Religion au travail

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
j'aimerais bien qu'il me cite les entreprises concernées par son étude qu'on puisse vérifier...ça se trouve on bosse dedans et y'a rien de tout ça...
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
L’expression religieuse dans l’entreprise

Quels sont les droits des citoyens français de confession musulmane (ou autre) sur leur lieu de travail (port du voile ou de la barbe, droit d’effectuer la prière, congés pour les fêtes religieuses, etc…)?
Il est de plus en plus fréquent aujourd’hui que sous couvert d’une vision personnelle de la laïcité et/ou d’une islamophobie latente, qu’un employeur outrepasse les lois françaises en matière d’expression religieuse dans l’entreprise. Discriminer ainsi une personne sur un critère prohibé par la loi (comme l’origine, le sexe, le handicap, la religion, …), dans un domaine visé par la loi (comme l’emploi, le logement, l’éducation, …) constitue en France un délit.

Suite à la demande de plusieurs entreprises, la HALDE [1] a tenu à rappeler les règles fixées par la loi et la jurisprudence pour l’expression religieuse dans l’entreprise.

La lecture de cet article paru le 10 avril 2009 sur le site internet de la Halde, permettra à tout un chacun, patron ou simple employé, de connaître le droit français en matière d’expression religieuse au sein de l’entreprise.............

L'expression religieuse dans l'entreprise
 
La pause cigarette est beaucoup plus couteuse que les prieres au travail qui sont d'une extreme rarete. Rien que là ou je bosse, il y a une dizaine de fumeur qui s'arrete 5-10 minutes toutes les 30-45 minutes facile à la fin du mois c'est plusieurs heures parties en fumee.

A ce stade, c'est du laxisme de la part de votre employeur ou vos responsables... 10 min tout les 45 min, c'est juste un scandale...
Fumer n'est pas un droit...
 
A ce stade, c'est du laxisme de la part de votre employeur ou vos responsables... 10 min tout les 45 min, c'est juste un scandale...
Fumer n'est pas un droit...
C'est toléré et cette tolérance peut coûter cher aux entreprises.
Un prière pendant un temps de pause acquis non...en réalité ceux qui accusent la prière d'être un danger pour la productivité sont d'un ridicule qui ne prouve que leur intolérance, leur islamophobie...c'est drôle.
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Chez nous au taf les filles font 2 pauses le matin et 2 l'après-midi bon le temps de fumer la clope hein...

Les techniciens idem sauf s'ils bossent sur une machine dehors donc la clope au bec...

La pause cigarette est beaucoup plus couteuse que les prieres au travail qui sont d'une extreme rarete. Rien que là ou je bosse, il y a une dizaine de fumeur qui s'arrete 5-10 minutes toutes les 30-45 minutes facile à la fin du mois c'est plusieurs heures parties en fumee.
 
Beaucoup de bruit pour rien.
C pas pour rien. Tout est bien étudié. Une stratégie bien tracée.
Déjà on a commencé à imposer la laïcité dans les lieux publiques, et selon les lois cette laïcité est la neutralité de l'état, et cette dernière qui doit la garantir.
Et là on aborde les signes religieux en entreprise, autrement dit en privé. et on veut passer ça à travers des études, ce n'Est pas pour rien que des chercheurs qui sont mis en avant. le piège, on vous laisse à discuter de la légitimité de ces signes dans un milieu privé, et discuter de genre d'études. Mais si on analyse bien la loi de laïcité ca ne touche pas les secteurs privés .
C,est une stratégie très bien connue pour amadouer les masses et passer d'autres lois.
C,est un début et c'est la meilleure période pour aborder ces questions dans un pays à la dérive.
 
Perso, ce qui me crispe, c'est plutôt ça : (extrait de l'article du Parisien posté par @bobbymorane) :

"Il y a d'abord les demandes personnelles : une absence pour assister à une cérémonie religieuse, un aménagement du temps de travail pour faire une prière, le fait de porter un signe religieux. Les cadres doivent traiter ces questions comme n'importe quelle demande personnelle. Il y en a ensuite d'autres, plus radicales et transgressives, comme de ne pas travailler avec une femme ou le refus d'accomplir certaines tâches. Cela représente 12 % des cas rencontrés, contre 6 % il y a deux ans. C'est donc un chiffre à prendre en compte. D'autant que les demandes sont collectives avec des salariés dans des positions radicales et des manageurs débordés. L'entreprise doit alors avoir une ligne très claire et sanctionner, car le piège est de laisser ce genre de choses passer puis de se faire piéger. Ces cas, les plus conflictuels, se concentrent dans quelques entreprises : les transports, la logistique, le bâtiment, le maraîchage et dans les banlieues."
Religion au travail : «Une sensibilité accrue depuis les attentats de janvier»

