui a 4 fois la population des US
100 fois plus que le Maroc....

Le seul trou que les US sont entrain de creuser c'est nos tombes!
 
Je ne vois pas le rapport... Les états unis sont assez "grand" pour décider ce qu'ils font... et apparemment ça marche... ils ont un PIB égale à l'Union européenne c'est à dire un PIB de 27 pays!!
15% de plus que la chine qui a 5 fois la population des US
4 fois plus que l'Inde qui a 4 fois la population des US
100 fois plus que le Maroc....

Le seul trou que les US sont entrain de creuser c'est nos tombes!


Pour un pays ultra-libéral, ce n'est pas très difficile que d'afficher un indicateur (qui prend évidemment en compte les éléments à leur convenance) avec une note aussi élevée.

Ils creusent bel et bien leurs propres tombes, malheureusement vu leur influence, le monde entier basculera avec eux.
 
Pour un pays ultra-libéral, ce n'est pas très difficile que d'afficher un indicateur (qui prend évidemment en compte les éléments à leur convenance) avec une note aussi élevée.

Ils creusent bel et bien leurs propres tombes, malheureusement vu leur influence, le monde entier basculera avec eux.

Les USA ne tomberont pas avant 2100 tu peu en être sur.... et moi et toi seront certainement mort à cette date là donc comme Milton Keynes la si bien dit quand quelqu'un lui a demandé son avis sur l'économy à long terme.... "In the long term... i really don't care".
 

Jelis

VIB

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Je ne vois pas le rapport... Les états unis sont assez "grand" pour décider ce qu'ils font... et apparemment ça marche... ils ont un PIB égale à l'Union européenne c'est à dire un PIB de 27 pays!!
15% de plus que la chine qui a 5 fois la population des US
4 fois plus que l'Inde qui a 4 fois la population des US
100 fois plus que le Maroc....

Le seul trou que les US sont entrain de creuser c'est nos tombes!
Tu sais c'est très facile de faire grossir des pnb . Fabriquer une chemise un pantalon à l'étranger
pour 5 $ et la ou le revendre 12 $ cela fait grossir le BIDE .
Sur 310 millions d'habitants environ combien de pauvres au ticket rationnement ? quel est le salaire minimum ?
Combien de chômeurs réels ? combien de prisonniers ? taux de criminalité ? clandestins ? etc
Sans la photocopieuse de la feb ils seraient morts depuis longtemps et l'entité avec . En 71 ils sont sortis
de l'étalon OR avec l'aide des séouds . Ils ne payent rien leur vraie dette 80 000 millards de $ .
Il font des virements électroniques pour l'entité et pour des gouv larbins .
l'euro est un peu plus crédible car il y a des critères à respecter .
Le Yen la livre anglaise c'est pareil c'est de la planche à billets mais les Japonais sont détenteurs
de leur dette .
 
Dernière édition:
Les USA ne tomberont pas avant 2100 tu peu en être sur.... et moi et toi seront certainement mort à cette date là donc comme Milton Keynes la si bien dit quand quelqu'un lui a demandé son avis sur l'économy à long terme.... "In the long term... i really don't care".
Fais bien attention à ce que tu écris en croyant ceci ou cela tu aurais des surprises .
 
Tu sais c'est très facile de faire grossir des pnb . Fabriquer une chemise un pantalon à l'étranger
pour 5 $ et la ou le revendre 12 $ cela fait grossir le BIDE .
Sur 310 millions d'habitants environ combien de pauvres au ticket rationnement ? quel est le salaire minimum ?
Combien de chômeurs réels ? combien de prisonniers ? taux de criminalité ? clandestins ? etc
Sans la photocopieuse de la feb ils seraient morts depuis longtemps et l'entité avec . En 71 ils sont sortis
de l'étalon OR avec l'aide des séouds . Ils ne payent rien leur vraie dette 80 000 millards de $ .
Il font des virements électroniques pour l'entité et pour des gouv larbins .
l'euro est un peu plus crédible car il y a des critères à respecter .
Le Yen la livre anglaise c'est pareil c'est de la planche à billets mais les Japonais sont détenteurs
de leur dette .
Alors: 30 millions sous le seuil de pauvreté. Salaire minimum, $8,33 par heure. Chaumeur déclaré 9,6%. Nombre de prisoniers 1,7 million et 4,3 million en liberté conditionnelle. Taux de criminalité je ne sais pas. Clandestin 11 million. Le fait qu'ils aient survecu 71 est parce que le monde a eu confiance en leur economie. Tu ne peux pas renier leur superiorité technologique, militaire ni economique. Le reste de ce que tu racontes c du bla bla
 

