Presse marocaine: Trois journalistes condamnés à payer 660.000 DH pour diffamation

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Le tribunal de 1ère instance de Casablanca a rendu son verdict, lundi, dans deux affaires de diffamation. Trois journalistes ont été condamnés à payer une somme totale de 660.000 DH.

Pour la première affaire, elle concerne le directeur de publication du quotidien “Al Jarida Al Oula” Ali Anouzla et le journaliste Jamal Boudouma, chroniqueur dans la même publication.

Les deux devraient payer la somme de 60.000 DH de dommages et intérêts au directeur du quotidien d'“Aujourd'hui le Maroc” Khalil Hachimi Idrissi.

Ces deux personnes, condamnées pour diffamation et injures par voie de presse, devront également s'acquitter d'une amende de 50.000 DH chacun.

Khalil Hachimi Idrissi avait porté plainte à la suite de la publication par “Al Jarida Al Oula”, d'un éditorial qu'il a jugé injurieux et diffamatoire à son encontre.

La même instance a condamné à une amende de 500.000 DH le directeur de publication du quotidien “Annahar Al Maghribia”, Abdelhakim Badii pour diffamation à l'encontre du directeur de publication du journal “Al Massae”, Rachid Niny.

Cette amende se répartit entre 450.000 pour le plaignant et 50.000 DH pour la Trésorerie du Royaume.

Auteur : aufait
 

Courir

Tas beau courir, Tu ne me rattrapes pas
VIB
SALAM,

Certes le tribunal à rendu son verdict mais je pense que ce phénomène est connu en Europe
Qui arrive au Maroc on condamne les journalistes dont l’exercice de leur fonction mais les sommes de l’amende vient du budget de fonctionnement du magasine et pas des journalistes et sera déduit des impôts.
Résultats un bon repas entre dans un restaurant du BD ANFA entre amis. Ceci est mon avis…
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
SALAM,

Certes le tribunal à rendu son verdict mais je pense que ce phénomène est connu en Europe
Qui arrive au Maroc on condamne les journalistes dont l’exercice de leur fonction mais les sommes de l’amende vient du budget de fonctionnement du magasine et pas des journalistes et sera déduit des impôts.
Résultats un bon repas entre dans un restaurant du BD ANFA entre amis. Ceci est mon avis…

ce qui est risible c'est que au maroc , les journalistes ne se supportent même pas entre eux.


très vrai les deux interventions
 
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