France : La prostitution algérienne redevient visible sur les trottoirs parisiens?
La prostitution algérienne, de retour sur les trottoirs ?
Si l'on en croit les associations de terrain citées par Le Parisien, cette tendance est indéniable. Alors que la loi de sécurité intérieure sur le racolage passif de 2003 avait poussé ces réseaux à se replier sur des bars, des salons de massage ou sur internet, depuis quelques temps (six mois à un an), des femmes venues essentiellement d'Algérie reprennent possession de la voie publique.
Fait nouveau : certains observateurs constatent l'émergence d'une prostitution occasionnelle liée à la crise qui concerne cette fois des Françaises d'origines algériennes.
Réseaux étrangers Selon Yves Charpenel, vice-président des équipes d'action contre le proxénétisme, l'effet dissuasif de la loi de 2003 s'est en effet atténué. " Puisque l'attention des pouvoirs publics se relàche, les réseaux retentent : il coûte de fait moins cher aux proxénètes d'exploiter des femmes dans la rue que de les cacher dans les hôtels ", explique dans le Parisien celui qui est par ailleurs administrateur de la fondation Scelles, un centre d'analyse des phénomènes de prostitution. Selon lui, " le monde de l'exploitation sexuelle est aujourd'hui aux mains de réseaux étrangers " qui font entrer en France des filles du Maghreb,Afrique Noire et du Moyen Orient.
La prostitution algérienne, de retour sur les trottoirs ?
Si l'on en croit les associations de terrain citées par Le Parisien, cette tendance est indéniable. Alors que la loi de sécurité intérieure sur le racolage passif de 2003 avait poussé ces réseaux à se replier sur des bars, des salons de massage ou sur internet, depuis quelques temps (six mois à un an), des femmes venues essentiellement d'Algérie reprennent possession de la voie publique.
Fait nouveau : certains observateurs constatent l'émergence d'une prostitution occasionnelle liée à la crise qui concerne cette fois des Françaises d'origines algériennes.
Réseaux étrangers Selon Yves Charpenel, vice-président des équipes d'action contre le proxénétisme, l'effet dissuasif de la loi de 2003 s'est en effet atténué. " Puisque l'attention des pouvoirs publics se relàche, les réseaux retentent : il coûte de fait moins cher aux proxénètes d'exploiter des femmes dans la rue que de les cacher dans les hôtels ", explique dans le Parisien celui qui est par ailleurs administrateur de la fondation Scelles, un centre d'analyse des phénomènes de prostitution. Selon lui, " le monde de l'exploitation sexuelle est aujourd'hui aux mains de réseaux étrangers " qui font entrer en France des filles du Maghreb,Afrique Noire et du Moyen Orient.