Radicalisation : le gouvernement populiste mr nva met il la population en insécurité?

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http://www.rtl.be/info/belgique/pol...pressif-n-est-pas-efficace-a-100--705819.aspx


Madrane (PS): "En matière de radicalisation, le tout répressif n’est pas efficace à 100 %"

Rachid Madrane, le ministre PS de l’Aide à la Jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles, est l’invité de la rédaction de Bel RTL. Depuis le Danemark, il répond aux questions de Martin Buxant.
Martin Buxant: Ils ont la solution ici au Danemark, puisque le nombre de départs vers la Syrie a drastiquement diminué. Ça veut dire que sans sanction ou quasiment, on est plus efficace ?

Rachid Madrane: "En tout cas, ce modèle révèle une chose, c’est que le tout répressif n’est pas efficace à 100%. C’est-à-dire qu’il faut marcher sur les deux jambes. Il faut à la fois du répressif mais il faut aussi la carotte, il faut la prévention. Et je crois que la particularité de ce modèle, c’est de faire le pari que d’abord avec la prévention, avant de passer à la répression, on peut remettre des jeunes sur le droit chemin."
Martin Buxant: Vous êtes d’accord qu’il faut quand même de la répression ?
Rachid Madrane: "Ça c’est indiscutable. Il faut le bâton évidemment et c’est le bâton qui fait qu’ils peuvent accepter le modèle de la carotte."
 

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autre source
http://www.lecho.be/detail.art?a=9608270&n=7838&ckc=1
C'est en direct du Danemark que Rachid Madrane a répondu aux question de Martin Buxant (L'Echo) pour l'interview politique de bel-rtl. Le ministre francophone de l'Aide à la Jeunesse et de la Justice est à Aarhus au Nord du Danemark pour parler déradicalisation des djihadistes qui rentrent de Syrie.
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Le Danemark est avec la Belgique un des pays qui envoie le plus de combattants en Syrie et en Irak. Les autorités danoises mènent des expériences pilotes pour prendre en charge les djihadistes revenus du front. Le ministre francophone de l'Aide à la Jeunesse est sur place pour s'inspirer de la méthode danoise. Un modèle avant tout basé sur la prévention.

Une des innovations de la réponse danoise au problème des djihadistes est l'assignation d'un mentor qui accompagne les jeunes dans leur déradicalisation.
 

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Pendant que le gouvernement populiste MR NVA, parti qui a accueilli de nombreux transfuges d'extrême droite (http://www.lesoir.be/archives?url=/...e-plateforme-pour-l-extreme-droite-926960.php ) et qui a été jugé partit raciste (http://www.lesoir.be/550069/article...t-lutgen-n-va-raciste-francis-delperee-raison) , propose des mesures complètement stupides (Reynders a reconnu lui même face a Racjid Madrane dans un émission mise au point que cette mesure n'est pas du tout efficace)comme le retrait de a nationalité des jeunes de la 3 eme générations (pourquoi pas la 10 ème? :)), en France, avance en agissant en amont, aux causes de la radicalisations des jeunes qui sont le racisme, l'absence de perspectives d'emploi et surtout les écoles ghettos qui sont en Belgique d'après le rapports PISA, les pires d'Europe (pas d'esprit critique rend les jeunes manipulables par les crapules extrémistes)...

http://www.rtbf.be/info/monde/detai...tre-la-ghettoisation-des-banlieues?id=8826322
France : un plan de lutte contre "la ghettoïsation" des banlieues
MONDE | Mis à jour le jeudi 22 janvier 2015 à 16h09