Drianke

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Contributeur
Etats-Unis: le secrétaire au Trésor appelle à relever le plafond de la dette
17 septembre, 2013



Ils sont foutus, mais ils continuent quand même sans que personne ne dise rien. Bref, ils repoussent encore le plafond de la dette qui leur permet de ne pas être en défaut de paiement, et encore, et encore, et encore… Rendez-vous compte, depuis le président Reagan, le plafond de la dette a été relevé plus de 30 fois!!! Cela fait des années que les USA auraient dû voir leur économie s’effondrer complètement, et le reste des pays de la planète laissent faire car c’est cela ou affronter un tsunami financier pire que 1929 (et qui arrivera de toute manière!). Nous y revenons systématiquement de toute manière, avec les USA, tout n’est que mensonge finalement…

http://lesmoutonsenrages.fr/
 
Je ne vois pas le rapport... Les états unis sont assez "grand" pour décider ce qu'ils font... et apparemment ça marche... ils ont un PIB égale à l'Union européenne c'est à dire un PIB de 27 pays!!
15% de plus que la chine qui a 5 fois la population des US
4 fois plus que l'Inde qui a 4 fois la population des US
100 fois plus que le Maroc....

Le seul trou que les US sont entrain de creuser c'est nos tombes!


faut vite que t'ailles lire

"le complot de la reserve fédérale" de Antony Sutton

Ensuite tu pourras parler precisement du probleme
 
Tu sais c'est très facile de faire grossir des pnb . Fabriquer une chemise un pantalon à l'étranger
pour 5 $ et la ou le revendre 12 $ cela fait grossir le BIDE .
Sur 310 millions d'habitants environ combien de pauvres au ticket rationnement ? quel est le salaire minimum ?
Combien de chômeurs réels ? combien de prisonniers ? taux de criminalité ? clandestins ? etc
Sans la photocopieuse de la feb ils seraient morts depuis longtemps et l'entité avec . En 71 ils sont sortis
de l'étalon OR avec l'aide des séouds . Ils ne payent rien leur vraie dette 80 000 millards de $ .
Il font des virements électroniques pour l'entité et pour des gouv larbins .
l'euro est un peu plus crédible car il y a des critères à respecter .
Le Yen la livre anglaise c'est pareil c'est de la planche à billets mais les Japonais sont détenteurs
de leur dette .
Alors: 30 millions sous le seuil de pauvreté. Salaire minimum, $8,33 par heure. Chaumeur déclaré 9,6%. Nombre de prisoniers 1,7 million et 4,3 million en liberté conditionnelle. Taux de criminalité je ne sais pas. Clandestin 11 million. Le fait qu'ils aient survecu 71 est parce que le monde a eu confiance en leur economie. Tu ne peux pas renier leur superiorité technologique, militaire ni economique. Le reste de ce que tu racontes c du bla bla


Les USA ne tiennent que parce que le dollar est la monnaie de reference a l'international

quand ce role sera remis en cause ils connaitront la VRAI CRISE
 

benami

Premier Сasual Dating Legitimate Girls
quand ce role sera remis en cause ils connaitront la VRAI CRISE
Ils ont la planche à billets et ils vivent à crédit depuis 1945... Et tout le monde continue à acheter leur papiers en bons du trésor!...
 

Drianke

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Contributeur
Les organismes fédéraux américains doivent se préparer à un « arrêt du gouvernement » suivant la Maison-Blanche
18 septembre, 2013


Le relèvement du plafond de la dette relevé plus d’une trentaine de fois depuis Reagan n’est plus une surprise, surtout qu’ils ne parviennent plus à cacher la situation financière catastrophique du pays avec pratiquement 50 millions d’américains vivant sous le seuil de pauvreté. Le prochain relèvement du plafond n’étant pas encore garanti, le gouvernement a prévenu ses agences gouvernementales qu’elles devaient se préparer au pire si le congrès ne parvenait pas à adopter une mesure de financement d’ici la fin du mois. En clair, tous les voyants sont au rouge et le pire peut encore arriver le 1er octobre.

