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« rivarol », « valeurs actuelles », « marianne »… quand les fachos de droite et de gauche se rejoign
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[QUOTE="droitreponse, post: 13744555, member: 377946"] [USER=189505]@breakbeat[/USER] [USER=82014]@Hibou57[/USER] L'article de Marianne sur Beur FM (1/2 pages sur 20 consacrées aux complices de l'Islamisme ): « Les zinformés », vous connaissez ? Tous les soirs de la semaine, entre 20 h 30 et 22 heures, sur Beur FM, les invités de cette émission débattent de l'actualité sous la houlette de l'animateur Abdelkrim Branine. Chefs d'entreprise issus de la diversité, avocats, jeunes élus au verbe haut, membres distingués du Parti des indigènes de la République ou des Indivisibles..., chacun y va de son commentaire sur les événements du jour et de la veille. En décibels et en nombre de « je ne peux pas te laisser dire ça », on est dans le registre d’un talk-show tel qu’il en fleurit partout. Sauf qu'ici deux thèmes phares semblent tourner en boucle : l'islamophobie et le conflit israélo-palestinien. Parfois, aussi, on y tient en toute impunité, loin des oreilles des bonnes âmes chatouilleuses, des propos qui - comment dire ? - laissent pantois... Jeudi 2 avril, par exemple. Sans que personne s'en émeuve outre mesure, l'adjoint au maire UDI de Livry-Gargan, Salem Aïdoudi, s'est lâché sur Charlie Hebdo. Evoquant les tensions au sein de la rédaction autour de questions d'argent, l'élu se lâche : « Charlie montre son vrai visage. Ce sont des rats. » Intervention de l'animateur, qui tente de tempérer : « Il y a deux Charlie... » L'intéressé persiste : « Non, il n'y a qu'un Charlie, pour moi cela reste des rats d'égout. » Sur le plateau, aucun des invités ne réagit, ni l'avocate Nabila Belaïdouni, ni le représentant d'Acrimed (Action Critique Médias), ni celui des Indivisibles - un mouvement proche des Indigènes. Et même si Salem Aïdoudi finit par expliquer son courroux par le fait que personne du journal n'est venu rendre visite à la famille d'Ahmed Merabet, le policier natif de Livry-Gargan abattu par les frères Kouachi boulevard Richard-Lenoir, on reste plus que dubitatif quant à l'emploi de tels termes sur les 18 fréquences FM de la radio. « Il a eu une réaction épidermique, il était complètement là-dedans, défend Abdelkrim Branine. Ce n'était en aucun cas un jugement de valeur sur le journal en lui-même, et surtout pas sur les victimes. » Quand on connaît l'impact de l'émission, la tenue de tels propos provoque tout de même le frisson. Douteuses digressions "Dès qu'il s'agit d'islam, on voit toujours les mêmes. Nous, nous invitons des gens qui ne le sont pas d'habitude"Car « Les zinformés » sont devenus un véritable phénomène de société. L'émission, qui vise principalement les Français musulmans ou de culture musulmane et qui se présente comme une alternative pour tous ceux qui se pensent au mieux oubliés par les médias mainstream, au pis stigmatisés par ces derniers, bénéficie d'une grande popularité dans les « quartiers ». « Nous sommes écoutés par des gens d'un certain niveau social, une sorte d'élite des quartiers populaires », explique l'animateur, qui précise également jouir d'une audience confortable auprès des chauffeurs de taxi, « nos meilleurs ambassadeurs ». Depuis le lancement de l'émission, il y a deux ans, Abdelkrim Branine s'est constitué un noyau dur d'invités récurrents. « Dès qu'il s'agit d'islam, on voit toujours les mêmes dans les autres médias : Chalghoumi, Boubakeur, Chebel, Bidar, soupire Branine. Nous, nous invitons des gens qui ne le sont pas d'habitude. » Et le présentateur d'égrener ses têtes d'affiche préférées : « Me Yassine Bouzrou, l'un des meilleurs pénalistes parisiens, Farid Temsamani, consultant en intelligence économique, Youssef Boussoumah, du Parti des indigènes de la République, Sihem Souid, du PS... » Du beau monde, donc. Mais qui se laisse parfois aller à de douteuses digressions qui en disent long sur la fracture idéologique qui s'est installée entre la République et certains de ses enfants. Quand on ne s'y émeut pas que l'Etat poursuive les Français partis faire le djihad en Syrie avec l'Etat islamique et pas ceux partis faire leur service dans l'armée israélienne, on y traite le patron de l'Express, Christophe Barbier, de « cochon », comme l'a récemment fait Mourad Ghazli, ancien judoka, élu UDI, qui en a également profité pour « mettre une quenelle à Yann Barthès ». Quant à Aurélien Denizeau, « historien blogueur », il a expliqué, le 3 avril, qu'il était moins choqué quand Jean-Marie Le Pen qualifiait les chambres à gaz de « point de détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale » que quand sa fille prenait la défense de la Ligue de défense juive. « C'est une émission de débat, on n'est pas forcément d'accord avec ce qui se dit, il y a des oppositions fortes », dit Abdelkrim Branine, en précisant cependant qu'« il n'est absolument pas question d'inviter des gens de la mouvance Dieudonné. » Il y a, en tout cas, assez peu de points communs, sinon aucun, entre Radio Beur, née en 1983 après la marche des Beurs, et Beur FM, aujourd'hui.[B] Mohand Dehmous, un des animateurs historiques de la station, a vécu et accompagné la période d'effervescence artistique et culturelle des années 80 : « Je ne me reconnais absolument pas dans ces discours politico-religieux, dans ce concept d'islamophobie qui ne veut rien dire, et 90 % des Français d'origine maghrébine sont dans le même cas que moi. Il n'était jamais question de religion à l'antenne. Le problème est venu de SOS Racisme, de "Touche pas à mon pote" et du paternalisme du PS. On s'est mis à parler de respect du droit à la différence, et on en est arrivé au relativisme culturel, alors que justement nous voulions montrer que nous étions français, et qu'il n'y avait pas de différence. Ce que nous voulions, c'était l'égalité. » Pour lui, la fracture entre Radio Beur et Beur FM se résume en quelques mots : « Nous faisions une radio française à destination des populations migratoires, c'est devenu une radio arabo-musulmane. »[/B] [/QUOTE]
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