Le Premier ministre français Manuel Valls a proposé jeudi "une politique du peuplement" pour les banlieues françaises afin de lutter contre "la ghettoïsation" de quartiers sensibles majoritairement habités par des immigrés
"Politique du peuplement, pas seulement politique du logement et de l'habitat. Politique du peuplement pour lutter contre la ghettoïsation, la ségrégation", a déclaré Manuel Valls qui s'exprimait à Paris deux semaines après les attentats meurtriers commis par des jihadistes.
"Je ne supporte pas, comme Républicain, de voir cet enfermement, cette relégation dans un certain nombre de ces quartiers (...), que dans des écoles on ne trouve que des élèves issus de familles pauvres, souvent monoparentales, issues uniquement de l'immigration, des mêmes cultures et de la même religion" a-t-il martelé. "Comment voulez-vous qu'on s'en sorte? ", a-t-il demandé.
Manuel Valls, qui a rappelé qu'il avait été l'élu d'une ville de banlieue, Evry, au sud de Paris, "pendant 30 ans", est revenu sur le terme "d'apartheid" qu'il avait utilisé mardi à propos de ces quartiers difficiles et qui a déclenché une polémique avec l'opposition de droite.
"Peu importe les mots, moi j'ai utilisé les mêmes depuis dix ans parce qu'ils disent la réalité", a fait valoir le Premier ministre socialiste en réponse à la question d'un journaliste. "La faute c'est de ne pas avoir eu le courage de nommer ces situations".
Belga
 

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Pendant que le MR et la NVA (parti jugé raciste par Verrofstadt, Delperré et bien d'autres) propose des mesures pour lutter contre les symptômes de la radicalisation des jeunes, la France et les autres pays européens proposent eux des mesures en amont :

http://www.ouest-france.fr/logement...euros-pour-casser-les-ghettos-urbains-3236387


Logement social. Un milliard d'euros pour casser les ghettos urbains



Manuel Valls a présenté vendredi, une série de mesures en faveur du logement social destinées, selon lui, à mettre fin aux situations d'« apartheid » en France.

Il avait promis une nouvelle « politique de peuplement » dans les quartiers, pour casser les « ghettos urbains » qui mettent la France dans une situation d'« apartheid social ». Manuel Valls avait usé d'un langage de vérité, en janvier, pour décrire un pays traumatisé par les attentats djihadistes et la montée du radicalisme religieux.
Les préfets vont sévir contre les communes qui ne respectent pas les quotas de logements sociaux
Les premières mesures ont été annoncées hier, à l'issue d'un comité interministériel. Les préfets pourront sévir dans les 216 villes qui ne respectent pas la loi SRU (Solidarité et rénovation urbaine) fixant des quotas de logements sociaux obligatoires dans les communes de 3 500 habitants et plus. Ils pourront se substituer aux maires pour délivrer des permis de construire, préempter des terrains, des logements ou des immeubles existants pour les transformer en logements sociaux.
« Ne pas rajouter de la pauvreté à la pauvreté »
À l'inverse, « des instructions seront données aux préfets pour limiter la construction de logements sociaux dans les 1 500 quartiers prioritaires, dès lors que le logement social y dépassera les 50 % », indique Matignon. Les personnes dont les ressources sont en dessous du seuil de pauvreté ne seront plus logées dans ces quartiers prioritaires. Une revendication des élus locaux dépassés par l'afflux d'une population fragile dans leurs quartiers sensibles.
Par ailleurs, pour ne pas recréer de ghettos, les logements sociaux détruits devront être reconstruits en priorité en dehors des quartiers prioritaires, où le logement intermédiaire et l'accession à la priorité seront favorisés. « Arrêtons de rajouter de la pauvreté à la pauvreté », a fait valoir le Premier ministre.
Les loyers seront fixés en fonction du revenu des locataires
La politique des loyers sera revue dans le parc social pour diversifier les habitants de ces immeubles. Ces loyers ne seront plus fixés en fonction du financement d'origine de l'immeuble, mais des revenus des locataires. « Cette possibilité permettra de minorer le loyer d'un logement dans une zone favorisée pour l'attribuer à un ménage à faibles ressources », explique le gouvernement.
Autre piste : le pilotage du logement social sera remonté au niveau intercommunal pour ne plus dépendre d'une seule commune. Une sorte de guichet unique, inspiré de l'expérience rennaise qui prendra en charge la définition des critères d'attribution, voire l'attribution des logements elle-même, et l'offre de logements qui pourrait être mutualisée.
Montant de l'opération ? « Un milliard d'euros sur trois ans », a précisé Manuel Valls.
 

