LE PLUS. Accusés "d'agression sexuelle en réunion" sur une jeune femme handicapée mentale, ils viennent d'être relaxés par le tribunal correctionnel d'Angoulême. La raison ? La "conscience de l'absence de consentement de la victime" n'était pas établie. Le parquet et les parties civiles font appel et ne doivent pas en rester là, estime notre contributrice, juriste.
Il y a un an, cinq hommes, l’un accompagné de sa "petite" amie, se rendent chez un "septuagénaire" pour "boire l’apéro". Apparemment, une habitude. De ce septuagénaire, nous ne savons rien. Il n’était paraît-il pas chez lui au moment des faits.
La petite amie, Sophie, est "refilée" par son petit ami aux quatre autres hommes. Elle est violée, un "petit peu obligée", apprend-on de la bouche de celui qui l’a "refilée". Elle était "sa chose", dit un autre. En fait, elle a été ce soir là la CHOSE de ces cinq hommes !
Il y a un an, ces cinq hommes sont mis en examen pour viol sur personne vulnérable.
En juin 2014, le tribunal correctionnel juge ces hommes du chef d’agression sexuelle.
Le viol en réunion sur personne particulièrement vulnérable a donc été disqualifié en agression sexuelle. Qu’a fait le juge d’instruction ? Une demande d’expertise sur Sophie ? Et les cinq hommes ont-ils été expertisés ?!
Que veut dire cette relaxe ? Que des handicapées mentales peuvent êtres violées par des hommes et qu’il leur suffit de dire qu’ils n’avaient pas conscience de l’absence de consentement pour qu’ils soient relaxés et libérés, prêts à recommencer encore et encore.
Une abjection et ce pour plusieurs raisons.
http://leplus.nouvelobs.com/contrib...ee-les-5-points-abjects-de-cette-affaire.html
Il y a un an, cinq hommes, l’un accompagné de sa "petite" amie, se rendent chez un "septuagénaire" pour "boire l’apéro". Apparemment, une habitude. De ce septuagénaire, nous ne savons rien. Il n’était paraît-il pas chez lui au moment des faits.
La petite amie, Sophie, est "refilée" par son petit ami aux quatre autres hommes. Elle est violée, un "petit peu obligée", apprend-on de la bouche de celui qui l’a "refilée". Elle était "sa chose", dit un autre. En fait, elle a été ce soir là la CHOSE de ces cinq hommes !
Il y a un an, ces cinq hommes sont mis en examen pour viol sur personne vulnérable.
En juin 2014, le tribunal correctionnel juge ces hommes du chef d’agression sexuelle.
Le viol en réunion sur personne particulièrement vulnérable a donc été disqualifié en agression sexuelle. Qu’a fait le juge d’instruction ? Une demande d’expertise sur Sophie ? Et les cinq hommes ont-ils été expertisés ?!
Que veut dire cette relaxe ? Que des handicapées mentales peuvent êtres violées par des hommes et qu’il leur suffit de dire qu’ils n’avaient pas conscience de l’absence de consentement pour qu’ils soient relaxés et libérés, prêts à recommencer encore et encore.
Une abjection et ce pour plusieurs raisons.
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