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Islam
Quand l'islam se redéfinit par la négativité
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[QUOTE="ahmed II, post: 9939893, member: 233580"] Interview avec Ghaleb Bencheikh dans Jeune Afrique En vérité, moi qui croyais (ne me prenez pas au mot, c’est une figure de style) trouver quelques informations sur ses idées spirituelles et philosophiques -après tout il est théologien, (en plus d’origine algérienne, comme moi) et anime une émission sur l’islam à la TV- tout ce que j’ai vraiment retenu de ce monsieur, c’est qu’il n’aime pas Tariq Ramadan. Or il se trouve que j’ai un faible pour ce dernier. Là, le mot faible veut bien dire ce qu’il veut dire. Jeune Afrique publie donc un portrait de Ghaleb Bencheikh.* Une phrase mise en perspective avait attiré mon attention*: «*L’engagement dans une foi doit être broyé par la machine de l’entendement.*» Ah, me suis-je dit, voyons voir de quel bois il se chauffe! Ce n’est pas n’importe qui ce Ghaleb Bencheikh, il est le fils de l’ancien directeur du Conseil supérieur islamique en Algérie qui a été nommé recteur de la Grande Mosquée de Paris. Vous me direz que tout cela n’est que du bluff. En fait, il s’agit là d’une ambassade et que nous sommes en pleine politique. Je vous répondrais que vous prêchez un convaincu. Je parcours donc l’article qui s’étale sur deux pages. Rien! Sauf une réponse à une question que je tiens à recopier ici pour donner un peu de poids à ces lignes et remplir ma page. «*Pourquoi l’émission n’aborde-t-elle pas les sujets de l’actualité française liés à l’islam? – Je regrette que nous n’ayons pas pris à bras-le-corps les tabous qui intéressent le public. Mais faire parler des femmes intelligentes et charmantes d’exégèse coranique est la meilleure réponse à apporter au margoulin de Nantes », siffle-t-il en visant Lies Hebbadj, dont la polygamie et les pseudo-discours religieux agitent les médias français depuis des mois. « Le rythme d’information n’est pas le même. Islam est dans le temps de la réflexion », conclut-il. C’est tout. Et Constance Desloire, qui a écrit l’article, de conclure, ce que je trouve très drôle d'ailleurs, sur des paroles un peu relâchées de Bencheikh*: «*Combien de pseudo-islamologues apparaissent parce qu’ils n’ont rien pu faire par ailleurs ? Ça commence à me gonfler, comme disent les jeunes, ces imams autoproclamés ! » (Je dirais, moi, pour reprendre une maxime de Pascal: la nature a horreur du vide.) Ghaleb Bencheikh, continue Desloire, défend la vérité de sa religion et un débat d’idées exigeant. L’essentiel, pour lui, c’est le verbe. Lequel est, après tout, toujours "au commencement" » Mais là, madame Desloire, il n'a rien défendu du tout. Vous terminez quand enfin il y a un débur de commencement. Le lien si vous voulez lire l’article*: [URL="http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2605p0058-059.xml0/"]http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2605p0058-059.xml0/[/URL] * Jeune Afrique 12 décembre 2010 [/QUOTE]
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