La Maison Blanche a déclaré mardi aux organismes fédéraux, qu’ils pouvaient se préparer à un arrêt du gouvernement. La directrice du budget du président Obama Sylvia Matthews Burwell, dans une note aux agences, a dit qu’ils devraient lancer « leurs plans » au cas où Congrès ne parvienne pas à adopter une mesure de financement d’ici la fin du mois. Le gouvernement serait fermé le 1 octobre sans action par le Congrès.

Alors qu’il est temps pour le Congrès d’agir, Burwell a écrit que «gestion prudente» oblige, les organismes doivent se préparer à un arrêt. Seules les activités qui sont requises par la loi seraient autorisées à continuer à fonctionner durant cette période.

traduction partielle en français par les moutons enragés

http://thehill.com/blogs/on-the-mon...-should-prepare-for-shutdown-white-house-says
 

Drianke

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Contributeur
USA: Washington se prépare à renvoyer ses fonctionnaires chez eux, comme en 1995

Plus qu’une semaine avant le black out du gouvernement aux USA! Le 1er octobre, s’ils ne sont pas parvenus à trouver une solution qui prolongera la vie de l’économie comateuse du pays, alors nous assisterons à une chute de dominos sans précédent, tout se confirme pour l’instant… Mais ne les sous-estimons pas, rien qu’avec la FED, il ont déjà réussi des miracles que même la ville de Lourdes leur envie!

L’État fédéral américain se prépare à mettre des centaines de milliers de fonctionnaires non essentiels en congés sans solde d’ici une semaine, en cas d’impasse budgétaire persistante au Congrès, un scénario observé en 1995 sous la présidence de Bill Clinton.

Les agences fédérales ont reçu l’ordre la semaine dernière de se préparer au pire. « Il reste encore assez de temps pour que le Congrès empêche un trou dans le budget », a écrit mardi dernier Sylvia Burwell, équivalente du ministre du Budget. « Mais une gestion prudente oblige les agences à être prêtes à la possibilité d’un trou ».
En 2011, lors d’une situation similaire, l’administration de Barack Obama estimait qu’environ 800’000 fonctionnaires, sur 2,1 millions, seraient concernés.

Selon la loi, le Congrès doit impérativement voter des crédits pour que l’Etat fédéral continue de fonctionner normalement après la fin de l’exercice 2013, lundi 30 septembre à 23H59.

Mais le Congrès est divisé entre une Chambre des représentants à majorité républicaine et un Sénat démocrate. La situation est souvent résolue au dernier moment, mais cette fois les premiers refusent de financer l’État tant que la réforme de la santé du président, qu’ils contestent, reste financée. Le Sénat devrait amender cette semaine le projet de budget temporaire (jusqu’au 15 décembre) adopté jeudi par la Chambre, qui devra alors revoter.
La situation fait écho à l’automne 1995, quand un autre président démocrate, Bill Clinton, s’opposait à un Congrès cette fois complètement aux mains des républicains, qui avaient raflé le contrôle des deux chambres lors des législatives de 1994.

PARCS ET MUSÉES FERMÉS
Les deux camps parient alors chacun que l’autre flanchera le premier, et après le veto de Bill Clinton contre un projet de budget jugé trop austère, le 13 novembre 1995 le gouvernement fédéral met environ 800.000 fonctionnaires en congés sans solde, pendant cinq jours: c’est le « shutdown », un mécanisme immortalisé en 2003 dans la série télévisée « A la Maison Blanche », créée par Aaron Sorkin.

« Ils ne savaient pas comment ça tournerait, mais pensaient que l’opinion placerait la faute sur la Maison Blanche et Clinton », dit l’historien Steve Gillon, auteur d’un livre sur les années Clinton (« The Pact: Bill Clinton, Newt Gingrich, and the rivalry that defined a generation »).

Le Congrès vote alors quelques semaines de financements supplémentaires, mais le 15 décembre c’est à nouveau l’impasse. Pendant 21 jours, jusqu’au 6 janvier, environ 284.000 fonctionnaires sont mis au chômage technique, selon un rapport des services de recherche du Congrès de 1997. Environ 475.000 autres continueront de travailler sans être payés.

Les services essentiels et régaliens (armée, FBI, justice, sécurité nationale, contrôle aérien…) sont exemptés, mais les programmes jugés non essentiels sont fermés.

Les Instituts nationaux de santé n’acceptent plus de nouveaux patients pour leurs projets de recherche clinique. Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), vigie sanitaire du pays, suspendent la surveillance des maladies.

