Rififi dans le camp heae de giessen

Vols, agressions, viols telle est l'ambiance quotidienne dans le camp pour réfugiés de Giessen.
Ce lieu de coexistence entre différents groupes ethniques est le théâtre de bagarres entre bandes albanaises et réfugiés somaliens et érythréens.
D'autre part, les femmes non accompagnées sont des proies faciles. On signale de "nombreux" cas de viols et d'attouchements sans savoir combien de viols exactement ont été commis, difficile de donner des chiffres, mais selon l'expert. "Il y en a beaucoup.
Giessen compte 80.000 habitants, et il y a 6.000 réfugiés, sauf que 10% du nombre de naissances dans la ville concernent des enfants de demandeuses d'asile. Les femmes qui fuient leur pays ne font pas massivement des enfants. Cela témoigne sans aucun doute de grossesses non désirées", analyse le psychiatre Klaus-Dieter Grothe, qui travaille avec les réfugiés.
 
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