Poèmes

[abounidal]

En voici un pas mal :

"Je dis à mes amis, quand ils me regarderont mort, me pleurant et portant mon deuil tout
de tristesse, ne croyez pas que je sois ce corps que vous voyez. Par le nom d'Allah SwT, je vous le dit,ce n'est pas moi. Je suis un esprit, et cela n'est rien sinon de la chair, ce fut mon domicile et mon vêtement pour un temps. Je suis un trésor, tenu caché par un voile, façonné de poussière qui me servi de résidence. Je suis une perle, qui a laissé une coquille vide.
Je suis un oiseau et me suis envolé de ce corps qui était ma cage, et qui reste comme un souvenir sans importance. Loué soit Allah Qui m'a libéré et a préparé ma place au plus haut du Paradis. Jusqu'à aujourd'hui j’était mort bien que vivant parmi vous."

Extrait du poème d'Abu Hamid Al Ghazali rahimouAllah, et composé la veille de sa mort.

Salam

 

[lagerienne]

Ils ne connaissent pas ce qu'est l'ame ils ne savent pas qu'elle est sa mission dans ce bas monde ils ne realisent pas son importance,ils ne touchent pas sa presence par consequence chacun de nous est etranger à l'autre et le monde n'est rien qu'un objet qui risque de se briser d'un instant à l'autre !
Prendre soin de l'âme c'est exister .

En voici un pas mal :

"Je dis à mes amis, quand ils me regarderont mort, me pleurant et portant mon deuil tout
de tristesse, ne croyez pas que je sois ce corps que vous voyez. Par le nom d'Allah SwT, je vous le dit,ce n'est pas moi. Je suis un esprit, et cela n'est rien sinon de la chair, ce fut mon domicile et mon vêtement pour un temps. Je suis un trésor, tenu caché par un voile, façonné de poussière qui me servi de résidence. Je suis une perle, qui a laissé une coquille vide.
Je suis un oiseau et me suis envolé de ce corps qui était ma cage, et qui reste comme un souvenir sans importance. Loué soit Allah Qui m'a libéré et a préparé ma place au plus haut du Paradis. Jusqu'à aujourd'hui j’était mort bien que vivant parmi vous."

Extrait du poème d'Abu Hamid Al Ghazali rahimouAllah, et composé la veille de sa mort.

Salam

 

[abounidal]

Salam,

Trop de gens restent dans l'ignorance .

Croyant que l'Islam est une religion de souffrance .
La caractériser ainsi est une offense .

Car son mot d'ordre est tolérance .
Elle nous dit d'aimer et pardonner .

Et les pauvres nous interdit de mépriser .
Elle n'est pas une religion d'oppression .

Où la femme n'a pas le droit d'expression .
Mais plutôt religion de compassion .

Où chacun à sa juste rétribution .
Vous voyez l'Islam parle de tout .

Alors mes soeurs lisez et cultivez-vous .
Musulman du monde entier .

Auteur: idontknow!

 

[abounidal]

Salam

O premier des premiers et le plus Eternel des éternels !
O mon Dieu !
Pardonne-moi les péchés qui déshonorent les chastetés ,
O mon Dieu !
Pardonne-moi les péchés qui appellent les vengances ,
O mon Dieu !
Pardonne-moi les péchés qui modifient tes bienfaits ,
O mon Dieu !
Pardonne-moi les péchés qui empêchent l'Invocation ,
O mon Dieu !
Pardonne-moi les péchés qui apportent le malheur ,
O mon Dieu !
Pardonne-moi les péchés qui dissipent l'espérance ,
O mon Dieu ,
Pardonne-moi tout péché que j'eusse pu commetre et toute faute que j'eusse pu faire ...



Extrait de la supplication de Kumail ( Du'a ) traduit par Ahmad al-bostani .

 

[abounidal]

Salam

Poeme d'ALI Bnou Abi Talib (gendre et Calife du prophète)
Traduit de l'arabe par ASHTAR

L'ame pleure sur la vie bas et elle sait...que le salut est de laisser et ce qu'elle renferme
Aucune maison n'appartient à la personne pour s'y loger ...que celle qu'avant la mort,il a édifié
Un logement de bonheur si du bien il l'a construit ...et si du mal fut son édifice il sera deçu
Nos biens c'est pour les héritiers que nous amassons...et nos maisons pour la destruction du temps nous les édifions
Ou sont les rois qui gouvernaient...jusqu'à ce qu'ils burent le verre de la mort
Combien de villes dans les horizons étaient construites ...ruines devinrent et périssaient aussi leurs habitants

la bonne éthique qui purifie ...la première est la religion ,seconde est la raison
la troisieme est la science la clémence est quatrième...la générosité est cinquième la miséricorde sixième
Le bien son septième et les louanges ses huitième ...l'endurance ,neuvième et la douceur est ce qui demeure

ne t'appuies pas sur la vie basse et ce qu'elle renferme ...car la mort la fait disparaitre et nous avec
Oeuve pour celle de demain qui a Radouane pour trésorier ...le voisin est Ahmad et le miséricordieux son batisseur
Ses palais en or le musc est sa terre... le safran est un herbe qui y pousse
Ses rivières de pure lait ...le nectar de miel coule dans ses courants
Les oiseaux sautillent sur les branche ...louant a haute voix Allah dans ses chants
qui veut acheter une maison dans le "Firdaous" par une prosternation dans le noir de la nuit qui le vivifie

 

[abounidal]

Salam


«J'ai peur de la mort»,disaient les oiseaux.

«La mort peut-elle exister pour celui dont le cœur est uni à Dieu ?» répondait la huppe.

« Mon cœur est uni à Lui, ainsi le temps et la mort n'existent plus pour moi.

