Les policiers en colère dans la rue

Des milliers de fonctionnaires dans la rue à travers toute la France. Une fronde rarissime qui témoigne d'un

ras-le-bol général. Dans le viseur des forces de l'ordre : le ministère de la Justice. Tous dénoncent des décisions de justice qu'ils jugent inacceptables comme cette permission de sortie accordée à un détenu multirécidiviste. Le 5 octobre, l'homme en cavale avait grièvement blessé un policier après un braquage.
francetvinfo

PS: Le corps de la police et de la justice est infesté donc le crime la débauche les divisions sont
soutenus depuis des décennies . La délinquance et la criminalité a explosé voir l'évolution depuis ces
30 dernières années on sait à qui "profite" ces saletés .
 
Les flics sont-ils des manifestants comme les autres ? Mobilisés pour exprimer leur ras-le-bol, plus de 7.000 policiers (selon la préfecture de police, alors que les policiers avancent le nombre de 10.000) se sont rassemblés ce mercredi sur la place Vendôme à Paris, sous les fenêtres du ministère de la Justice. Au passage, certains d'entre eux ont commis quelques (légères ?) entorses à la loi, épinglées par 20 Minutes.

Des manifestants masqués

Plusieurs photos de l'événement montrent des manifestants au visage plus ou moins masqué. Or la loi interdit de porter une tenue destinée à dissimuler son visage sur les voies publiques, sous peine de se voir infliger une amende d'un montant maximum de 150 euros, qui peut être remplacée par une obligation de suivre un stage de citoyenneté.

En outre, cette amende peut s'élever à 1.500 euros pour « toute personne qui, au sein ou aux abords immédiats d''une manifestation sur la voie publique, dissimule volontairement son visage afin de ne pas être identifiée dans des circonstances faisant craindre des atteintes à l'ordre public », précise le code pénal.

Pétard et fumigènes

En fin de matinée, la place Vendôme s'est remplie de fumée orange tandis que retentissaient les pétards. Or les fumigènes et pétards sont définis dans la loi comme des artifices de divertissement. Leur utilisation peut être « interdite sur la voie publique ou en direction de la voie publique, dans tous les lieux où se fait un rassemblement de personnes », par des arrêtés préfectoraux en général temporaires (pour la fête de la musique, le 14 juillet…). Contactée par 20 Minutes ce mercredi en fin d'après-midi, la préfecture de Paris n'était pas en mesure de confirmer si une telle interdiction est actuellement en vigueur .
20minutes.fr.

Il y a 70 000 prisonniers environ dont beaucoup non jugés et le gouv sait très bien que si il construisait des
prisons exemple 10 elles seraient vite remplies . Cela montre les échecs depuis le décès du Général .
 
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