salam
Il parlait dune CAN comme si on ne lavait pas vue
Des trois conférences post CAN, 2008 avec Henri Michel, 2012 avec Eric Gerets et 2013 avec Rachid Taoussi, cest cette dernière, tenue samedi à Rabat, qui sort certainement du lot pour être des plus saugrenues.
Durant un peu plus de deux heures, M.Taoussi na trouvé aucune gêne pour insulter lintelligence des journalistes présents, tâchant maladroitement à leur faire gober du nimporte quoi. Au point que lactuel sélectionneur national pourrait être qualifié de «culotté de lAtlas» et ce, à plusieurs titres.
Culotté en dressant dès le départ un tableau où il nous présente une CAN bien propre à lui. Le bonhomme a vécu apparemment une compétition comme si du côté du Maroc on ne lavait pas vue. Pour lui, en dépit dune élimination au tour de chauffe, la participation reste positive.
Il prétexte que la majorité de léquipe, lui en premier, ont découvert le haut niveau, et que limportant pour le moment cest quil a déniché le noyau dur de léquipe nationale.
Culotté en reposant son analyse sur des « Si ». Des suppositions qui concernent Mehdi Nemli, forfait à cause dune blessure bien avant lentame de la compétition.
Rachid Taoussi a regretté cette absence, avançant que le joueur du MAT aurait pu être la révélation du tournoi sil navait pas contracté cette vilaine blessure, du fait quil sétait montré comme un élément polyvalent. Sauf quavec des «Si», on peut refaire le monde pour ne pas dire que Nemli, en forme, aurait connu le même sort que ses partenaires du championnat local retenus comme des réservistes de luxe.
http://www.libe.ma/Rachid-Taoussi-le-culotte-de-l-Atlas_a34793.html
Il parlait dune CAN comme si on ne lavait pas vue
Des trois conférences post CAN, 2008 avec Henri Michel, 2012 avec Eric Gerets et 2013 avec Rachid Taoussi, cest cette dernière, tenue samedi à Rabat, qui sort certainement du lot pour être des plus saugrenues.
Durant un peu plus de deux heures, M.Taoussi na trouvé aucune gêne pour insulter lintelligence des journalistes présents, tâchant maladroitement à leur faire gober du nimporte quoi. Au point que lactuel sélectionneur national pourrait être qualifié de «culotté de lAtlas» et ce, à plusieurs titres.
Culotté en dressant dès le départ un tableau où il nous présente une CAN bien propre à lui. Le bonhomme a vécu apparemment une compétition comme si du côté du Maroc on ne lavait pas vue. Pour lui, en dépit dune élimination au tour de chauffe, la participation reste positive.
Il prétexte que la majorité de léquipe, lui en premier, ont découvert le haut niveau, et que limportant pour le moment cest quil a déniché le noyau dur de léquipe nationale.
Culotté en reposant son analyse sur des « Si ». Des suppositions qui concernent Mehdi Nemli, forfait à cause dune blessure bien avant lentame de la compétition.
Rachid Taoussi a regretté cette absence, avançant que le joueur du MAT aurait pu être la révélation du tournoi sil navait pas contracté cette vilaine blessure, du fait quil sétait montré comme un élément polyvalent. Sauf quavec des «Si», on peut refaire le monde pour ne pas dire que Nemli, en forme, aurait connu le même sort que ses partenaires du championnat local retenus comme des réservistes de luxe.
http://www.libe.ma/Rachid-Taoussi-le-culotte-de-l-Atlas_a34793.html