Car la mort est la rupture du temps,et le temps naît de notre attachement aux choses qui périssent. »

Attâr,Poète mystique persan (Xlle et XIIIe s.)

 

[abounidal]

Salam

Dieu a caché la mer et montré l'écume

il a caché le vent et montré la poussière...

Comment la poussière pourrait-elle s'élever d'elle-même ?.

Tu vois pourtant la poussière, et pas le vent.

Comment l'écume pourrait-elle sans la mer se mouvoir?

Mais tu vois l'écume et pas la mer.

Djalàl Al-Din Rùmi poète mystique soufi (XIIème s.)

 

[abounidal]

Salam

Au nom de Dieu, le Tout Miséricordieux, Le Très Miséricordieux
Je me suis fait refaire le nez
Je ne peux plus éternuer

Je suis ornée de lèvres pulpeuses
A force de piqûres douloureuses

Mon visage, à la peau tirée
Va bien finir par éclater

Et ma poitrine en silicone sursaturée
Me donne des allures de poupée trop gonflée

Mon ventre, lui, a été dépecé
Comme de la viande, sur l'étal du boucher

Mes jambes, aussi, ont été aspirées
Car, aujourd'hui, la graisse est prohibée

Je me sens comme une voiture en réparation
Au garage de “la course à la séduction”

Esclave de mon beau miroir
Reflétant mon désespoir

Je ne sais plus qui je suis
Cherchant de faux paradis

Mais j'engraisse bien le marché
De la beauté plastifiée

La chirurgie n'a plus rien d'esthétique
Quand elle va à l'encontre de toute éthique

La déontologie médicale a bien trahi
Le serment d'Hippocrate, à coups de bistouri

La nouvelle dictature qu'est celle de la beauté
A meurtri, au scalpel, le domaine de santé

Et la médecine qui devait, on le pense, soigner
De nouvelles maladies sont en train de développer

Le traitement de la beauté artificielle
N'est pas, il ne faut pas nous leurrer, sans séquelles

Mais tous ses effets secondaires résultés
Se son vus, quant à eux, très bien maquiller

Pourtant la chirurgie esthétique obligatoire
Peut être une aide merveilleuse pour redonner l'espoir

Par contre, celle qui est un commerce incontrôlé
Est une déviation nuisible à la santé

“Sois belle et tais-toi” nouvelle formule fait son apparition
Plus perfide que jamais, avec son lot d'opérations

La libération de la femme est sacrifiée
Sur le billard de cette belle médecine de marché

L'adoration du corps, et l'esprit oublié
Dictature du “paraître” sauvagement imposée

Préférer le “paraître” à “l'être” est insensé
Cela est la preuve d'un vide déshumanisé

Celle qui doit compter, est la beauté intérieure
Qui rayonne dans les actes et soulage le malheur

L'Islam nous demande de purifier nos cœurs
De fournir l'effort du jihad intérieur

La beauté ineffable, de même qu'éternelle
Existe seulement dans les jardins de l'Eden

Soyons donc les esclaves du Parfait Créateur
Plutôt que les esclaves de l'image extérieure...

Louange à Dieu, Seigneur des Mondes






Auteur: Imane T. ( Aslim-Taslam)

 

[abounidal]

Salam

A l'époque d'internet et du wifi,
Nos semblables oublient le sens de leurs vies,

Je cliques sur un blog au pif dans la pile,
Je parcours de l'œil les images qui défilent;

Je tombe sur ce qui pourrait être ma sœur,
A la différence près qu'il lui manque la pudeur;

Par reflexe je ferme les yeux devant ce délire,
Crois moi, c'est pas ses courbes qui me font fuir;

Entre deux articles de haram, de bling bling,
Ma sœur, en petite nue, pire qu'un str…

Elle porte pourtant bien un prénom de musulmane,
Les petites sœurs se dévêtissent pour un âne;

Elles ont perdu la direction de La Mecque,
Perte de repère, elles enlèvent tout pour un mec;

Ne mets pas ça sur le compte de la découverte des sens,
Ou encore, une erreur de manœuvre de l'adolescence;

Petite sœur, tiens ce livre, il s'appelle "Le Coran",
C'est le manuel du bon Musulman;

Il y a aussi comment se rendre belle pour la bonne personne,
Celui qui un jour viendra sonner à ton interphone;

Rayonnant de lumière du Coran et de la Sounna tant il est saint,
Il s'adressera à ton père dans un cadre islamique pour demander ta main;

Pas le type de msn qui coure qu'après ton numéro de phone,
Qui te donne rdv après s'être assuré que tu es dans ses normes;

Petite sœur, ton corps n'est pas une marchandise,
Qu'on achète à grands coups de papelardise;

Ma petite sœur, est pure, intègre, irréprochable et fidèle,
C'est ainsi que Dieu t'aime, qu'Il te trouve très belle;

Toi la perle qui éclaire ce monde, tu mérites plus qu'un petit copain,
A certains le diable leur fait le coup du mariage pour demain;

Tout ça n'est que manœuvre de satan le maudit,
Qui ne cesse de jouer, d'entretenir les oublis;

Il est là pour ça ma sœur, sa fonction est de toujours te faire croire,
Croire que ce garçon qui a eu ton phone est ta moitié, ton miroir;

Mais sur Dieu l'unique ma très chère sœur, ceci n'est que leurre,
Qui après le désespoir, finira en désarroi et pleurs;

La porte de l'Islam est ouverte à tous les cœurs et les âmes,
Je te tends la main, jamais je n'accepterais que l'on te blâme;

Ma petite sœur tu es la princesse de notre avenir,
Nous avons besoin de toi pour nous épanouir;

Ton absence dans les rangs de la piété n'a que trop duré,
Un pas en avant, et Dieu te promet le bonheur pour l'éternité.
source : islamoncoeur