salam
Gerets et Fassi doivent une fière chandelle au Onze national qui a bataillé comme un beau diable pour réaliser, il faut le dire, lexploit devant son homologue ivoirien.
Le match nul obtenu alors que tout le monde ne croyait pas en la capacité de léquipe nationale de tenir bon pendant 90 minutes devant Didier Drogba et ses coéquipiers est un résultat très honorable, dû essentiellement à leffort intrinsèque des joueurs qui se sont bien battus.
On pourrait dire jusquaux tripes sans jamais baisser les bras pour affronter léquipe ivoirienne, considérée comme lune des meilleures équipes aux niveaux africain et international. En effet, elle pas 16ème au classement FIFA.
Ce résultat quon peut considérer comme probant, revient donc au seul mérite des joueurs de léquipe nationale et non pas à une tactique de jeu initiée ou inspirée par lentraîneur. Il ny avait pas lempreinte du technicien belge. Les joueurs étaient livrés à eux-mêmes. Ainsi, Houssein Kharja a évolué comme meneur de jeu. Il était au four et au moulin.
On le voyait dans tous les compartiments de jeu quil dirigeait avec maestria inspirant ses coéquipiers qui se démenaient avec ardeur pendant toute la durée du match.
Le premier but marqué par Kharja sur penalty et le second signé dune très belle manière par Abourazouk à quelques minutes du coup du sifflet final, ont sauvé la peau du technicien belge Eric Gerets et du président de la FRMF, Ali Fassi. Pour combien de temps encore ? On le saura lors des prochaines rencontres.
source:Libération
Gerets et Fassi doivent une fière chandelle au Onze national qui a bataillé comme un beau diable pour réaliser, il faut le dire, lexploit devant son homologue ivoirien.
Le match nul obtenu alors que tout le monde ne croyait pas en la capacité de léquipe nationale de tenir bon pendant 90 minutes devant Didier Drogba et ses coéquipiers est un résultat très honorable, dû essentiellement à leffort intrinsèque des joueurs qui se sont bien battus.
On pourrait dire jusquaux tripes sans jamais baisser les bras pour affronter léquipe ivoirienne, considérée comme lune des meilleures équipes aux niveaux africain et international. En effet, elle pas 16ème au classement FIFA.
Ce résultat quon peut considérer comme probant, revient donc au seul mérite des joueurs de léquipe nationale et non pas à une tactique de jeu initiée ou inspirée par lentraîneur. Il ny avait pas lempreinte du technicien belge. Les joueurs étaient livrés à eux-mêmes. Ainsi, Houssein Kharja a évolué comme meneur de jeu. Il était au four et au moulin.
On le voyait dans tous les compartiments de jeu quil dirigeait avec maestria inspirant ses coéquipiers qui se démenaient avec ardeur pendant toute la durée du match.
Le premier but marqué par Kharja sur penalty et le second signé dune très belle manière par Abourazouk à quelques minutes du coup du sifflet final, ont sauvé la peau du technicien belge Eric Gerets et du président de la FRMF, Ali Fassi. Pour combien de temps encore ? On le saura lors des prochaines rencontres.
source:Libération