Bonjour
Voilà, soit on dit que l'âme, c'est la conscience, soit on dit que l'âme est une entité distincte de la conscience.
Si l'âme est la même chose que la conscience, force est de constater qu'elle est dépendante du corps. Pas besoin d'avoir fait de hautes études en neurosciences pour s'en rendre compte. La conscience est facilement perturbée par la fatigue, les privations, la douleur, les accidents, les substances toxiques, les maladies... Dans le sommeil profond, la conscience disparaît. Dans les accidents ou maladies graves, la conscience disparaît pour une période indéterminée.
Donc il y a pas un grand risque d'erreur si on fait un pas de plus et qu'on dit que quand le cerveau cesse de fonctionner, la conscience s'éteint.
Ou bien on dit que l'âme est distincte de la conscience, de sorte qu'elle n'est peut-être pas dépendante du corps, mais alors cette âme risque d'être un produit de l'imagination, une illusion... S'il n'y a aucune trace de cette âme dans notre expérience interne ou externe, de quel droit on l'accepterait?
Voilà, soit on dit que l'âme, c'est la conscience, soit on dit que l'âme est une entité distincte de la conscience.
Si l'âme est la même chose que la conscience, force est de constater qu'elle est dépendante du corps. Pas besoin d'avoir fait de hautes études en neurosciences pour s'en rendre compte. La conscience est facilement perturbée par la fatigue, les privations, la douleur, les accidents, les substances toxiques, les maladies... Dans le sommeil profond, la conscience disparaît. Dans les accidents ou maladies graves, la conscience disparaît pour une période indéterminée.
Donc il y a pas un grand risque d'erreur si on fait un pas de plus et qu'on dit que quand le cerveau cesse de fonctionner, la conscience s'éteint.
Ou bien on dit que l'âme est distincte de la conscience, de sorte qu'elle n'est peut-être pas dépendante du corps, mais alors cette âme risque d'être un produit de l'imagination, une illusion... S'il n'y a aucune trace de cette âme dans notre expérience interne ou externe, de quel droit on l'accepterait?