Des chantiers de dépollution sont arrêtés. Les forces de l’ordre fédérales suspendent les recrutements et certaines formations. Des dizaines de milliers de demandes de visas et de passeports ne sont pas traitées.
A Washington en novembre, dont le budget dépend du Congrès, les poubelles ne sont pas ramassées pendant plusieurs jours.

L’effet le plus visible concerne le tourisme: la totalité des 368 sites et parcs naturels gérés par le National Park Service sont immédiatement fermés, de même que tous les musées nationaux, notamment à Washington, affectant ainsi 7 millions de touristes, selon le gouvernement.

Le retour à la normale ne sera acté qu’après le constat d’échec du président de la Chambre Newt Gingrich, finalement jugé responsable par l’opinion. Le compromis prévoit un retour du budget à l’équilibre en sept ans.
L’épisode illustre, selon Steven Gillon, « l’avantage institutionnel du président » dans ce type de bras-de-fer. Il prédit que « les républicains paieront un prix politique » si l’État fédéral est contraint à la fermeture partielle en octobre.

Quant aux fonctionnaires, ils ont tous récupéré leurs arriérés de salaires.
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Le plafond légal de la dette des États-Unis sera atteint « mi-octobre » et doit être rehaussé par le Congrès d'ici là pour éviter un défaut de paiement, a indiqué lundi le secrétaire américain au Trésor.

« À cette date, les États-Unis auront atteint la limite de leurs possibilités légales d'emprunter et le Trésor devra financer le gouvernement avec les seules liquidités dont il disposera », écrit Jacob Lew dans une lettre envoyée aux responsables du Congrès et rendue publique par le ministère.

« Le Congrès doit agir avant la mi-octobre [afin de] supprimer la menace d'un défaut de paiement », urge-t-il. Si les investisseurs venaient à ne plus vouloir prêter de l'argent aux États-Unis, les États-Unis pourraient être confrontés à une pénurie de liquidités immédiate ».

M. Lew précise dans sa missive qu'à la mi-octobre, le Trésor ne sera plus en possession que de 50 milliards de dollars dans ses caisses - un montant que les dépenses nettes de l'administration peuvent « parfois » dépasser en une seule journée.

Un débat récurrent

Le plafond de la dette fait l'objet d'une intense bataille depuis plusieurs années à Washington, les républicains refusant systématiquement de l'augmenter durablement.

Ce plafond avait été atteint une première fois au début de 2013. Il avait été relevé temporairement à 16 700 milliards de dollars - son niveau actuel - grâce à un compromis entre démocrates et républicains.

Depuis, l'administration a eu recours à des mesures extraordinaires pour éviter de dépasser cette nouvelle limite.

On croyait jusqu'à aujourd'hui que le plafond serait atteint à la mi-septembre.

À l'été 2011, un précédent blocage politique sur le sujet avait conduit l'agence de notation Standard and

Poor's à priver les États-Unis de leur prestigieux « triple A ».

Lettre au Congrès de Jacob Lew.pdf by Radio-Canada
Ils pillent des dizaines de pays et gaspillent tout chez les ***** péripatéticiennes.
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
USA: Washington se prépare à renvoyer ses fonctionnaires chez eux, comme en 1995

Plus qu’une semaine avant le black out du gouvernement aux USA! Le 1er octobre, s’ils ne sont pas parvenus à trouver une solution qui prolongera la vie de l’économie comateuse du pays, alors nous assisterons à une chute de dominos sans précédent, tout se confirme pour l’instant… Mais ne les sous-estimons pas, rien qu’avec la FED, il ont déjà réussi des miracles que même la ville de Lourdes leur envie!

L’État fédéral américain se prépare à mettre des centaines de milliers de fonctionnaires non essentiels en congés sans solde d’ici une semaine, en cas d’impasse budgétaire persistante au Congrès, un scénario observé en 1995 sous la présidence de Bill Clinton.

Les agences fédérales ont reçu l’ordre la semaine dernière de se préparer au pire. « Il reste encore assez de temps pour que le Congrès empêche un trou dans le budget », a écrit mardi dernier Sylvia Burwell, équivalente du ministre du Budget. « Mais une gestion prudente oblige les agences à être prêtes à la possibilité d’un trou ».
En 2011, lors d’une situation similaire, l’administration de Barack Obama estimait qu’environ 800’000 fonctionnaires, sur 2,1 millions, seraient concernés.

