Femmesauvage
Proud of herself
Vous est-il déjà venu à l'esprit de vous poser cette question : mais pourquoi bon sang, nous les filles, on a vraiment des difficultés à nous caser ?
Ce sujet me turlupine, peut être que c'est futile, voir inutile. Toutefois, je tente en vain de comprendre ce petit, hum gros problème.
Penchons nous sur le cas de la gente masculine.
Pour commencer, eh oui, c'est un fait, les filles sont généralement plus cultivées que les garçons. Elles recherchent donc une personne avec qui, elles auront un minimum (je suis encore gentille) d’affinités et de sujets de conversations.
Commence donc l’épuration : évacuons, les dealers, les drogués, les fumeurs de hachich, les zoneurs, ...
Le constat est alarmant: il ne reste pas grand-chose.
Ensuite, évacuons, ceux qui ne sont pas très assidus dans leur religion, bien qu'ils soient cultivés. La liste devient de plus en plus restreinte.
N'oublions pas d'évacuer l’ extrémiste (passez-moi l'expression) je parle de celui qui porte une grosse djelaba, une barbe jusqu'au genou et qui pense que tout est interdit à la femme en Islam, exception faite du ménage et de l'obéissance aveugle
.
Je n’ose même plus jeter un coup d’œil à la liste.
Reste alors le petit groupe d’élites : le musulman pieu, cultivé, avec des bonnes manières.
Le hic, c’est que lui aussi a repéré les critères cfr ci-dessus. Il aura donc compris l’intérêt qui lui est porté.
Par conséquent, il n’échappera pas au syndrome bonhomme Michelin : et que je prends la grosse tête, le gros cou, les chevilles qui enflent, …
Il deviendra un véritable Don Juan, enfin un Don Jeloul ; il offrira les plus belles paroles à la pauvre Zoubida, qui le croira sans broncher, au moins, il lui aura offert un quart d’heure de bons moments imaginaires avant de la quitter pour recommencer l’aventure avec une autre Fatima. C’est qu’on y prend goût aussi, faut pas leur en vouloir !
Bref, vous l’aurez compris, le temps passe et la réalité nous rattrape.
Cependant, plusieurs solutions de secours s’offrent à vous, (ce que nos devancières ont fait) :
-épouser la personne qui n’a pas trop de sujets conversations, celle avec qui, on n’a vraiment rien à partager. Au moins, on ne dira pas de vous : « regarde celle-là, toujours pas mariée ! »
-épouser un étudiant (personne qui étudie en Europe mais qui n’a pas les papiers), cultivé certes, mais résidera toujours le problème dans son esprit de : « elle m’a fait les papiers ».
J’en conclus qu’ il aura toujours une dent contre toi. Fierté oblige !
-Et enfin, le bon cher et vieux cousin, le blédard : un mixte des deux premières solutions.
Ce sujet me turlupine, peut être que c'est futile, voir inutile. Toutefois, je tente en vain de comprendre ce petit, hum gros problème.
Penchons nous sur le cas de la gente masculine.
Pour commencer, eh oui, c'est un fait, les filles sont généralement plus cultivées que les garçons. Elles recherchent donc une personne avec qui, elles auront un minimum (je suis encore gentille) d’affinités et de sujets de conversations.
Commence donc l’épuration : évacuons, les dealers, les drogués, les fumeurs de hachich, les zoneurs, ...
Le constat est alarmant: il ne reste pas grand-chose.
Ensuite, évacuons, ceux qui ne sont pas très assidus dans leur religion, bien qu'ils soient cultivés. La liste devient de plus en plus restreinte.
N'oublions pas d'évacuer l’ extrémiste (passez-moi l'expression) je parle de celui qui porte une grosse djelaba, une barbe jusqu'au genou et qui pense que tout est interdit à la femme en Islam, exception faite du ménage et de l'obéissance aveugle
.
Je n’ose même plus jeter un coup d’œil à la liste.
Reste alors le petit groupe d’élites : le musulman pieu, cultivé, avec des bonnes manières.
Le hic, c’est que lui aussi a repéré les critères cfr ci-dessus. Il aura donc compris l’intérêt qui lui est porté.
Par conséquent, il n’échappera pas au syndrome bonhomme Michelin : et que je prends la grosse tête, le gros cou, les chevilles qui enflent, …
Il deviendra un véritable Don Juan, enfin un Don Jeloul ; il offrira les plus belles paroles à la pauvre Zoubida, qui le croira sans broncher, au moins, il lui aura offert un quart d’heure de bons moments imaginaires avant de la quitter pour recommencer l’aventure avec une autre Fatima. C’est qu’on y prend goût aussi, faut pas leur en vouloir !
Bref, vous l’aurez compris, le temps passe et la réalité nous rattrape.
Cependant, plusieurs solutions de secours s’offrent à vous, (ce que nos devancières ont fait) :
-épouser la personne qui n’a pas trop de sujets conversations, celle avec qui, on n’a vraiment rien à partager. Au moins, on ne dira pas de vous : « regarde celle-là, toujours pas mariée ! »
-épouser un étudiant (personne qui étudie en Europe mais qui n’a pas les papiers), cultivé certes, mais résidera toujours le problème dans son esprit de : « elle m’a fait les papiers ».
J’en conclus qu’ il aura toujours une dent contre toi. Fierté oblige !
-Et enfin, le bon cher et vieux cousin, le blédard : un mixte des deux premières solutions.
