Indécise jusqu'au bout, la journaliste a finalement opté pour une émission 100 % politique, plutôt que pour une troisième année dans "On n'est pas couché"
out s'est joué le week-end du 1er mai. Léa Salamé a tranché le dilemme qui l'assaillait depuis deux mois. Allait-elle rester une troisième année dans On n'est pas couché ou allait-elle se lancer dans la co-présentation avec David Pujadas d'une émission 100 % politique à quelques mois de la présidentielle ? Avec Laurent Ruquier, Yann Moix et la productrice Catherine Barma, la journaliste de 36 ans s'était fait une belle place au soleil : ses prestations étaient appréciées des téléspectateurs, de la chaîne et de ses comparses. Les audiences étaient au beau fixe et, selon nos informations, France 2 avait accepté, contrairement à la précédente présidentielle, que On n'est pas couché reçoive des hommes et des femmes politiques.
Mais quand on a Christine Ockrent, Ruth Elkrief et plus encore Anne Sinclair comme modèles, il est difficile de ne pas se retrouver au cœur du réacteur nucléaire pendant une année électorale marquée par des primaires, une présidentielle et des législatives. La mort dans l'âme, Léa Salamé a donc annoncé à Laurent Ruquier qu'elle ne rempilerait pas pour une année supplémentaire. Dès septembre, l'intervieweuse sera aux commandes d'un rendez-vous bimensuel produit en interne et préparé par la rédaction de France 2. Il ressemblera, sans en être le calque, à l'émission spéciale autour de François Hollande que David Pujadas et Léa Salamé avaient présentée fin-avril.
La décision de la nouvelle journaliste star de France 2 devait rester secrète pendant une dizaine de jours, le temps que le Festival de Cannes prenne son rythme de croisière. Mais les trois prises de guerre de TF1 à la concurrence (Yann Barthès et Grégoire Margotton en provenance de Canal+ et Yves Calvi qui quitte France 5) ont forcé le service public à dévoiler une information positive. Ce mouvement interne a donc été annoncé.
Reste à Laurent Ruquier et à Catherine Barma à trouver un successeur à leur chroniqueuse. Seule certitude, ce sera une femme, sans doute plutôt jeune et pas forcément connue du grand public. Et pourquoi pas la nouvelle journaliste qui monte Eugénie Bastié ?
http://www.lepoint.fr/medias/pourqu...IcEdm6rX45p0oICuWmN5kWyQCpJtDlll7#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20160511
mam
out s'est joué le week-end du 1er mai. Léa Salamé a tranché le dilemme qui l'assaillait depuis deux mois. Allait-elle rester une troisième année dans On n'est pas couché ou allait-elle se lancer dans la co-présentation avec David Pujadas d'une émission 100 % politique à quelques mois de la présidentielle ? Avec Laurent Ruquier, Yann Moix et la productrice Catherine Barma, la journaliste de 36 ans s'était fait une belle place au soleil : ses prestations étaient appréciées des téléspectateurs, de la chaîne et de ses comparses. Les audiences étaient au beau fixe et, selon nos informations, France 2 avait accepté, contrairement à la précédente présidentielle, que On n'est pas couché reçoive des hommes et des femmes politiques.
Mais quand on a Christine Ockrent, Ruth Elkrief et plus encore Anne Sinclair comme modèles, il est difficile de ne pas se retrouver au cœur du réacteur nucléaire pendant une année électorale marquée par des primaires, une présidentielle et des législatives. La mort dans l'âme, Léa Salamé a donc annoncé à Laurent Ruquier qu'elle ne rempilerait pas pour une année supplémentaire. Dès septembre, l'intervieweuse sera aux commandes d'un rendez-vous bimensuel produit en interne et préparé par la rédaction de France 2. Il ressemblera, sans en être le calque, à l'émission spéciale autour de François Hollande que David Pujadas et Léa Salamé avaient présentée fin-avril.
La décision de la nouvelle journaliste star de France 2 devait rester secrète pendant une dizaine de jours, le temps que le Festival de Cannes prenne son rythme de croisière. Mais les trois prises de guerre de TF1 à la concurrence (Yann Barthès et Grégoire Margotton en provenance de Canal+ et Yves Calvi qui quitte France 5) ont forcé le service public à dévoiler une information positive. Ce mouvement interne a donc été annoncé.
Reste à Laurent Ruquier et à Catherine Barma à trouver un successeur à leur chroniqueuse. Seule certitude, ce sera une femme, sans doute plutôt jeune et pas forcément connue du grand public. Et pourquoi pas la nouvelle journaliste qui monte Eugénie Bastié ?
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