Selon la loi, le Congrès doit impérativement voter des crédits pour que l’Etat fédéral continue de fonctionner normalement après la fin de l’exercice 2013, lundi 30 septembre à 23H59.

Mais le Congrès est divisé entre une Chambre des représentants à majorité républicaine et un Sénat démocrate. La situation est souvent résolue au dernier moment, mais cette fois les premiers refusent de financer l’État tant que la réforme de la santé du président, qu’ils contestent, reste financée. Le Sénat devrait amender cette semaine le projet de budget temporaire (jusqu’au 15 décembre) adopté jeudi par la Chambre, qui devra alors revoter.
La situation fait écho à l’automne 1995, quand un autre président démocrate, Bill Clinton, s’opposait à un Congrès cette fois complètement aux mains des républicains, qui avaient raflé le contrôle des deux chambres lors des législatives de 1994.

PARCS ET MUSÉES FERMÉS
Les deux camps parient alors chacun que l’autre flanchera le premier, et après le veto de Bill Clinton contre un projet de budget jugé trop austère, le 13 novembre 1995 le gouvernement fédéral met environ 800.000 fonctionnaires en congés sans solde, pendant cinq jours: c’est le « shutdown », un mécanisme immortalisé en 2003 dans la série télévisée « A la Maison Blanche », créée par Aaron Sorkin.

« Ils ne savaient pas comment ça tournerait, mais pensaient que l’opinion placerait la faute sur la Maison Blanche et Clinton », dit l’historien Steve Gillon, auteur d’un livre sur les années Clinton (« The Pact: Bill Clinton, Newt Gingrich, and the rivalry that defined a generation »).

Le Congrès vote alors quelques semaines de financements supplémentaires, mais le 15 décembre c’est à nouveau l’impasse. Pendant 21 jours, jusqu’au 6 janvier, environ 284.000 fonctionnaires sont mis au chômage technique, selon un rapport des services de recherche du Congrès de 1997. Environ 475.000 autres continueront de travailler sans être payés.

Les services essentiels et régaliens (armée, FBI, justice, sécurité nationale, contrôle aérien…) sont exemptés, mais les programmes jugés non essentiels sont fermés.

Les Instituts nationaux de santé n’acceptent plus de nouveaux patients pour leurs projets de recherche clinique. Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), vigie sanitaire du pays, suspendent la surveillance des maladies.

Des chantiers de dépollution sont arrêtés. Les forces de l’ordre fédérales suspendent les recrutements et certaines formations. Des dizaines de milliers de demandes de visas et de passeports ne sont pas traitées.
A Washington en novembre, dont le budget dépend du Congrès, les poubelles ne sont pas ramassées pendant plusieurs jours.

L’effet le plus visible concerne le tourisme: la totalité des 368 sites et parcs naturels gérés par le National Park Service sont immédiatement fermés, de même que tous les musées nationaux, notamment à Washington, affectant ainsi 7 millions de touristes, selon le gouvernement.

Le retour à la normale ne sera acté qu’après le constat d’échec du président de la Chambre Newt Gingrich, finalement jugé responsable par l’opinion. Le compromis prévoit un retour du budget à l’équilibre en sept ans.
L’épisode illustre, selon Steven Gillon, « l’avantage institutionnel du président » dans ce type de bras-de-fer. Il prédit que « les républicains paieront un prix politique » si l’État fédéral est contraint à la fermeture partielle en octobre.

Quant aux fonctionnaires, ils ont tous récupéré leurs arriérés de salaires.
Ne te réjouis pas, si ils se plantent, le monde entier se plante. Et même si t'as ton argent planqué sous l'oreiller il ne vaudra plus rien.
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Et alors ?

S'il se plante l'humanité repartira de plus belle

le "too big too fail" c'est du foutage de g****

nul n'est indispensable et surtout aps les USA
Un défaut de paiement ne va pas les annihilés !
Ils repartiront de plus belle comme tout le monde. Et dans 100ans ils seront encore la grande puissance.
 

Drianke

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Contributeur
Fed: des traders ont eu en avance l’information financière la plus attendue de l’année …

FED - Sept millisecondes. C'est le temps qui a été volé à la Réserve fédérale (Fed) lors de son annonce capitale du 18 septembre. Quelques instants avant qu'elle surprenne les marchés en maintenant sa politique monétaire, la banque centrale américaine a subi une fuite de cette donnée importantissime. Des activités de trading ont effectivement été relevées trop tôt à Chicago pour que l'information n'ait eu le temps d'arriver dans un délai légal.

