Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités marocaines
Rapport 2010-2011 de l'ICPC : La lutte contre la corruption ne s'est pas améliorée
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="petitbijou, post: 11022838, member: 67618"] Anticorruption Le gouvernement louvoie Un rapport sévère de l’ICPC En moins d’un mois, c’est le deuxième diagnostic alarmant après celui du Cajac La justice mal armée, les procédures inefficaces La lutte contre la corruption que le PJD annonçait sans répit lors de sa campagne électorale n’a pas donné de résultats concrets. En attestent les conclusions du rapport de l’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC), présentées vendredi dernier à Rabat. C’est visiblement un président très déçu qui dresse un bilan au vitriol. Analysant la portée de la politique anticorruption adoptée par le gouvernement, Abdeslam Aboudrar considère qu’elle est «insuffisante et même dépourvue d’une dimension stratégique». Le rapport reproche aux responsables politiques la mise en place d’un champ restreint d’incrimination des actes de corruption. L’Instance, évaluant le classement mondial en matière de perception de la corruption, où le Maroc a occupé la 85e position estime que la justice est mal armée. Pour l’Instance, les sanctions prévues sont faibles en comparaison avec les normes d’intégrité et d’efficacité. «Même les règles et procédures des poursuites sont inefficaces. Des lacunes entachent la loi et rendent impossible l’engagement de ces procédures», a déploré Aboudrar. Le document dénonce également la défaillance de la gouvernance territoriale. A ce titre l’ICPC épingle la relation ambiguë entre les instances élues et les citoyens, l’inadéquation des organismes de tutelle et de contrôle. L’ICPC en profite au passage pour reprocher au gouvernement de marginaliser ses recommandations faites dans son rapport de 2009. «Celles-ci n’ont pas été concrétisées. Pourtant, les suggestions constituent d’importants outils anti-corruption», a-t-il lancé. Aboudrar n’a cessé de déplorer la persistance d’obstacles sur plusieurs niveaux. Un dispositif a bien été déployé pour les plaintes sur le portail «[url]www.stopcorruption.ma»[/url], mais bute sur l’insuffisance des preuves fournies par les plaignants. A ce sujet, Aboudrar a rappelé sa position quant à la loi sur la protection des témoins et des dénonciateurs. Pour lui, les sanctions prévues à l’encontre des dénonciateurs qui ne peuvent démontrer la véracité de leurs déclarations doivent être maintenues, contrairement à l’appel de Transparency Maroc qui veut les abroger. Dans le même ordre d’idées, le rapport condamne l’attitude de certaines administrations qui estiment qu’il n’est pas opportun de répondre aux plaintes qui leur ont été transmises par l’ICPC. [url]http://www.leconomiste.com/article/900201-anticorruptionle-gouvernement-louvoie[/url] [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités marocaines
Rapport 2010-2011 de l'ICPC : La lutte contre la corruption ne s'est pas améliorée
Haut