Le Roi Mohamed VI a reçu le 12/04/2012, dans son palais de Casablanca, M.Paulino Ribéro, Chef du gouvernement autonome des Canaries
A cette occasion et selon la presse espagnole, le roi Mohamed VI aurait confirmé au Chef du gouvernement autonome des Canaris qu’il n’y a pas eu de découverte de pétrole au large des Canaries, à la lisière des frontières maritimes entre le Maroc et les Canaries …et que rien ne permet de spéculer sur une éventuelle existence de pétrole dans cette région !
Selon l’Agence espagnole « EFE » , le Roi a tenu à rassurer le Responsable espagnole qui lui avait fait part des préoccupations du gouvernement « canarien » quant aux dommages sur l’environnement qui pourraient être causés dans l’hypothèse de l'exploitation d’une plateforme pétroliére « off shore »vu l’impact qu’elle pourrait avoir sur l’industrie touristiques des « Iles Canaries » et ce sachant que le tourisme représente 30 % du PIB des îles Canaries [/b]
Toujours selon l’Agence espagnole « EFE », le Roi Mohammed VI confirme néanmoins qu’une concession a bien été octroyée à la Sté Anglaise "Longgreach Royal Oil & Gas» pour effectuer des travaux de prospection dans cette région, mais rien n’a été découvert à ce jour et il n'est pas du tout certain qu’on découvre du pétrole (dans cette région)."
Pour sa part, le chef du gouvernement des îles Canaries insiste auprès du roi pour que «toutes les mesures de sécurité et les garanties nécessaires …soient prises pour respecter l'environnement"…dans l’hypthése d’une découverte d’hydrocarbures proche des Canaries .
Il précise que son gouvernement respecte la souveraineté du Maroc sur ses eaux territoriales et que sa démarche s’inscrit dans le cadre de l’amitié et la coopération hispano-marocaine [/b]
Cela dit, il convient de rappeler qu’au mois de Février 2012, M Paulino Ribéro, Chef du gouvernement Canarien avait rappelé dans des déclarations à la presse « la nécessité d'une démarcation de la frontière maritime entre le Maroc et l'Espagne, parce que cette démarcation est devenue urgente pour l'exploration de pétrole dans les eaux contestées entre les deux pays et ce pour éviter toute erreur dans l’octroi de concession d’exploration dans ces eaux là "
En même temps, le général Cesar Moro commandant militaire de l'armée dans les îles espagnoles des Canaries avait préconisé l’installation d’un radar militaire sur l'île de Tenerife pour parer à toute éventualité de tension avec le Maroc.
Source :[/b]
http://hespress.com/politique/51554.html
A cette occasion et selon la presse espagnole, le roi Mohamed VI aurait confirmé au Chef du gouvernement autonome des Canaris qu’il n’y a pas eu de découverte de pétrole au large des Canaries, à la lisière des frontières maritimes entre le Maroc et les Canaries …et que rien ne permet de spéculer sur une éventuelle existence de pétrole dans cette région !
Selon l’Agence espagnole « EFE » , le Roi a tenu à rassurer le Responsable espagnole qui lui avait fait part des préoccupations du gouvernement « canarien » quant aux dommages sur l’environnement qui pourraient être causés dans l’hypothèse de l'exploitation d’une plateforme pétroliére « off shore »vu l’impact qu’elle pourrait avoir sur l’industrie touristiques des « Iles Canaries » et ce sachant que le tourisme représente 30 % du PIB des îles Canaries [/b]
Toujours selon l’Agence espagnole « EFE », le Roi Mohammed VI confirme néanmoins qu’une concession a bien été octroyée à la Sté Anglaise "Longgreach Royal Oil & Gas» pour effectuer des travaux de prospection dans cette région, mais rien n’a été découvert à ce jour et il n'est pas du tout certain qu’on découvre du pétrole (dans cette région)."
Pour sa part, le chef du gouvernement des îles Canaries insiste auprès du roi pour que «toutes les mesures de sécurité et les garanties nécessaires …soient prises pour respecter l'environnement"…dans l’hypthése d’une découverte d’hydrocarbures proche des Canaries .
Il précise que son gouvernement respecte la souveraineté du Maroc sur ses eaux territoriales et que sa démarche s’inscrit dans le cadre de l’amitié et la coopération hispano-marocaine [/b]
Cela dit, il convient de rappeler qu’au mois de Février 2012, M Paulino Ribéro, Chef du gouvernement Canarien avait rappelé dans des déclarations à la presse « la nécessité d'une démarcation de la frontière maritime entre le Maroc et l'Espagne, parce que cette démarcation est devenue urgente pour l'exploration de pétrole dans les eaux contestées entre les deux pays et ce pour éviter toute erreur dans l’octroi de concession d’exploration dans ces eaux là "
En même temps, le général Cesar Moro commandant militaire de l'armée dans les îles espagnoles des Canaries avait préconisé l’installation d’un radar militaire sur l'île de Tenerife pour parer à toute éventualité de tension avec le Maroc.
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http://hespress.com/politique/51554.html