Le premier s'est payé khadafi, pour l'égaler le second vise bachar

Dans le course aux voix, nos professionnels de la politique jouant à fond la communication populiste se surpassent dans la haine arabe et la crainte du terrorisme qui nous menacerait.

Alors que MERKEL accueille à bras ouvert les migrants, l'actuel homme fort a pris des dispositions pour bombarder sa victime syrienne. Son prédécesseur pour ne pas être en reste nous propose un nouveau plan pour restreindre les droits des émigrés.
 
Il a pas le choix, à défaut d'en avoir comme dirait l'autre, il fait comme le crapaud qui veut se faire boeuf. On s'improvise pas chef de guerre (surtout avec autant d'enjeux) pour donner le change. Poutine va vite calmer ses ardeurs
 
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