Rachida Dati décorée par le Maroc

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Rachida Dati a reçu les insignes de Grand officier du Wissam Al Alaoui vendredi à l'Ambassade du Maroc à Paris. Cette distinction, qui lui a été remise par El Mostafa Sahel, ambassadeur du Maroc en France, est une façon de rendre hommage à la "trajectoire exemplaire" de Rachida Dati. Première femme d'origine maghrébine obtenir un ministère d'importance en France, Rachida Dati s'est dite très émue et a indiqué être "faite de trois pays, trois cultures" (France, Maroc, Algérie). "Je veux rendre hommage à (...)-Monde/ France, Distinction, Rachida Dati, El Mostapha Sahel

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Rachida Dati a reçu les insignes de Grand officier du Wissam Al Alaoui vendredi à l'Ambassade du Maroc à Paris. Cette distinction, qui lui a été remise par El Mostafa Sahel, ambassadeur du Maroc en France, est une façon de rendre hommage à la "trajectoire exemplaire" de Rachida Dati. Première femme d'origine maghrébine obtenir un ministère d'importance en France, Rachida Dati s'est dite très émue et a indiqué être "faite de trois pays, trois cultures" (France, Maroc, Algérie). "Je veux rendre hommage à (...)-Monde/ France, Distinction, Rachida Dati, El Mostapha Sahel

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J'espère qu'ils vont lui en donner une deuxième pour sa participation active à l'inauguration de la rue Ben Gourion.
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
elle est souvent ici, on la croise des fois avec son grand garde du corps

Une vraie femme d'affaires qui attires de plus en plus les investisseurs du moyen orient et c'est une décoration meritée pour tout ce qu'elle rapporte au pays :D
 

Nakame

VIB
Toi, tu vas te faire lyncher par les jaloux aigris :D: D

Oui en effet on est jaloux de ne pas être une femme, ministre (c'est notre plan de carrière à tous), de faire un bébé à la Une, de fricoter avec le gouvernement actuel, de s'appeler Rachida (mon rêve) et Dati aussi pourquoi pas et d'être un personnage public.

Qui ne souhaite pas être cela, ne peut qu'être jaloux et aigris, c'est bien connu, aucune place à la critique constructive, soit t'es une groupie, soit t'es jaloux :D
 
Qui ne souhaite pas être cela, ne peut qu'être jaloux et aigris, c'est bien connu, aucune place à la critique constructive, soit t'es une groupie, soit t'es jaloux :D

Je n'ai pas changé d'avis sur cette femme depuis le début:D: elle était au gouvernement par le fait du prince (et de son ex), et elle a disparu de la scène politique par le fait du prince (et de sa femme actuelle)....ascension et disgrâce d'une courtisane...
 

Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.
Je n'ai pas changé d'avis sur cette femme depuis le début:D: elle était au gouvernement par le fait du prince (et de son ex), et elle a disparu de la scène politique par le fait du prince (et de sa femme actuelle)....ascension et disgrâce d'une courtisane...

Petite question innocente évidemment. Tu n'aurais pas oublié une consonne ? :D
 

harissagirl

Quidquid latine dictum sit, altum sonatur
VIB
rachida dati qui est elle ? portrait du nouvel eco :D


On ne peut rien lui refuser. Elle le sait. Structurellement, son intelligence et son tempérament la placent au-dessus de la mêlée. Conjoncturellement, son image de « beurrette » et ses origines défavorisées arrivent à point nommé. Cerise sur le gâteau, elle vibre et sait faire vibrer. Son regard réveillerait un Sénat. Avec ses mots, tour à tour bruts et policés, avec ses manières, jamais familières mais toujours personnelles, elle force l’intimité des puissants. Dans les arcanes du pouvoir, elle est tous allée les voir. Et ils l’ont tous aidée. Rachida a toujours des choses à dire. A leur dire. D’abord, elle raconte son histoire, ensuite, elle interprète celle de ses interlocuteurs. Adolescente, elle a passé des nuits à feuilleter le Who’s who et à découper les journaux, s’inspirant des réussites de ceux qui ne venaient de rien, apprenant par cœur les chemins de ceux qu’elle prévoyait de rencontrer. Conseiller technique de Nicolas Sarkozy, en charge du projet de loi « prévention de la délinquance », elle est parvenue à ce qu’elle voulait. « J’ai eu peur du déterminisme. Il fallait que j’accède à autre chose. » Gagné. Coachée par l’establishment, elle a franchi les caps de formation et d’expériences professionnelles, un à un. Désormais, il ne lui reste qu’une crainte, enfouie : retourner d’où elle vient…