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Pendant que le gouvernement fédéral belge dominé par la coalition MR et la NVA (parti jugé raciste par Verrofstadt, Delperré et bien d'autres) propose des mesurettes inefficace stupides voir contre productive (http://www.cnapd.be/Quand-notre-gouvernement-roule-a1094.html ) pour lutter contre les symptômes de la radicalisation des jeunes, la France et les autres pays européens proposent eux des mesures en amont efficaces


http://www.francetvinfo.fr/politiqu...s-mesures-en-faveur-des-quartiers_842309.html

Logement, quartiers sensibles, école : ce que prévoit le plan de Valls pour casser l'"apartheid

Le Premier ministre a présenté, vendredi, ses mesures pour favoriser la mixité sociale. L'objectif est, notamment, de construire de nouveaux logements sociaux dans les quartiers qui en sont dépourvus.

Deux mois après les attentats de Paris, le gouvernement a dévoilé, vendredi 6 mars, ses pistes pour raviver le lien à la République dans les quartiers sensibles, en s'appuyant sur l'éducation et, surtout, le logement pour casser le phénomène de ghettoïsation qui règne en France. Les mesures annoncées pour les quartiers sensibles par le gouvernement représentent "autour d'un milliard d'euros" pour les trois prochaines années, a précisé le Premier ministre

Voici les principales mesures annoncées par Manuel Valls pour favoriser la mixité sociale dans les quartiers et combattre "l'apartheid social, territorial et ethnique".
Sur le logement
Construire des logements sociaux en dehors des quartiers sensibles. L'Etat va saisir les préfets pour doper l'offre de logements sociaux dans les quartiers qui en comptent peu ou moins que ce qu'exige la loi SRU. Les préfets auront jusqu'au mois de juin pour faire des propositions, qui pourront être la délivrance de permis de construire au nom de la commune dans certains secteurs, ou bien la préemption du foncier ou de logements existants.
Limiter l'expansion des quartiers en difficulté. Par ailleurs, pour ne pas recréer de ghettos, les logements sociaux détruits devront être reconstruits en priorité en dehors des quartiers sensibles. De même, des instructions seront données aux préfets pour limiter la construction de logements sociaux dans les 1 500 quartiers prioritaires de la politique de la ville, dès lors que le taux de logement social y dépasse 50%.
Les bénéficiaires du droit au logement opposable (Dalo) les plus pauvres ne pourront plus être orientés vers les 1 500 quartiers prioritaires de la politique de la ville. L'idée est de "ne pas ajouter de la pauvreté à la pauvreté", a souligné Manuel Valls. Les nouvelles pratiques d'attribution commenceront à se mettre en œuvre dès cette année.
Agir sur les loyers des logements sociaux pour favoriser la mixité sociale. Pour accroître la mixité dans les logements sociaux, les bailleurs pourront moduler les loyers en fonction des revenus du ménage qu'ils souhaitent accueillir. Ainsi un loyer pourra être minoré dans une zone favorisée. En échange, le bailleur sera autorisé à pratiquer un loyer plus élevé dans un autre secteur plus favorisé.
Sur l'éducation et la formation
Redécoupage des secteurs scolaires. Pour favoriser la mixité scolaire, de nouveaux secteurs de recrutement des collèges doivent, à terme, être définis, pour regrouper plusieurs établissements. Dans un premier temps, un diagnostic va être réalisé d'ici à la fin de l'année scolaire. Par ailleurs, un nouveau redécoupage de la carte scolaire a été évoqué par le Premier ministre.
Les établissements prioritaires ciblés. Les enseignants ayant travaillé dans les établissements les plus difficiles situés dans les zones d'éducation prioritaire verront leur avancement "facilité". Environ 800 nouveaux emplois seront mobilisés pour scolariser, d'ici à 2017, 50% des enfants de moins de 3 ans dans l'éducation prioritaire la plus difficile (REP+). Dans chaque collège REP+, un poste d'infirmier et un poste d'assistant social seront prévus.
Plus de crédits pour certaines associations. Les associations intervenant dans les quartiers sensibles (culturelles ou sportives notamment) se verront dotées de 100 millions d'euros supplémentaires, ce qui rétablira les crédits supprimés entre 2008-2012.
L'apprentissage du français renforcé. L'apprentissage du français doit être renforcé en maternelle et en primaire avec de nouveaux programmes (rentrée 2015 en maternelle, 2016 en primaire). Les "parcours d'apprentissage" du français pour les immigrés doivent être améliorés. Le plan remet également en cause les "enseignements de langue et culture d'origine" (Elco), introduits au départ comme "aide linguistique" au retour au pays des enfants de migrants, mais dont le gouvernement reconnaît qu'ils "ne contribuent pas à l'intégration" des descendants de migrants en France.
La "grande école du numérique". Une "grande école du numérique" sera créée, qui ne sera pas "un établissement unique" mais un "bouquet de formations innovantes" labellisées. Des offres de formations courtes au numérique seront mises en place dans les quartiers sensibles, avec, à la clé, un label "grande école du numérique".
 

