Première victoire d'Obama

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Obama peut garder son blackberry, après un compromis sur sa sécurité

L'une des questions les plus brûlantes du moment sur le président Barack Obama a trouvé sa réponse jeudi, deux jours après son investiture: il a bel et bien gardé son téléphone portable blackberry.

C'est son porte-parole Robert Gibbs qui l'a révélé lors du premier point de presse de la nouvelle administration, en précisant que l'utilisation par M. Obama de son blackberry était réservée à la communication avec certains hauts collaborateurs et quelques amis.

M. Obama passe pour l'un de ces décideurs de la nouvelle génération, qui ne peuvent se passer de l'appareil de poche qui leur permet de lire à tout moment leur courrier électronique ou de se connecter à internet.

Ce qui est volontiers raillé comme une dépendance pathologique soulevait cependant de graves questions: quant à la sécurité de M. Obama, mais aussi quant au respect de la loi. M. Obama est en effet soumis à la loi imposant l'enregistrement et, au bout du compte, la publication de sa correspondance.

L'une des préoccupations de ceux qui s'inquiètent de sa sécurité était que la possession d'un blackberry aide les ennemis de M. Obama à le localiser. Un autre souci, c'était qu'il ne s'expose à des actions en justice de ceux qui voudraient voir divulguée toute sa correspondance.

Sur la fin de sa présidence, le prédécesseur de M. Obama, George W. Bush, plaisantait volontiers sur le bonheur qu'il retrouverait, quand il quitterait la Maison Blanche, de communiquer par courrier électronique avec ses proches et ses amis.

M. Obama s'est démené pour obtenir gain de cause.

"Je continue à m'accrocher à mon blackberry, il va falloir qu'on me l'arrache des mains", disait-il environ deux semaines avant de devenir le 44e président des Etats-Unis. Il faisait valoir que le précieux appareil serait l'un des moyens de rester au contact des réalités de ce monde et de percer la bulle dans laquelle la Maison Blanche a enfermé beaucoup de ses occupants.

"Je ne sais pas si c'est moi qui vais l'emporter, je continue à me battre", disait-il alors au New York Times et à la chaîne CNBC. C'est lui qui l'a emporté, a rapporté son porte-parole, suscitant un évident réveil d'intérêt chez les journalistes qui avaient épuisé beaucoup des questions sur l'autre grande nouvelle du jour: l'annonce de la fermeture du camp de Guantanamo.

"Le président a bel et bien un blackberry grâce à un compromis qui lui permet de rester en contact avec ses plus hauts collaborateurs et un petit groupe d'amis personnels", a dit M. Gibbs en insistant sur le tout petit nombre de privilégiés qui resteraient reliés de la sorte au président. "On a renforcé la sécurité pour lui donner la possibilité de communiquer, de le faire avec efficacité et sous protection", a expliqué M. Gibbs.

Il a laissé entendre que les courriels envoyés ou reçus par M. Obama tomberaient a priori sous le coup des lois approuvées après le scandale du Watergate pour conserver la trace des communications de la Maison Blanche. Il a cependant souligné que ces lois souffraient quelques exceptions très restreintes pour les communications strictement personnelles.

Le porte-parole de M. Obama ne va pas pour autant se retrouver au chômage, faute de questions de la presse. Comment M. Obama entend-il résoudre la plus grave récession depuis longtemps, comment compte-t-il faire rentrer les soldats américains d'Irak ? Et, parmi les plus pressantes, quel chien va-t-il offrir à ses deux filles auxquelles il a fait cette promesse pendant la campagne ?
 
Obama peut garder son blackberry, après un compromis sur sa sécurité

L'une des questions les plus brûlantes du moment sur le président Barack Obama a trouvé sa réponse jeudi, deux jours après son investiture: il a bel et bien gardé son téléphone portable blackberry.

C'est son porte-parole Robert Gibbs qui l'a révélé lors du premier point de presse de la nouvelle administration, en précisant que l'utilisation par M. Obama de son blackberry était réservée à la communication avec certains hauts collaborateurs et quelques amis.

M. Obama passe pour l'un de ces décideurs de la nouvelle génération, qui ne peuvent se passer de l'appareil de poche qui leur permet de lire à tout moment leur courrier électronique ou de se connecter à internet.

Ce qui est volontiers raillé comme une dépendance pathologique soulevait cependant de graves questions: quant à la sécurité de M. Obama, mais aussi quant au respect de la loi. M. Obama est en effet soumis à la loi imposant l'enregistrement et, au bout du compte, la publication de sa correspondance.

L'une des préoccupations de ceux qui s'inquiètent de sa sécurité était que la possession d'un blackberry aide les ennemis de M. Obama à le localiser. Un autre souci, c'était qu'il ne s'expose à des actions en justice de ceux qui voudraient voir divulguée toute sa correspondance.

Sur la fin de sa présidence, le prédécesseur de M. Obama, George W. Bush, plaisantait volontiers sur le bonheur qu'il retrouverait, quand il quitterait la Maison Blanche, de communiquer par courrier électronique avec ses proches et ses amis.

M. Obama s'est démené pour obtenir gain de cause.

"Je continue à m'accrocher à mon blackberry, il va falloir qu'on me l'arrache des mains", disait-il environ deux semaines avant de devenir le 44e président des Etats-Unis. Il faisait valoir que le précieux appareil serait l'un des moyens de rester au contact des réalités de ce monde et de percer la bulle dans laquelle la Maison Blanche a enfermé beaucoup de ses occupants.

"Je ne sais pas si c'est moi qui vais l'emporter, je continue à me battre", disait-il alors au New York Times et à la chaîne CNBC. C'est lui qui l'a emporté, a rapporté son porte-parole, suscitant un évident réveil d'intérêt chez les journalistes qui avaient épuisé beaucoup des questions sur l'autre grande nouvelle du jour: l'annonce de la fermeture du camp de Guantanamo.

"Le président a bel et bien un blackberry grâce à un compromis qui lui permet de rester en contact avec ses plus hauts collaborateurs et un petit groupe d'amis personnels", a dit M. Gibbs en insistant sur le tout petit nombre de privilégiés qui resteraient reliés de la sorte au président. "On a renforcé la sécurité pour lui donner la possibilité de communiquer, de le faire avec efficacité et sous protection", a expliqué M. Gibbs.

Il a laissé entendre que les courriels envoyés ou reçus par M. Obama tomberaient a priori sous le coup des lois approuvées après le scandale du Watergate pour conserver la trace des communications de la Maison Blanche. Il a cependant souligné que ces lois souffraient quelques exceptions très restreintes pour les communications strictement personnelles.

Le porte-parole de M. Obama ne va pas pour autant se retrouver au chômage, faute de questions de la presse. Comment M. Obama entend-il résoudre la plus grave récession depuis longtemps, comment compte-t-il faire rentrer les soldats américains d'Irak ? Et, parmi les plus pressantes, quel chien va-t-il offrir à ses deux filles auxquelles il a fait cette promesse pendant la campagne ?


Bonnes intentions (presque naïves), mais multiplication des risques d'assassinat... J'ai bien peur que cela se retourne contre lui.
 
En France on a un bling bling ,ses Rolex et sa Carla
et voilà la decadence de l'Amerique nous divulgue que le Numero 1 du monde va garder son joujou!!!!!!
 
une victoire de taille dis donc digne d'un chef d'état j'imagine la scène il a du taper sur la table non je veux garder mon blueberry :D
je pense que mnt il pourra sauver les USA de la crisé économique et pourquoi pas s'occuper du conflit en Palestine .......
 
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