Drôle d’endroit pour une rencontre
Une réussite à l’américaine. Menée à force de volonté, d’acharnement. Dans sa vie, rien n’arrive par hasard. Tout est écrit, calculé, orchestré au millimètre près. Si elle avait fait confiance à la chance, elle serait certainement encore à Chalon-sur-Saône, la ville de son enfance. C’est là que tout a commencé. Au début, elle voulait juste gagner un peu d’argent. A quatorze ans, elle fait du porte-à-porte pour vendre des produits cosmétiques. Puis anime un centre aéré, travaille dans une grande surface. A seize ans, c’est le grand tournant. Standardiste et aide-soignante dans une clinique privée, elle glane la presse abandonnée dans les salles d’attente. Chez elle, la nuit, elle se documente, s’imprègne du monde qui la fait rêver, repère les cibles de ses ambitions, leur écrit, parfois. Des lettres de Rachida, beaucoup en ont reçu. Longues, minutieuses, déterminées, poignantes. Qui lui résisterait ? La jeune fille a décidé de sortir de son milieu, aimant mais défavorisé, socialement et matériellement. Un père maçon, d’origine marocaine, autoritaire, ponctuel, mélancolique. Une mère algérienne, rieuse, ancrée dans la vie, élevant ses douze enfants dans le culte de l’optimisme et de la réussite scolaire. « Ma mère était la lumière de ma vie. Quand je l’ai perdue, j’ai pensé avoir été punie. » Après sa disparition, Rachida s’occupera de ses frères et sœurs. « Je les ai installés dans la vie qu’ils ont. » Ingénieurs, comptables… A Paris, elle vit aujourd’hui avec sa dernière sœur et sa petite nièce : « Je vérifie les cours et les emplois du temps. Si je les laisse agir à leur guise, rien ne se passe comme je le souhaite. » Rachida fera des études. Plus poussées que prévu. A 21 ans, en faculté d’économie à Dijon, une information trouvée dans un hebdomadaire l’interpelle. L’ambassade d’Algérie donne une réception à Paris. Le ministre Albin Chalandon sera présent. C’est décidé. Elle y sera. Par courrier, toujours, elle demande une invitation à l’ambassade, qui accepte. Et prend le risque de quitter la clinique pour laquelle elle travaille, une soirée. Le creuset d’un destin.
 

harissagirl

Quidquid latine dictum sit, altum sonatur
VIB
Mes anges gardiens
« C’était comme dans un film. » Ils sont tous venus. Ils étaient tous là. Alors, elle n’hésite pas. Ni à interpeller Roger Hanin, qui est encore l’un de ses amis, ni à demander un rendez-vous à Albin Chalandon, qui deviendra l’un de ses mentors. Le ministre lui accordera un déjeuner. Elle lui demande de lui trouver un stage dans une entreprise. « Je peux vous mettre un pied à l’étrier, mais vous me prouverez que vous pouvez mettre l’autre », lui répond-il. Un Deug d’économie en poche, elle est embauchée comme comptable à la direction financière de Elf. Ensuite, tout s’enchaîne, à toute allure. En 1989, elle rencontre Jean-Luc Lagardère à l’occasion de la remise du prix de « la fondation de la vocation », décerné à sa sœur aînée. La famille Dati est présente au grand complet, illuminée par le dîner de gala. Encore une fois, Rachida ne perd pas son temps. Alors qu’il quitte la salle, elle demande un rendez-vous à Jean-Luc Lagardère. « Je rêve de travailler pour vous », n’hésite-t-elle pas à lui indiquer. Voilà ce qui est troublant. Avec elle, l’interlocuteur a toujours le sentiment qu’il lui est vital. Elle parle au cœur des êtres et déclenche leur ego en soulignant leur caractère indispensable. Un an plus tard, elle entre comme auditeur chez Matra. Dans le même temps, l’entreprise Lagardère lui finance un MBA. Après un bref passage par la Berd à Londres, elle devient secrétaire générale d’un bureau d’études de la Lyonnaise des eaux, et fait un rapport sur la politique de la ville pour Simone Veil. Elle a rencontré cette dernière, comme Jacques Attali, par l’intermédiaire de Marceau Long, à l’époque vice-président du Conseil d’Etat. Etudiante, elle lui avait écrit alors qu’il présidait un colloque sur l’Europe. Il l’avait reçue, lui ouvrant notamment la bibliothèque du Conseil. Depuis, il ne l’a jamais abandonnée, influant sur son parcours de manière intime et personnelle. Il fait partie de ceux qui lui ont vivement conseillé de devenir magistrat. « Pour gagner un statut. » Elle l’a fait. Reconnue, légitimée par elle-même, alors que, jusque-là, son parcours était illisible ou seulement tracé par les bonnes fées. Aujourd’hui, ses détracteurs lui reprochent une forme d’opportunisme. Mais pourquoi s’opposer à une ambition si délibérément, si sainement avouée ? Une chose est sûre, ceux qui l’ont aidée n’ignoraient rien de ses projections, se réjouissant, au contraire, de soutenir un chemin méritoire, là où d’autres sont enfermés dans l’immobilisme ou le contentement.