Que l'on porte un signe religieux ou qu'on utilise sa pause pour prier, pas de souci car la loi donne ce droit. Mais que certains arguent de leurs croyances religieuses pour discriminer d'autres personnes (comme refuser de travailler avec un représentant de l'autre sexe), c'est un peu trop fort de café. Surtout s'ils accusent leur manager de les discriminer ou de ne pas respecter leur religion alors qu'eux-mêmes demandent à pouvoir discriminer autrui :bizarre:.

De même, le refus d'accomplir certaines tâches me rappelle un article passé sur ajib qui se réjouissait qu'un homme de confession musulmane travaillant dans un supermarché britannique ait obtenu auprès de son employeur (Tesco si mes souvenirs sont bons) de ne pas avoir à toucher de l'alcool ou des aliments haram... Bah non, faut être cohérent aussi : si tu ne veux pas toucher du bacon et de la bière, tu ne postules pas pour un emploi dans un supermarché anglais. Si tu ne veux pas mettre tes mains dans le cambouis, tu ne deviens pas garagiste. La religion ne doit pas non plus être un passe-droit.

Enfin, heureusement, ces cas restent rares (12% des demandes selon l'étude), mais semblent progresser rapidement.
 
Dernière édition:
C pas pour rien. Tout est bien étudié. Une stratégie bien tracée.
Déjà on a commencé à imposer la laïcité dans les lieux publiques, et selon les lois cette laïcité est la neutralité de l'état, et cette dernière qui doit la garantir.
Et là on aborde les signes religieux en entreprise, autrement dit en privé. et on veut passer ça à travers des études, ce n'Est pas pour rien que des chercheurs qui sont mis en avant. le piège, on vous laisse à discuter de la légitimité de ces signes dans un milieu privé, et discuter de genre d'études. Mais si on analyse bien la loi de laïcité ca ne touche pas les secteurs privés .
C,est une stratégie très bien connue pour amadouer les masses et passer d'autres lois.
C,est un début et c'est la meilleure période pour aborder ces questions dans un pays à la dérive.
Vous voulez dire dans les institutions publiques, bien sûr.
 
Perso, ce qui me crispe, c'est plutôt ça : (extrait de l'article du Parisien posté par @bobbymorane) :

"Il y a d'abord les demandes personnelles : une absence pour assister à une cérémonie religieuse, un aménagement du temps de travail pour faire une prière, le fait de porter un signe religieux. Les cadres doivent traiter ces questions comme n'importe quelle demande personnelle. Il y en a ensuite d'autres, plus radicales et transgressives, comme de ne pas travailler avec une femme ou le refus d'accomplir certaines tâches. Cela représente 12 % des cas rencontrés, contre 6 % il y a deux ans. C'est donc un chiffre à prendre en compte. D'autant que les demandes sont collectives avec des salariés dans des positions radicales et des manageurs débordés. L'entreprise doit alors avoir une ligne très claire et sanctionner, car le piège est de laisser ce genre de choses passer puis de se faire piéger. Ces cas, les plus conflictuels, se concentrent dans quelques entreprises : les transports, la logistique, le bâtiment, le maraîchage et dans les banlieues."
Religion au travail : «Une sensibilité accrue depuis les attentats de janvier»

Que l'on porte un signe religieux ou qu'on utilise sa pause pour prier, pas de souci car la loi donne ce droit. Mais que certains arguent de leurs croyances religieuses pour discriminer d'autres personnes (comme refuser de travailler avec un représentant de l'autre sexe), c'est un peu trop fort de café. Surtout s'ils accusent leur manager de les discriminer ou de ne pas respecter leur religion alors qu'eux-mêmes demandent à pouvoir discriminer autrui :bizarre:.

De même, le refus d'accomplir certaines tâches me rappelle un article passé sur ajib qui se réjouissait qu'un homme de confession musulmane travaillant dans un supermarché britannique ait obtenu auprès de son employeur (Tesco si mes souvenirs sont bons) de ne pas avoir à toucher de l'alcool ou des aliments haram... Bah non, faut être cohérent aussi : si tu ne veux pas toucher du bacon et de la bière, tu ne postules pas pour un emploi dans un supermarché anglais. Si tu ne veux pas mettre tes mains dans le cambouis, tu ne deviens pas garagiste. La religion ne doit pas non plus être un passe-droit.

