La médecine de qualité devient de plus en plus inaccessible au français moyen et encore plus à celui qui a le teint basané. La région parisienne surtout dans son Ouest se distingue par les la liberté des prix des actes, le fameux secteur deux, et lappel du conseil lancé de lOrdre de Versailles suggérant aux praticiens le libre choix de leurs malades.
Quand un Président de lOrdre écrit une lettre à ses affiliés en se posant comme leur défenseur pour quil refuse la cliente « indésirable »et que le même Conseil ferme les yeux sur les dépassements dhonoraires, tout dérapage est permis.
Ainsi un vieux malade qui porte sur le visage son origine sest présenté récemment au service de radiologie de lhôpital MIGNOT pour un scanner pour suivi dune affection grave compliqué de ce qui sest révélé par la suite être une urgence médicale. Après lexamen fait par un manipulateur, le malade en pleine crise demanda de voir le médecin pour être rassuré et savoir si ce que ce dernier pensait. Refus net du personnel chargé de laccueil. Le radiologue a donné des ordres. Pas de contact avec les malades qui passent par la consultation du secteur public. Il ne répond quaux questions et ne de ceux qui le consultent et le paient directement. Pour les autres, pour connaître son diagnostic ou avis il faut revenir chercher linterprétation dans 48 heures et retourner chez son médecin traitant pour explication.
Le malade dans ce circuit radiologique devient un objet commercial. Pris en charge par le personnel paramédical, il subit les examens qui seront ensuite commentés par le spécialiste sans aucun contact malade médecin et sans aucune humanité.
Vous me direz que dans notre France actuelle rien de nouveau.
Le petit vieux qui a subi la chose, après avoir été opéré pour une ce qui sest révélé une urgence, vue par le radiologue et non signalée, doù un retard de soins avec des complications sérieuses, se demande si dans ces conditions la télé médecine ne peut pas aider. Examens faits par les mêmes manipulateurs payés au SMIC et interprétation faites par des spécialistes de lUE moins gourmands.
Quand un Président de lOrdre écrit une lettre à ses affiliés en se posant comme leur défenseur pour quil refuse la cliente « indésirable »et que le même Conseil ferme les yeux sur les dépassements dhonoraires, tout dérapage est permis.
Ainsi un vieux malade qui porte sur le visage son origine sest présenté récemment au service de radiologie de lhôpital MIGNOT pour un scanner pour suivi dune affection grave compliqué de ce qui sest révélé par la suite être une urgence médicale. Après lexamen fait par un manipulateur, le malade en pleine crise demanda de voir le médecin pour être rassuré et savoir si ce que ce dernier pensait. Refus net du personnel chargé de laccueil. Le radiologue a donné des ordres. Pas de contact avec les malades qui passent par la consultation du secteur public. Il ne répond quaux questions et ne de ceux qui le consultent et le paient directement. Pour les autres, pour connaître son diagnostic ou avis il faut revenir chercher linterprétation dans 48 heures et retourner chez son médecin traitant pour explication.
Le malade dans ce circuit radiologique devient un objet commercial. Pris en charge par le personnel paramédical, il subit les examens qui seront ensuite commentés par le spécialiste sans aucun contact malade médecin et sans aucune humanité.
Vous me direz que dans notre France actuelle rien de nouveau.
Le petit vieux qui a subi la chose, après avoir été opéré pour une ce qui sest révélé une urgence, vue par le radiologue et non signalée, doù un retard de soins avec des complications sérieuses, se demande si dans ces conditions la télé médecine ne peut pas aider. Examens faits par les mêmes manipulateurs payés au SMIC et interprétation faites par des spécialistes de lUE moins gourmands.