Un policier accusé du viol d'une gardée à vue à Marseille

BenBomba

Johnny le Reb
Un policier accusé du viol d'une gardée à vue à Marseille
AP
AP - il y a 59 minutes

MARSEILLE - Un policier marseillais a été mis en examen samedi pour "viol par abus d'autorité" sur une jeune femme qui avait été placée en garde à vue, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Les faits remontent à quelques jours", précisait-on de même source.

Officier de police judiciaire (OPJ), le mis en examen était en poste, au moment des faits, à la Brigade de répression des atteintes aux biens (BRAB) de la Sûreté départementale de Marseille.

Agé de 40 ans, il a été placé en garde à vue jeudi. Lors de son audition, ajoutait-on de même source, il n'aurait d'ailleurs pas contesté les faits.

De source proche de l'enquête, on indique qu'il aurait obligé sa victime à lui pratiquer une *********, alors qu'elle était entendue dans une procédure en cours. Le parquet de Marseille a requis samedi son placement sous mandat de dépôt.

De source judiciaire, on évoque "un acte inadmissible" s'agissant d'un policier précisément chargé de veiller au bon déroulement de la garde à vue.

Le mis en cause risque jusqu'à vingt ans d'emprisonnement. AP

>> SOURCE <<
 
Et heureusement que l'on vie en France parce que je vous laisse imaginer ce que c'est dans les pays d'Afrique. Même pas on en parlerai, et ce n'est pas un flic mais le commissariat qui lui serait passé dessus.
Ayons une pensée pour cette femme et espérons que sa vie s'améliore plutôt que débiter nos impression sur Sarko, la police où quoi que ce soit d'autre.
 

BenBomba

Johnny le Reb
Viol en garde à vue: le parquet va faire appel de la remise en liberté du policier
AP
AP - il y a 1 heure 24 minutes

MARSEILLE - Le procureur de la République de Marseille a décidé de faire appel lundi de la remise en liberté d'un policier marseillais mis en examen samedi pour "viol par abus d'autorité" sur une jeune femme en garde à vue, a-t-on appris dimanche de source judiciaire.


Dans un communiqué, la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a condamné dimanche "avec la plus grande fermeté les actes inadmissibles" qu'aurait commis ce gardien de la paix "à l'égard d'une gardée à vue dont il avait la responsabilité".

La ministre "assure "qu'indépendamment des suites judiciaires, toutes les conséquences disciplinaires seront tirées au terme de l'enquête" et précise avoir "d'ores et déjà demandé qu'une mesure de suspension administrative soit prononcée".

Le policier, mis en examen samedi et remis en liberté sous contrôle judiciaire dans la nuit, a de fait été suspendu de ses fonctions, affirmait-on de source judiciaire à Marseille dimanche.

Le contrôle judiciaire du policier lui interdit de rencontrer la victime, de se livrer à son activité principale de fonctionnaire de police et de quitter le territoire national, précise-t-on de même source. Le parquet de Marseille avait requis samedi le placement sous mandat de dépôt.

A l'époque des faits présumés, qui remonteraient à plusieurs jours, l'officier de police judiciaire âgé de 40 ans travaillait à la Brigade de répression des atteintes aux biens (BRAB) de la Sûreté départementale de Marseille. Il avait été placé en garde à vue jeudi et n'aurait pas contesté les faits, selon une source judiciaire.

De même source, il aurait obligé une jeune femme en garde à vue à lui pratiquer une ********* dans les toilettes de l'hôtel de police. La victime, âgée de 23 ans, avait été placée en garde en vue dans le cadre d'une procédure pour escroquerie pour l'ouverture de deux lignes téléphoniques à l'aide de faux documents. Elle était connue des services de police pour des petits délits, vols à l'étalage.

Le policier, officier de police judiciaire depuis deux mois, avec le grade de gardien de la paix, était bien noté dans son service, selon cette source. Il risque jusqu'à 20 ans de prison. AP
 
je trouve ca vraiment degeulasse, la pauvre femme!!!
A longueur de temps,les politiques nous tannent sur le travaillent des policiers,mais nous disent pas tout concernants les bavures qu'il peut y avoir!
c'est malheureusement une histoire parmis tant d'autre!
 

BenBomba

Johnny le Reb
je trouve ca vraiment degeulasse, la pauvre femme!!!
A longueur de temps,les politiques nous tannent sur le travaillent des policiers,mais nous disent pas tout concernants les bavures qu'il peut y avoir!
c'est malheureusement une histoire parmis tant d'autre!