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harissagirl

Quidquid latine dictum sit, altum sonatur
VIB
Les sentiers de la gloire
« Pierre de Bousquet, Marceau Long et Simone Veil m’ont conseillé de faire l’Ecole nationale de la magistrature. S’ils m’avaient dit de faire n’importe quoi d’autre, je l’aurais fait, de la même manière, car ils ont toujours été bienveillants avec moi. » En demandant conseil, elle vous confie sa vie, son destin. Magistrate, voilà la fonction qu’elle a préféré. Mais en 2002, elle a, pour la seconde fois, écrit à Nicolas Sarkozy. La première rencontre avait eu lieu en 1996, à Neuilly, « juste comme cela ». Il lui avait dit « si un jour vous avez besoin de moi, n’hésitez pas ». Voilà le genre de phrase que l’on ne dit pas deux fois à Rachida. Il y a quatre ans, elle lui a demandé de venir travailler auprès de lui. Place Beauvau, dans son bureau, le ministre n’a pas tergiversé : « Je n’ai pas de raison de me priver de vous. » Deux mois plus tard, elle intégrait son cabinet. Elle ne le cache pas, la relation qu’elle entretient avec le couple Sarkozy dépasse largement les limites professionnelles. « Je suis fascinée par le parcours de Nicolas Sarkozy. C’est quelqu’un à qui l’on n’a jamais rien donné. Il a tout eu à l’arraché, avec succès. Il y a quelque chose chez lui qui fait écho chez moi : le refus de la fatalité, peut-être. J’ai un attachement pour lui au-delà de son engagement politique. » Quant à Cécilia, la relation semble encore plus dense, plus amicale. « Elle a été très importante dans mon intégration au sein de l’équipe et de la place entière que j’y occupe. C’est une véritable webcam, elle voit tout, ce qui va et ce qui va moins bien. Elle a toujours le bon mot et le bon geste. J’ai une affection irréversible à son égard. » Interrogée, la femme de ministre n’est pas avare de compliments. Ses propos laissent entrevoir une douceur cachée : « Rachida incarne l’aboutissement d’une femme accomplie. Bien que la vie ne l’ait pas épargnée, elle garde une grande tolérance envers les autres et une véritable humilité envers elle-même. Elle ne m’a jamais manqué. Elle m’a toujours encouragée, y compris dans les moments difficiles. Plus que de l’amitié, j’ai de l’admiration pour elle. » La fusion de cette nouvelle équipée se traduit par la présence accrue de Rachida, autant technique que médiatique. La conseillère se trouve désormais sur tous les fronts et tous les clichés. Il est probable que ce déploiement attire les critiques, associant son implantation à une forme de « discrimination positive ». Mais Rachida n’est pas d’abord cela. Bien sûr, son histoire la conduit à la duplicité, la plaçant entre l’élite et la banlieue. Une faille devenue chance, aubaine politique. Car elle seule ose héler les jeunes en banlieue, leur demandant de retirer leur casquette en présence du ministre… Décidément, elle n’a peur de rien. Sauf peut-être d’elle-même. Car son manque d’assurance la sauve d’une ambition qui, parfois, émaille les esprits bien-pensants. « La politique sert à empêcher les déterminismes », lance-t-elle, en guise de justification
 