On s'explique. Il faut sept millisecondes pour qu'une information transite entre Washington, siège de la Fed, et la ville de Chicago. On estime qu'à chaque centaine de miles (160 kilomètres) de distance d'un lieu, 1 millième de seconde est nécessaire pour qu'une information arrive à bon port. Sauf que des ordres boursiers en réaction à la décision de la Fed ont été passés plus tôt à Chicago qu'à New York, pourtant moins lointaine de Washington (328 km contre 956 km).

Dans un cas comme celui-ci, il n'y a pas d'humain qui presse un bouton à la réaction d'un événement financier. Des machines sont conçues pour avoir un comportement automatique à chaque situation donnée. Une poignée de millisecondes sont nécessaires pour passer des ordres sur les marchés: on appelle ça le trading à haute fréquence (HFT, pour high frequency trading) ou trading algorithmique (algotrading). Ainsi, les ordinateurs de toutes les Bourses du monde ont eu une réaction automatique après l'annonce de Fed, mais dans un timing proportionnel à leur distance de Washington, source de l'information.Toutes, sauf quelques petits malins à Chicago.

Selon la chaîne financière CNBC qui cite le cabinet d'études Nanex, les traders de New York auraient dû en principe avoir une avance de l'ordre de cinq millisecondes sur ceux de Chicago pour toute information en provenance de Washington. Pour Eric Hunsader, directeur de ce cabinet basé à Chicago, il y a eu pour 800 millions de dollars d'échanges négociés trop tôt. Ces derniers portaient essentiellement sur des métaux précieux, dont l'or, qui a subi une variation de 4% après les annonces de la Réserve fédérale.............

http://www.huffingtonpost.fr/2013/0...rve-federale_n_3987079.html?utm_hp_ref=medias
 

Drianke

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Contributeur
Etats-Unis: dernière journée avant un blocage de l'Etat fédéral

Des centaines de milliers de fonctionnaires américains commencent ce lundi leur semaine de travail sans savoir s'ils reviendront travailler mardi. Les parlementaires ont jusqu'à minuit pour s'accorder sur un budget provisoire et empêcher une paralysie partielle de l'État fédéral.

Le Sénat devrait rejeter un projet de loi de finances adopté dans la nuit de samedi et dimanche par la Chambre des représentants, renvoyant ainsi les négociations à la case départ à moins de dix heures du début de l'exercice budgétaire 2014. Sans nouveaux crédits, les agences fédérales pourraient mettre en congés sans solde plus de 800 000 employés jugés non essentiels. Un acte d'«automutilation», a estimé le président Barack Obama. Un éventuel dénouement pourrait intervenir lundi soir, dans les toutes dernières heures précédant l'échéance.

«Nous savons ce qui va se passer. Le Sénat va revenir en session. La position de la Chambre (...) sera encore rejetée et nous nous retrouverons face à la perspective de l'arrêt des opérations gouvernementales», a estimé dimanche le sénateur démocrate Richard Durbin sur la chaîne CBS. Sur son compte Twitter, Barack Obama a appelé les élus du Congrès à «ne pas baisser le rideau sur l'économie américaine et sur le gouvernement».

La Chambre a adopté un projet de budget de deux mois et demi, qui donnerait jusqu'au 15 décembre pour négocier un budget formel pour le reste de 2014. Mais, sous la pression des élus du Tea Party (un mouvement à la droite des républicains et défavorable aux dépenses publiques), deux amendements ont été ajoutés au texte: le report d'un an de l'entrée en vigueur (en 2015 au lieu de 2014) d'un volet central de la loi de réforme du système de santé signée par Barack ...

Boursorama
 

Drianke

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Contributeur
L'Etat fédéral au chômage technique La Maison Blanche a ordonné aux agences fédérales américaines lundi peu avant minuit (06h00 en Suisse) de cesser leurs activités, le Congrès ayant échoué à voter un budget avant l'heure limite.

Malgré les allers-retours entre le Sénat à majorité démocrate et la Chambre des représentants dominée par les républicains, aucun projet de loi de finances n'a pu être adopté à temps pour le début de l'exercice budgétaire 2014, qui a commencé à minuit (06h00 du matin en Suisse).

