Le président du conseil de surveillance d'Areva Philippe Varin a, selon Le Figaro , adressé un courrier à l'Élysée dans lequel il s'inquiète des discussions en cours sur le rapprochement du groupe nucléaire avec EDF, et prévenu que le conseil d'administration attendait une solution globale au sauvetage d'Areva.
Les modalités de rapprochement entre Areva et EDF seront officialisées le 31 juillet par Areva, jour où le spécialiste du nucléaire doit présenter ses résultats semestriels.
Mais, selon Le Figaro, qui ne cite pas ses sources, Philippe Varin a écrit en tout début de semaine au président de la République pour faire part de ses inquiétudes et prévenir que "le conseil d'administration ne saurait approuver qu'un plan global assurant la viabilité de l'entreprise".
Le quotidien assure que le courrier ne contient "ni menaces ni coups de menton", mais "une mise en garde implicite en cas d'échec".
Des discussions se poursuivent
Le groupe nucléaire est dans un situation financière critique après avoir essuyé 4,8 milliards d'euros de pertes en 2014.
Des discussions, entamées début juin, se poursuivent. Elles portent sur les modalités de la prise de participation majoritaire d'EDF dans la branche réacteurs d'Areva (Areva NP), la création d'une co-entreprise dans l'ingénierie, les relations contractuelles entre les deux groupes, notamment en matière de combustibles nucléaires, et la stratégie commune à l'international.
En publiant ses résultats semestriels fin juillet, Areva devra annoncer à la communauté financière comment il compte trouver les quelque 7 milliards d'euros de financement dont il a besoin.
le point
mam
Les modalités de rapprochement entre Areva et EDF seront officialisées le 31 juillet par Areva, jour où le spécialiste du nucléaire doit présenter ses résultats semestriels.
Mais, selon Le Figaro, qui ne cite pas ses sources, Philippe Varin a écrit en tout début de semaine au président de la République pour faire part de ses inquiétudes et prévenir que "le conseil d'administration ne saurait approuver qu'un plan global assurant la viabilité de l'entreprise".
Le quotidien assure que le courrier ne contient "ni menaces ni coups de menton", mais "une mise en garde implicite en cas d'échec".
Des discussions se poursuivent
Le groupe nucléaire est dans un situation financière critique après avoir essuyé 4,8 milliards d'euros de pertes en 2014.
Des discussions, entamées début juin, se poursuivent. Elles portent sur les modalités de la prise de participation majoritaire d'EDF dans la branche réacteurs d'Areva (Areva NP), la création d'une co-entreprise dans l'ingénierie, les relations contractuelles entre les deux groupes, notamment en matière de combustibles nucléaires, et la stratégie commune à l'international.
En publiant ses résultats semestriels fin juillet, Areva devra annoncer à la communauté financière comment il compte trouver les quelque 7 milliards d'euros de financement dont il a besoin.
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