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«Apartheid social» : un milliard d'euros sur trois ans pour favoriser la mixité

http://www.lefigaro.fr/actualite-fr...os-sur-trois-ans-pour-favoriser-la-mixite.php



Quelques semaines après son utilisation du mot «apartheid», Manuel Valls a annoncé vendredi des mesures emblématiques pour favoriser la mixité sociale. Ce terme a «permis de traduire une réalité: ce sentiment de relégation dont souffrent beaucoup de nos concitoyens», a estimé en guise d'introduction le premier ministre. «Face à ce constat, certains avancent leurs solutions dangereuses, car en rupture totale avec nos valeurs et notre modèle social», a dénoncé Manuel Valls, avant de détailler quelques-unes de la soixantaine de mesures en direction des quartiers défavorisées. Un plan qui représente «autour d'un milliard d'euros» sur les trois prochaines années, sans compter certaines mesures liées à l'école et à l'accès à l'emploi, a détaillé Manuel Valls.
• Le logement
Manuel Valls a annoncé que «5 milliards d'euros seront affectés à de nouveaux programmes de rénovation, générant 20 milliards d'investissement et de travaux». Les projets de rénovation en cours seront par ailleurs «avancés de deux ans» afin de voir le jour «dès 2015-1016». Les logements sociaux détruits devront également être reconstruits en priorité en dehors des quartiers sensibles.
Le gouvernement entend par ailleurs renforcer sa fermeté à l'égard des communes ne respectant pas les seuils de logements sociaux. Les préfets seront notamment sollicités avant le mois de juin pour produire des logements sociaux dans les communes ne respectant pas les obligations légales, en délivrant au besoin les permis de construire.
À l'inverse, des instructions seront données aux préfets pour limiter la construction de logements sociaux dans les 1500 quartiers prioritaires de la politique de la ville dès lors que le taux de logement social y dépassera 50%». Les personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté dans ces zones -les bénéficiaires du droit au logement opposable (Dalo)- ne seront plus relogés dans ces quartiers les plus pauvres car «il faut arrêter d'ajouter de la pauvreté à la pauvreté», juge Manuel Valls. Thierry Repentin, ancien ministre du gouvernement Ayrault, va être nommé délégué interministériel en charge des quartiers en difficulté pour coordonner ce plan.
• L'école
«Nous devons lutter contre les contournements réguliers de la carte scolaire», a affirmé le premier ministre, afin d'encourager la mixité. «Une offre éducative par correspondance sera développée» et le «périmètre de recrutement des lycées» va évoluer. Le gouvernement entend également renforcer la formation des enseignants: «le choix d'enseigner dans les établissements relevant des conventions d'éducation prioritaire doit être valorisé».
Le premier ministre a également annoncé que l'accent serait mis sur l'apprentissage du français, «socle de la citoyenneté». La deuxième partie du quinquennat verra donc l'arrivée de nouveaux programmes scolaires, en 2015 pour la maternelle et 2016 pour le primaire. Une «agence de la langue française» sera créée afin de lutter contre «l'inégalité majeure qui existe entre ceux qui maîtrisent le français et ceux qui ne le maîtrisent pas».
• La lutte contre les discriminations