La Maison Blanche a donc ordonné peu avant minuit aux agences fédérales de déclencher la cessation partielle de leurs activités, à laquelle elles s'étaient préparées.

Barack Obama avait tenté une ultime intervention lundi, en avertissant qu'une paralysie de l'Etat fédéral aurait «des conséquences économiques très réelles pour des gens dans la vraie vie, et tout de suite».
«Ils l'ont vraiment fait», a déploré le président dans un tweet peu après minuit. Barack Obama a promulgué lundi soir une loi garantissant aux militaires qu'ils seront cependant payés à temps quoiqu'il arrive.

Sécurité nationale exemptée
L'échec du Congrès marque la culmination de 33 mois d'un bras de fer continu sur le budget entre les démocrates et les républicains, qui ont repris le contrôle de la Chambre en janvier 2011 après l'élection de dizaines d'élus du Tea Party.

Du département de la Défense à l'agence de protection de l'environnement, tous les services fédéraux sont sommés de réduire immédiatement leurs effectifs au minimum vital, parfois à seulement 5% de leur personnel. La sécurité nationale et les services essentiels sont exemptés.

Mais environ 800'000 fonctionnaires jugés non essentiels, sur plus de deux millions, auront quatre heures mardi matin pour se présenter à leurs bureaux, ranger leurs affaires, annuler leurs réunions et rentrer chez eux. Jusqu'à ce que le Congrès s'accorde pour allouer des crédits finançant les agences fédérales.

Parcs naturels fermés
L'un des impacts les plus visibles sera observé dans le secteur du tourisme. La totalité des parcs naturels du pays, géré par le National Park Service, dont les immenses parcs Yosemite et le Grand Canyon, et les musées Smithsonian de Washington, n'ouvriront pas leurs portes au public mardi matin.

En avril 2011, le président Barack Obama s'était rendu au Lincoln Memorial de Washington au lendemain d'un accord trouvé in extremis pour financer les opérations gouvernementales. Cette fois-ci, le monument restera fermé.
La cessation des opérations gouvernementales a déclenché une tempête politique, chaque camp accusant l'autre d'intransigeance. «C'est une honte que ces gens, élus pour représenter le pays, finissent par représenter le Tea Party et les anarchistes», a tonné Harry Reid, chef de la majorité démocrate.

«Nous en sommes là car le président et les démocrates du Sénat voulaient ce résultat depuis le début», a écrit de son côté le républicain Ted Poe sur Twitter.

«Obamacare»
Mais certains admettaient que l'opinion rejetterait la faute sur les républicains. Ceux-ci «vont être perçus comme ayant bloqué et provoqué la cessation des activités de l'Etat fédéral», a déclaré lundi soir le sénateur républicain John McCain.

La raison du blocage s'appelle «Obamacare», le surnom de la réforme du système de santé de Barack Obama. Les républicains exigeaient que tout accord budgétaire revienne, d'une manière ou d'une autre, sur cette loi emblématique du premier mandat de Barack Obama, votée en 2010. A partir de mardi, des millions d'Américains démunis d'assurance-maladie vont pouvoir s'inscrire sur un site gouvernemental pour demander à bénéficier d'une assurance subventionnée à partir du 1er janvier 2014.

A l'heure du déclenchement du «shutdown», qui n'affecte pas les administrations locales des cinquante Etats américains, la Chambre débattait toujours d'une quatrième version de son budget, avec un vote prévu, mais sans espoir de dénouement immédiat. Le Sénat, quant à lui, s'est ajourné jusqu'à mardi après-midi (15h30 en Suisse).

20minustes
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Dis papa, ça fait quoi si les américains ils font “shutdown” ?

Ceux qui bossent pour la sécurité publique travailleront aussi mais ne seront pas payés.. enfin pas tout de suite.. normalement ils devraient l’être… un jour… plus tard…

Au niveau de la Sécurité Sociale, il ne faudra pas être trop pressé pour se faire rembourser, elle devrait fonctionner en service minimum..

Un fonctionnaire qui tourne en “service minimum”, on se réjouit déjà

Les vétérans militaires seront traités comme des chiens durant cette période, mais c’est standard aux USA, rien de neuf

Les cours de justice vont continuer à fonctionner, inutile donc de profiter de l’occasion pour rouler bourrer ou pour chasser le crocodile à la dynamite dans les canaux de MiamiPasseports, visa, green cards et consors ne seront plus délivrés.