Enfin, heureusement, ces cas restent rares (12% des demandes selon l'étude), mais semblent progresser rapidement.
Sans vouloir être ironique, notre pays est dans une telle ***** que si les managers doivent tenir compte de toutes les demandes les plus farfelues, la croissance c'est pas pour demain.
 

Les deux mots ne vont pas ensemble, si tout chacun apporte ses croyances au boulot autant ne pas travailler.
Ne jamais mêler le privé et le professionnel, telle est ma devise.

(à moins d'être indépendant, et dans ce cas, avoir une pièce précise dans son entreprise pour y faire sa prière tranquillement)
 

pititecurieuse

Anti bullshit
VIB
Perso, ce qui me crispe, c'est plutôt ça : (extrait de l'article du Parisien posté par @bobbymorane) :

"Il y a d'abord les demandes personnelles : une absence pour assister à une cérémonie religieuse, un aménagement du temps de travail pour faire une prière, le fait de porter un signe religieux. Les cadres doivent traiter ces questions comme n'importe quelle demande personnelle. Il y en a ensuite d'autres, plus radicales et transgressives, comme de ne pas travailler avec une femme ou le refus d'accomplir certaines tâches. Cela représente 12 % des cas rencontrés, contre 6 % il y a deux ans. C'est donc un chiffre à prendre en compte. D'autant que les demandes sont collectives avec des salariés dans des positions radicales et des manageurs débordés. L'entreprise doit alors avoir une ligne très claire et sanctionner, car le piège est de laisser ce genre de choses passer puis de se faire piéger. Ces cas, les plus conflictuels, se concentrent dans quelques entreprises : les transports, la logistique, le bâtiment, le maraîchage et dans les banlieues."
Religion au travail : «Une sensibilité accrue depuis les attentats de janvier»

Que l'on porte un signe religieux ou qu'on utilise sa pause pour prier, pas de souci car la loi donne ce droit. Mais que certains arguent de leurs croyances religieuses pour discriminer d'autres personnes (comme refuser de travailler avec un représentant de l'autre sexe), c'est un peu trop fort de café. Surtout s'ils accusent leur manager de les discriminer ou de ne pas respecter leur religion alors qu'eux-mêmes demandent à pouvoir discriminer autrui :bizarre:.

De même, le refus d'accomplir certaines tâches me rappelle un article passé sur ajib qui se réjouissait qu'un homme de confession musulmane travaillant dans un supermarché britannique ait obtenu auprès de son employeur (Tesco si mes souvenirs sont bons) de ne pas avoir à toucher de l'alcool ou des aliments haram... Bah non, faut être cohérent aussi : si tu ne veux pas toucher du bacon et de la bière, tu ne postules pas pour un emploi dans un supermarché anglais. Si tu ne veux pas mettre tes mains dans le cambouis, tu ne deviens pas garagiste. La religion ne doit pas non plus être un passe-droit.

Enfin, heureusement, ces cas restent rares (12% des demandes selon l'étude), mais semblent progresser rapidement.
Il faudrait peut-être accomoder les volontés des uns et des autres tout en restant dans le cadre des valeurs républicaines... Par exemple, demandé un lieu pour que les croyants de différentes confessions puissent se receuillir ou prier.. oui pourquoi pas.. tant que ca reste dans des horaires de repos, et que ce soit aussi la volonté de l'employeur... il a comme même son mot à dire aussi...
Par contre évidemment à bannir... tout ce qui est contre les valeurs républicaines comme le refus de travailler avec une femme, ou si tu travailles dans lieu comme un bar, ou un super marché refuser de toucher les produits illicites.. (après tout c'est lui qui a fait sa demande d'embauche donc il doit assumer)..
En ce qui concerne les jours féries... là encore c'est la décision de l'employeur...
Il y a surement des négociations à faire de ce coté là... tant que ca ne devient pas une polémique national...
 
A ce stade, c'est du laxisme de la part de votre employeur ou vos responsables... 10 min tout les 45 min, c'est juste un scandale...
Fumer n'est pas un droit...
oui parce que la plupart de l'encadrement est fumeur, donc si je m'amusait a sortir discuter avec les fumeur je passerait tout de suite pour un bras cassé.
 
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