Encore heureux que le policier n'est un muslim. Imagine le tapage médiatique que ça engendrerait !!! :D
 
oh que si il ferait mieux de le garder en prison depuis quand on force quelqu'un à faire une *********!!

je l'aurais tué ce mec

j'ai jamais dis le contraire mais ca arrive pas ca policier ou pas
il doit etree sous controle judiciare
un ne dois pas quitter le pays retrai du passport et limite dans ses mouvement c'est tout
les prisons sont deja pleine il aura son jugement
 

BenBomba

Johnny le Reb
JE SUIS PAS EN TRAIN D'EN REGARDER LA

je voulais dire que meme si ca m'est deja arrive d'en matter je ne suis pas tare j'irai jamais violer qqun
faut arreter de penser que regarder un fil,m porno ca rend les gens fou

ça rend fou certainement pas toi

mais certains ont des esprits si faible qui deviennent des monstres.

La porno n'est qu'une drogue parmi tant d'autres.

mais là n'est pas le sujet du jour. :D

Pourquoi n'as til pas utiliser ses deux mains pour se satisfaire?
 
non ça les rends débiles je pense

bon je vais arreter d'argumenter ca sert a rien

ça rend fou certainement pas toi

mais certains ont des esprits si faible qui deviennent des monstres.

La porno n'est qu'une drogue parmi tant d'autres.

mais là n'est pas le sujet du jour.

Pourquoi n'as til pas utiliser ses deux mains pour se satisfaire?


je veux surtout dire que c'est facile de mettre la faute sur le porno
un violeur violera porno ou pas !
 

MarxIslam

K.ZNIDAR
VIB
Un policier accusé du viol d'une gardée à vue à Marseille
AP
AP - il y a 59 minutes

MARSEILLE - Un policier marseillais a été mis en examen samedi pour "viol par abus d'autorité" sur une jeune femme qui avait été placée en garde à vue, a-t-on appris de source judiciaire.
(Publicité)

"Les faits remontent à quelques jours", précisait-on de même source.

Officier de police judiciaire (OPJ), le mis en examen était en poste, au moment des faits, à la Brigade de répression des atteintes aux biens (BRAB) de la Sûreté départementale de Marseille.

Agé de 40 ans, il a été placé en garde à vue jeudi. Lors de son audition, ajoutait-on de même source, il n'aurait d'ailleurs pas contesté les faits.

De source proche de l'enquête, on indique qu'il aurait obligé sa victime à lui pratiquer une *********, alors qu'elle était entendue dans une procédure en cours. Le parquet de Marseille a requis samedi son placement sous mandat de dépôt.

De source judiciaire, on évoque "un acte inadmissible" s'agissant d'un policier précisément chargé de veiller au bon déroulement de la garde à vue.

Le mis en cause risque jusqu'à vingt ans d'emprisonnement. AP

>> SOURCE <<
Brrrrrrrrr Ha Ha Ha !

Sur 652 femmes victimes d'homicides entre 1990 et 1999, sur Paris et sa proche banlieue, la moitié a été tuée par leur mari ou leur compagnon. Un chiffre terrifiant, révélé par un rapport sur les violences conjugales.

"En France, une femme meurt de violences conjugales tous les cinq jours", explique le professeur Roger Henrion, membre de l'Académie nationale de médecine et responsable de cette étude pour le ministère de la Santé.

L'équipe du professeur a interrogé au hasard un échantillon de 7000 femmes, âgées de 20 à 59 ans, habitant la capitale et sa petite couronne. Il ressort que 10% d'entre elles ont subi des violences conjugales au cours des douze derniers mois. Insultes, harcèlement moral, agressions physiques, viols, la liste est longue de ces sévices commis dans l'intimité des couples.

Les conséquences sont à chaque fois dramatiques. Plusieurs femmes victimes souffrent de troubles émotionnels (dépression, boulimie, anorexie …), certaines, à bout de nerfs, se suicident. Et une partie meurt carrément sous les coups de leur conjoint. "Parmi les victimes présentées dans le rapport, 30 % ont été poignardées, 30 % ont été abattues par arme à feu, 20 % ont été étranglées et 10 % ont été rouées de coups jusqu'à la mort", précise le professeur Henrion.

Le profil de l'agresseur n'est pas toujours celui que l'on s'imagine. "Il s'agit en majorité d'hommes bénéficiant par leur fonction professionnelle d'un certain pouvoir. On remarque une proportion très importante de cadres (67%), de professionnels de la santé (25%) et de membres de la police ou de l'armée", commente Roger Henrion.

Ces violences conjugales restent bien trop souvent taboues et franchissent peu les murs des domiciles familiaux. Mais quand les femmes parlent, elles s'adressent en premier lieu à leur médecin. "Ce dernier a un rôle clé dans le dépistage des violences, le recueil de l'histoire et la rédaction d'un certificat, pièce essentielle lors d'un dépôt d'une plainte", selon le professeur Henrion. Mais le médecin est souvent pris en tenaille entre le secret médical et la non-assistance à personne en danger.

Un site Internet (www.sivic.org) est mis à la disposition des médecins pour se former à l'ensemble de ces problèmes.

Rapport Henrion - février 2001

Pchakh Hi Hi Hi !
 
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