Présidentielle: Comment les Francs-maçons manipulent les candidats

Les frères conservent un tel poids que les temples maçonniques - et leur monde d'influence secret et mystérieux - font désormais partie du parcours des prétendants à l'Elysée. Enquête sur le rôle des obédiences dans la course présidentielle.

A ceux qui se demandent si les francs-maçons jouissent encore d'une forte influence électorale en France, Guy Arcizet, le grand maître du Grand Orient de France (GODF), apporte une réponse très claire : "Les candidats à l'élection présidentielle se précipitent avec enthousiasme pour prendre la parole dans nos temples." Pourquoi cet empressement?

Pour atteindre les plus de 160 000 frères et soeurs regroupés dans des dizaines d'obédiences, mais surtout parce que chaque initié constitue une petite tête de réseau.

Bien sûr, une prestation réussie sous la voûte étoilée, un discours bien accueilli dans la nappe phréatique maçonnique ne suffit pas à gagner la course à l'Elysée. En revanche, ceux qui méprisent l'opinion des "fils de la Lumière" ont toutes les chances de partir avec un lourd handicap. Lionel Jospin, en 2002, et Ségolène Royal, en 2007, l'ont payé au prix fort.

"Nous sommes inquiets pour le tissu social de la France"

La présidentielle de 2012 ne fera pas exception: les francs-maçons veulent y jouer un rôle, et les candidats cherchent à les séduire. L'épicentre des manoeuvres se situe encore et toujours au GODF, berceau près de trois fois centenaire du radicalisme et du socialisme, qui fit et défit les gouvernements du début du xxe siècle.

L'obédience la plus politique a décidé de s'investir dans la présidentielle de 2012 plus encore que dans celle de 2007. Non pas en prenant parti pour l'un des candidats, mais en les invitant à plancher en "tenue blanche fermée" sur ses sept valeurs: démocratie, laïcité, solidarité sociale, citoyenneté, environnement, dignité humaine et droits de l'homme.

"Nous sommes inquiets pour le tissu social de la France. On le voit se déchirer sous les contraintes économiques qui malmènent les plus modestes, excluent les marginaux", écrit Guy Arcizet, par ailleurs membre du Parti socialiste, dans sa présentation des Grands Echanges 2012.

Personne ne conteste au GODF le droit d'intervenir dans le débat public de manière engagée. En revanche, sa volonté d'exercer une influence électorale fait débat. Appartient-il à une obédience maçonnique d'inviter des candidats à la présidentielle? L'initiative du GODF ne fait pas l'unanimité dans la maçonnerie française.

"Par tradition, nous nous abstenons de les recevoir", observe Alain-Noël Dubart, grand maître de la Grande Loge de France, lui-même membre de l'UMP. La question a même divisé le GODF. En août dernier, avec sept autres conseillers de l'ordre minoritaires sur ce point, Gérard Contremoulin a voté contre le projet: "Primo, ce n'est pas notre rôle. Secundo, comme nous ne pouvons pas recevoir tous les candidats, leur choix relève du casse-tête. Nous ne voulons pas de Marine Le Pen, qui incarne l'extrême droite, et certains frères ne comprennent pas que l'on accueille Jean-Luc Mélenchon, représentant de l'extrême gauche."

Qui a donc passé son grand oral rue Cadet? En plus du leader du Front de gauche, François Bayrou et François Hollande ont déjà planché sur les sept valeurs. Suivront Eva Joly, Hervé Morin et Nicolas Dupont-Aignan.
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La suite: http://www.lexpress.fr/actualite/po...-macons-manipulent-les-candidats_1068140.html
 
rien de spécial ni de nouveau

un entrisme en politique connu et admis chez nous

la loge comme le PS sont noyautés par les sionistes qui travaillent tous pour la domination mondiale de l'élite

j'en désespère

tourneur de veste continuel, je ne saurai la jouer à la SOREL. La religion de MOISE n'accepte pas les convertis .

avec le respect que je dois à tous mes cousins sépharades
 
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