La seule porte ouverte si vous n’avez pas les papiers, restera la frontière mexicaineLe tourisme risque d’en prendre plein les dents, des centaines de parcs nationaux et autres musées seront fermés temporairement.

Mais que tout le monde se rassure, DisneyLand et DisneyWorld sont toujours ouverts

Le National Institutes of Health va cesser d’engager de nouveaux patients dans les phases de tests clinique, le CDC qui surveille les épidémies et autre trucs sympas va également cesser de fonctionner momentanément, la grippe aviaire et autres cochonneries sont donc priées de rester au Canada ou au Mexique et dans le pire des cas, passer par Staten Island

Le Departement du Commerce et le Bureau du travail et des statistiques, va cesser de bosser et pourrait ne plus publier les chiffres de l’emploi.

Vu ce qu’ils sont justes, autant dire que l’on peut s’en passer, même si nos pauvres stratèges vont devoir patienter pour faire leurs prévisions….

Autrement l’IRS devrait fonctionner et il faudra quand même payer des impôts et ils ne vont pas lâcher les banques suisses.


Maintenant si l’on parle des marchés, cela ne devrait pas poser trop de problèmes. Historiquement parlant, les dernières fois que ce genre de choses se sont produites, (5 jours en novembre 1995 et un mois en fin décembre 95 et début 96), le marché a relativement bien digéré la chose, puisque 5 ans plus tard il inventait la bulle internet.

Néanmoins ce n’est pas une bonne nouvelle, mais on à l’air d’être prêt à digérer la chose, même si cela peut mener à un défaut du marché obligataire. Jusqu’à maintenant et malgré ses perpétuelles disension, le Congrès à toujours trouvé une solution de dernière minute pour sauver le monde. Le truc le plus embêtant reste le plafond de la dette qui doit être réglé le 17 octobre et la solution ne sera pas facile à trouver si la moitié de l’Etat Fédéral est en vacances. Mais malgré cela, nous affichons une sérénità à toutes épreuves. Imaginez, le Gouvernement ne peut plus fonctionner, la dette est stratosphérique et Wall Street à 1% des plus hauts de tous les temps…

Si l’on reprend les chiffres de 95-96, le S&P500 a baissé de 3.7% durant la période. Si cela devait se produire, ça serait plus un cadeau, une opportunité d’achat qu’autre chose.. Puisqu’après la pluie, le beau temps – 10% de remontée dans les 12 mois qui suivent et on était en 96, de nos jours ça sera mieux..

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UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Shutdown: pourquoi Obama a tout intérêt à laisser traîner le blocage budgétaire

Aussi étonnant que cela puisse paraître, le blocage budgétaire américain (ou "shutdown") profite énormément à Barack Obama. Derrière son attitude exaspérée, le président doit jubiler intérieurement car il sait très bien une chose: les Républicains vont être accusés d'avoir pris le pays en otage. Au passage, la contestation sur sa réforme de la santé a disparu instantanément.

Il n'a d'ailleurs pas manqué de le rappeler, en parlant à la télévision de "croisade idéologique" de la part de ses adversaires politiques. Les républicains ont en effet refusé de voter le budget à cause de la réforme "Obamacare". "Cette paralysie républicaine n'était pas inévitable", a-t-il dit depuis la Maison Blanche, "je veux que tous les Américains comprennent pourquoi elle s'est produite". Au moins, on connaît les coupables.

Le plan était presque parfait, ce que souligne un sondage paru le 1er octobre au matin. Selon l'université de Quinnipiac, les Américains rejettent en masse la stratégie des républicains de lier le vote d'un budget à des concessions du président sur sa réforme de la santé. La cote de confiance des républicains du Congrès n'est plus que de 17%, tandis qu'une seule personnalité s'en sort avec les honneurs: Barack Obama recueille 44% d'approbation. Le résultat d'une campagne savamment orchestrée.

Le long des 33 mois d'affrontements sur le budget, le président a toujours pris le soin de s'en prendre à ses opposants politiques. "Le président est prêt à discuter avec les républicains, comme depuis le début de l'année. Il ne laissera pas les républicains prendre les Américains en otage pour qu'il cède à leurs demandes idéologiques. Ce serait irresponsable", a dénoncé le porte-parole de la Maison Blanche mardi matin sur CNN.

suite : http://www.huffingtonpost.fr/2013/1...lafond-dette_n_4023248.html?utm_hp_ref=france
 

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