Rachida Dati a reçu les insignes de Grand officier du Wissam Al Alaoui vendredi à l'Ambassade du Maroc à Paris. Cette distinction, qui lui a été remise par El Mostafa Sahel, ambassadeur du Maroc en France, est une façon de rendre hommage à la "trajectoire exemplaire" de Rachida Dati. Première femme d'origine maghrébine obtenir un ministère d'importance en France, Rachida Dati s'est dite très émue et a indiqué être "faite de trois pays, trois cultures" (France, Maroc, Algérie). "Je veux rendre hommage à (...)-Monde/ France, Distinction, Rachida Dati, El Mostapha Sahel

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Qu'ils la décorent, soit
mais certainement pas pour sa "trajectoire exemplaire":c'est juste une courtisanne.
Elle n'est surement pas un modéle pour les français issus de l'immigration
 
Qu'ils la décorent, soit
mais certainement pas pour sa "trajectoire exemplaire":c'est juste une courtisanne.
Elle n'est surement pas un modéle pour les français issus de l'immigration

bientôt un wissam alaoui à Zahia.. c'est une trajectoire exemplaire aussi, elle gagne 20 000 euros par mois à 18ans :D
 
HS:j'ai plus de compassion et d'indulgence pour cette pauvre gamine que pour cette courtisane.
pour moi , y'a pas de différence entre les deux!!!
un modèle à suivre en effet :-D

oups, on va nous traiter de jaloux aigris, ne dit on pas la fin justifie les moyens ? :-D
moi j'avoue , je suis jalouse :D
ch7al men dar ?? :roll-eyes:

20 000 x10=200 000
200 000/2000= 100 :langue:
 
Je n'ai pas changé d'avis sur cette femme depuis le début:D: elle était au gouvernement par le fait du prince (et de son ex), et elle a disparu de la scène politique par le fait du prince (et de sa femme actuelle)....ascension et disgrâce d'une courtisane...

nous sommes d'accord mais apparemment en disant cela tu pourrais passer pour un jaloux...
 

FPP75

VIB
La nomination et la destitution de tous les ministres est le fait du prince. Pourquoi on le reproche uniqument à Rachida et pas à Darcos, à Rama, à NKM, à Roselyne ??? Parcequ'elle s'appelle Rachida ??????
 
La nomination et la destitution de tous les ministres est le fait du prince. Pourquoi on le reproche uniqument à Rachida et pas à Darcos, à Rama, à NKM, à Roselyne ??? Parcequ'elle s'appelle Rachida ??????

Perso je trouve assez stérile le débat sur la légitimité de Rachida Dati....

ce qui me gène vraiment c'est sa participation dynamique à l'inauguration de la rue Ben Gourion, ça ce n'est pas le fait du prince et que l'on ne vienne pas invoquer le devoir politique.

Si elle avait mérité une médaille de l'ambassadeur marocain avant cette inauguration, elle n'aurait jamais du lui être remise après cette honteuse inauguration. On ne peut pas faire abstraction de tout, les juifs l'ont bien compris, l'inverse aurait été impardonnable à leur yeux et c'est de cette manière qu'ils avancent...

Nous récompensons la lâcheté.
 

Aphrodisia

w na3na3 ?
La nomination et la destitution de tous les ministres est le fait du prince. Pourquoi on le reproche uniqument à Rachida et pas à Darcos, à Rama, à NKM, à Roselyne ??? Parcequ'elle s'appelle Rachida ??????

T'en as vu des Abbass Minsitre toi ??? :D

c'est normal, elle leur créve le coeur et surtout qu'elle leur chie dessus :D
 

zigotino

FluCtuAt NeC MeRgitUr
VIB
Tout est bon pour faire parler d'elle miskina. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que tant que Sarko est aux manettes, elle est morte politiquement. Elle peut s'accrocher à son titre de mairesse. Qu'elle soit patiente, fasse sa travers-ée du désert (ça lui rappelera ses origines) et tout ira bien. Tout le monde passe par là ... ça forge le caractère même si en digne beurette (ou représentatrice de la diver-sité), elle en a; bien que trop portée sur le m'as tu vu; un autre caractère typiquement beurette cacahuète pirouette. Le bling-bling, ça éblouie mais ça aveugle aussi ...

Flexement
 
Comment est-il possible que les autorités marocaines n'aient pas pensé organiser un référendum (uniquement pour les marocains et les M.R.E.) en France ET au Maroc avec une seule question:
Rachida doit-elle recevoir une décoration marocaine?

Et si le résultat n'atteint pas les 100 %, on ne la lui donne pas.

Et puis! Comment est-il possible de n'avoir pas demandé l'avis de tous les bladinautes?

C'était ma c.nnerie du jour. ;):)
 
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