Salam à tous, j'espère que tout va bien dans vos vies...
Je voulais partager avec vous une petite histoire
Assise sur un banc fraîchement peint, j'observais cette veille maison qui avait tant occupée nos pensées. Je me souviens des nuits passées à discuter de son acquisition puis à organiser les travaux.
Tu me prenais par la main et m'emmenais avec toi dans ta course folle dans les couloirs sombres de cette veille dame en me racontant tous les projets que tu avais en tête.
Tu me disais avec fougue ton envie de participer aux travaux, tu voulais laisser ta trace sur cette bâtisse qui allait alors devenir notre havre de paix, comme tu aimais tant le dire. Je voyais la joie et le fierté se dessiner dans tes yeux comme l'histoire se dessine sur les murs du temps.
Pendant que je me laissais aller à la rêverie, je ne remarquais pas le soleil qui se faisait ardent jusqu’à ce que ton ombre altière m'extirpa de mes pensées. Je t'observais, les yeux plissés par les rayons du soleil, avec cette démarche assurée et ce sourire qui illuminait ton visage.
Tes cheveux étaient ébouriffés, ton jean portait encore les stigmates de la peinture, la chemise relevée jusqu'aux coudes, je constatais avec douleur les nombreuses éraflures sur tes avant-bras.
Tu t'assis alors près de moi, ton bras entourant mes épaules et me serrant fermement contre ta poitrine comme si tu craignais qu'un jour je ne t' échappe... Je me sentais si forte et fragile à la fois.
Accrochée à la branche de ce majestueux chêne centenaire, nous avions installé une balançoire de fortune dont on profitait allégrement comme deux enfants heureux.
Désormais, cette balançoire était devenue le terrain de jeu préféré de nos deux trésors, Adam et Sofia. Ils se chamaillent constamment mais ils se portent une affection telle que lorsqu'un l'un s'écorche le genou, l'autre est alors inconsolable.
Adam a tes yeux rieurs et ton sourire malicieux lorsqu'il s'apprête à faire des bêtises et Sofia quant à elle me ressemble comme tu aimes si bien le dire avec tant d'amour.
Nous entendions leurs cris et leurs rires au loin mais je me refusais à ouvrir les yeux. Blottie dans tes bras, je voulais que cet instant dure une éternité. Je ne remarquais pas les larmes qui coulaient sur mes joues, d'abord douces puis de plus en plus violentes.
J'essayais tant bien que mal d'ouvrir les yeux mais je restais là sans rien faire. Les larmes continuaient à perler sur mon visage, mon corps tremblotant si fort qu'il risquait de se briser à tout instant.
Je finis par ouvrir alors les yeux et remarquais alors qu'il ne s'agissait que d'un rêve.
Je voulais partager avec vous une petite histoire
Assise sur un banc fraîchement peint, j'observais cette veille maison qui avait tant occupée nos pensées. Je me souviens des nuits passées à discuter de son acquisition puis à organiser les travaux.
Tu me prenais par la main et m'emmenais avec toi dans ta course folle dans les couloirs sombres de cette veille dame en me racontant tous les projets que tu avais en tête.
Tu me disais avec fougue ton envie de participer aux travaux, tu voulais laisser ta trace sur cette bâtisse qui allait alors devenir notre havre de paix, comme tu aimais tant le dire. Je voyais la joie et le fierté se dessiner dans tes yeux comme l'histoire se dessine sur les murs du temps.
Pendant que je me laissais aller à la rêverie, je ne remarquais pas le soleil qui se faisait ardent jusqu’à ce que ton ombre altière m'extirpa de mes pensées. Je t'observais, les yeux plissés par les rayons du soleil, avec cette démarche assurée et ce sourire qui illuminait ton visage.
Tes cheveux étaient ébouriffés, ton jean portait encore les stigmates de la peinture, la chemise relevée jusqu'aux coudes, je constatais avec douleur les nombreuses éraflures sur tes avant-bras.
Tu t'assis alors près de moi, ton bras entourant mes épaules et me serrant fermement contre ta poitrine comme si tu craignais qu'un jour je ne t' échappe... Je me sentais si forte et fragile à la fois.
Accrochée à la branche de ce majestueux chêne centenaire, nous avions installé une balançoire de fortune dont on profitait allégrement comme deux enfants heureux.
Désormais, cette balançoire était devenue le terrain de jeu préféré de nos deux trésors, Adam et Sofia. Ils se chamaillent constamment mais ils se portent une affection telle que lorsqu'un l'un s'écorche le genou, l'autre est alors inconsolable.
Adam a tes yeux rieurs et ton sourire malicieux lorsqu'il s'apprête à faire des bêtises et Sofia quant à elle me ressemble comme tu aimes si bien le dire avec tant d'amour.
Nous entendions leurs cris et leurs rires au loin mais je me refusais à ouvrir les yeux. Blottie dans tes bras, je voulais que cet instant dure une éternité. Je ne remarquais pas les larmes qui coulaient sur mes joues, d'abord douces puis de plus en plus violentes.
J'essayais tant bien que mal d'ouvrir les yeux mais je restais là sans rien faire. Les larmes continuaient à perler sur mon visage, mon corps tremblotant si fort qu'il risquait de se briser à tout instant.
Je finis par ouvrir alors les yeux et remarquais alors qu'il ne s'agissait que d'un rêve.