«Depuis 2012, par la loi, beaucoup a été fait en matière d'égalité femmes-hommes», a insisté Manuel Valls, indiquant que cette lutte devait continuer, notamment dans l'accès à l'emploi. «Lutter contre toutes les discriminations, c'est l'objectif de la politique de “testing” que nous mettrons en place dès cet automne», a annoncé le premier ministre. Le “testing” consiste a effectuer des tests de recrutement en proposant à des recruteurs ou à d'autres organismes un CV faisant apparaître un ou plusieurs critères de discrimination.
Manuel Valls a par ailleurs confirmé la mise en place d'actions de groupe contre les discriminations. Cette procédure juridique, qui permet à une catégorie de consommateurs ou de locataires qui se considèrent lésés par une décision d'aller ensemble en justice, pourra être sollicité dans des affaires de discrimination.
Des mesures devraient également toucher le recrutement dans la fonction publique. «L'État, la fonction publique, doivent être à l'image de ce qu'est la réalité de ce pays», a affirmé Manuel Valls. Pour ce faire, «l'accès au concours doit donc être beaucoup plus ouvert et diversifié».
• La sécurité
«Dans certains quartiers, c'est l'insécurité qui domine. Ces quartiers nous les connaissons. Nous y avons mis des ZSP», a réaffirmé le premier ministre. Prônant des «méthodes de travail plus globale», le chef du gouvernement a indiqué que le «pack deuxième chance», jusqu'ici testé en région Rhône-Alpes, sera généralisé. Cet outil prévoit notamment un «dispositif d'accompagnement individuel» à destination des «jeunes sans emploi, sans formation».
«Plus de moyens» doivent également être concentrés dans ces quartier «pour offrir une formation à tous», telle que l'apprentissage ou le parrainage.
• La laïcité
Le respect du principe de laïcité «n'est plus une question de loi» mais de «mise en œuvre» du texte de 1905, a estimé Manuel Valls. «Cela commence une nouvelle fois par l'école en formant mieux les enseignants», a indiqué le premier ministre. Plus largement, le chef du gouvernement estime que le statut de l'ensemble des fonctionnaires «doit rappeler que la laïcité est un principe essentiel de la fonction publique».
Dans les entreprises, le premier ministre souhaite que «chaque chef d'entreprise ou de service sache à qui s'adresser lorsque se pose une question de droit» lié à la notion de laïcité, sur un régime alimentaire spécifique ou une tenue vestimentaire particulière, par exemple. Une «démarche entre les partenaires sociaux et organisations professionnelles» doit permettre d'avancer sur ce point. Manuel Valls a également appelé les organisations professionnelles, «notamment le Medef, à s'investir dans les quartiers».
• Un grand débat national
Ces annonces constituent «à la fois les grands axes, les valeurs, la philosophie qui vont s'appliquer à court ou moyen terme», a expliqué Manuel Valls. Pour autant, il reste «nécessaire» d'envisager des «pistes nouvelles qui correspondent aux aspirations de notre époque». En conséquence, «un grand débat national sera organisé avant l'été dans un maximum de quartiers».
«Nous voulons faire vivre cette passion de la citoyenneté et de l'égalité. Nous voulons aussi porter un message d'espérance», a réaffirmé Manuel Valls, ajoutant que «tout ne se réglera pas à coups d'euros supplémentaires». «À travers cette réunion, ces propositions, cette démarche, cette méthode, nous voulons répondre avec gravité et volontarisme à cette exigence des Français qui s'est exprimée au mois de janvier.» Une autre réunion sera organisée le 13 mars afin d'envisager des mesures en direction, cette fois, des territoires ruraux.
 
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