Le mot « race » retiré du vocabulaire suédois

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Le gouvernement suédois vient d’annoncer qu’il envisageait de supprimer du champ législatif national, toutes mentions relatives à la race au motif que ce vocable ne serait en fait qu’une invention sociale.

Le ministre suédois de l’intégration Erik Ullenhag vient de déclarer à la Sveriges Television (SVT) «Nous savons tous que les différentes races humaines n’existent pas »

« Nous savons également que les fondamentaux du racisme sont fondés sur le fait de croire en l’existence de races différentes les unes des autres et que l’appartenance à une race autorise certains comportements voire même que certaines races seraient supérieures à d’autres .
Le concept de race fait partie d’au moins 20 lois suédoises dont le code pénal, les lois de l’aide financière aux étudiants ainsi que les lois de l’information au crédit. Jeudi, le gouvernement suédois a donc commencé à réfléchir sur la façon de modifier la sémantique de toutes ces lois, comme cela a été fait en Autriche et en Finlande.

Cette proposition a cependant fait l’objet de vives critiques venant notamment de l’Association nationale afro-suédoise (Afrosvensarnas Riksförbund, ASR).

Kitimbwa Sabuni, le porte-parole de l’ASR, a déclaré au journal The Local « Ce racisme scientifique basé sur la pré-existence de races humaines différentes sur lequel se concentre Erik Ullenhag est vain »

« Combien de personnes en Suède pensent vraiment comme lui ? Peut-être 100 maximum »

« Comment pourrons nous désormais lutter contre le racisme si le concept de race n’existe plus ? Le racisme va disparaître de facto de l’ordre du jour. Le gouvernement se perd donc dans un fantasme qui va de plus, interférer avec le travail sérieux (que nous effectuons) contre les dérives du racisme »

« The Local »
 
Le gouvernement suédois vient d’annoncer qu’il envisageait de supprimer du champ législatif national, toutes mentions relatives à la race au motif que ce vocable ne serait en fait qu’une invention sociale.

Le ministre suédois de l’intégration Erik Ullenhag vient de déclarer à la Sveriges Television (SVT) «Nous savons tous que les différentes races humaines n’existent pas »

« Nous savons également que les fondamentaux du racisme sont fondés sur le fait de croire en l’existence de races différentes les unes des autres et que l’appartenance à une race autorise certains comportements voire même que certaines races seraient supérieures à d’autres .
Le concept de race fait partie d’au moins 20 lois suédoises dont le code pénal, les lois de l’aide financière aux étudiants ainsi que les lois de l’information au crédit. Jeudi, le gouvernement suédois a donc commencé à réfléchir sur la façon de modifier la sémantique de toutes ces lois, comme cela a été fait en Autriche et en Finlande.

Cette proposition a cependant fait l’objet de vives critiques venant notamment de l’Association nationale afro-suédoise (Afrosvensarnas Riksförbund, ASR).

Kitimbwa Sabuni, le porte-parole de l’ASR, a déclaré au journal The Local « Ce racisme scientifique basé sur la pré-existence de races humaines différentes sur lequel se concentre Erik Ullenhag est vain »

« Combien de personnes en Suède pensent vraiment comme lui ? Peut-être 100 maximum »

« Comment pourrons nous désormais lutter contre le racisme si le concept de race n’existe plus ? Le racisme va disparaître de facto de l’ordre du jour. Le gouvernement se perd donc dans un fantasme qui va de plus, interférer avec le travail sérieux (que nous effectuons) contre les dérives du racisme »

« The Local »

Supprimons le mot terrorisme, homophobie, antisémitisme, islamophobie comme ça il n'y en aura plus non plus.
 

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Quand on veut manipuler la pensee, ou peut manipuler le language.

http://www.conscience-vraie.info/parole-manipulation.htm

Pourquoi on met un article féminin ou masculin pour désigner un pays,pas pour Israel?Pourquoi on nous impose Tsahal pour désigner l'armée sioniste?
Donc ne plus utiliser ces terminologies est un acte de résistance?
Les mots en guerre, je veux dire les mots que les médias utilisent pour parler de la guerre, perdent leur sens au premier coup de canon. La poudre met le feu aux dictionnaires et ce qui voulait dire noir signifie blanc.
La sémantique de l'état sioniste est de faire passer la langue militaire pour la vérité à répéter.Et quand, pour se calmer les nerfs, un soldat israélien pénètre à Gaza (acte inutile en Cisjordanie occupée où il est partout chez lui), il ne pratique pas un raid ou une invasion mais une "incursion", ce qui est beaucoup plus courtois.
Par ailleurs, on se demande comment les bombes, obus et missiles peuvent provoquer autant de morts à Gaza puisqu’il s’agit de "frappes", mieux de "frappes ciblées". La "frappe", c’est comme Messi tirant au but, nous sommes au Brésil et le Mondial continue. Il n’y a pas de mal à "frapper", comme une gifle donnée à l’enfant. Quand il y a des morts – ça arrive – il ne faut pas en faire un plat, c’est un "dégât collatéral", on ne fait pas d’omelette sans casser l’œuf palestinien. Et pensez-donc, si la "frappe" est "chirurgicale", elle ne peut faire que du bien, le bistouri ne détruit-il pas le cancer ......
Pour tout le monde, et surtout pour la presse qui en use et en abuse, «Tsahal» signifie «armée de l’Etat d’Israël». Mais qui a déjà remarqué que «Tsahal» s’écrit avec une majuscule et est utilisé sans article exactement comme s’il s’agissait d’un nom propre ?
Pourtant «Tsahal» n’est en fait qu’un acronyme dont l’origine est à rechercher du côté de l’hébreu «TSva» pour «armée», «Hagana» pour «de défense» et «LéYisraël» pour «d’Israël» ou, littéralement, «armée de défense d’Israël». Un acronyme que l’on ne se donne même plus la peine d’épeler comme «CFF» ou comme «CICR» et que l’on n’écrit plus tout en majuscules comme le veut l’usage.
France Inter , en 2002, avait décidé de ne plus utiliser l’appellation «Tsahal».
Celui qui parle le mieux de ce qu’il appelle une «machination lexicale» est Christophe Gallaz, qui, en 2002, concluait un de ses articles ainsi : «Alors qu’il faudrait s’attacher à distinguer clairement tout ce qui peut l’être, [notre intelligence] persiste allègrement dans l’imbroglio mental faisant que l’antisionisme égale l’antisémitisme, et qu’une manifestation de palestinophilie passe pour un amour du terrorisme. Salades! Déblayons! Autrement dit l’armée d’Israël ne s’appelle pas «Tsahal», point à la ligne.»
C'était en 2002.
En sémantique pure n'oublions pas le mot terrorisme. La totalité des soldats d'israel sont des terroristes. les chefs d'israel sont tous des terroristes, qu'ils aient commencé à sévir avant ou après la création illégitime de cet état sanguinaire. Ne parlons donc plus de tsahal, d'armée, d'état, ni même de "terrorisme d'Etat"... Israel est juste une énorme faction terroriste. Elle doit être combattue comme telle.
 
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