Saison touristique compromise sur la côte méditerranéenne à cause des ....méduses ?

ould khadija

fédalien
Contributeur
Apparition massive des méduses sur les côtes méditerranéennes.

Pas de danger certes, selon les spécialistes mais ces animaux marins réveillent tout de même de vieilles peurs

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LA côte tétouanaise accueille depuis quelque temps un bien gênant hôte : les méduses.

Ces animaux marins de la famille des cnidaires (prononcé knidaires) sont arrivés en force cette année sur cette partie de la Méditerranée.

Si tout le monde est d’accord que le phénomène n’a rien d’exceptionnel, en revanche son ampleur attire cette fois-ci l’attention.

Ces méduses ont été observées sur toute la rive ouest de la Méditerranée, depuis les Baléares en Espagne jusqu’à Oued Laou (banlieue de Tétouan) au Maroc.

L’espèce de méduse qui a envahi les côtes est désignée par les scientifiques sous le nom de «Pelagia Noctiluca», une espèce méditerranéenne bien connue qui vit dans les profondeurs marines.

Les marocains, eux, les ont baptisées du doux nom de «Hourraiga», l’urticante.


Et leur danger s’arrête en effet là: une légère sensation de brûlure et une douleur vive qui s’estompe au bout de quelques minutes, rien à voir avec les méduses du Pacifique dont le contact peut se révéler mortel.

De même, les autorités sanitaires de Tétouan n’ont pas constaté de cas alarmants, tout au plus deux cas dans une colonie de vacances soignés dans un dispensaire local.

Mais la phobie causée par ces animaux n’a pas manqué de se manifester.

En ce début de juillet, la station balnéaire de Mdiq présente un aspect désolant.

Le secteur touristique qui, avec la pêche, reste l’un des piliers de l’économie locale, tarde à se réveiller de la léthargie hivernale.

Et pour cause, les rumeurs sur «l’invasion» des méduses n’ont pas manqué de faire fuir les visiteurs habituels de la ville et de la côte.

S’il est encore trop tôt pour en cerner l’étendue, il n’en reste pas moins vrai que la baisse est visible même au niveau des plages, moins fréquentées que d’habitude.

«La baisse se remarque depuis le début de l’année», note Youssef Othman, directeur de l’Ibis Fnideq, mais l’effet méduses se laisse remarquer depuis le début de la haute saison, «des habitués de la région ne sont pas venus craignant les méduses».

Et la rumeur n’arrange pas les choses. Tant qu’elles sont encore là, difficile de prévoir un retour à la normale.


Les responsables communaux brillent par contre par leur absence. Aucune déclaration ni mesures pour protéger les baigneurs n’ont été mises en place.

Selon un responsable qui s’exprimait officieusement, la phobie risquerait de tourner au désastre si on arrivait à fermer les plages.

(...)

A Mdiq, même les chauffeurs de taxis se plaignent du manque de visiteurs. Les esplanades des cafés face à la côte restent moyennement fréquentées, les restaurants déplorent le nombre de tables vides.

(...)


Suite et source
http://www.leconomiste.com/article/...touristique-dans-le-nord#sthash.wsvtG1fe.dpuf
 

azzizi92240

Nomade
Apparition massive des méduses sur les côtes méditerranéennes.

Pas de danger certes, selon les spécialistes mais ces animaux marins réveillent tout de même de vieilles peurs

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LA côte tétouanaise accueille depuis quelque temps un bien gênant hôte : les méduses.

Ces animaux marins de la famille des cnidaires (prononcé knidaires) sont arrivés en force cette année sur cette partie de la Méditerranée.

Si tout le monde est d’accord que le phénomène n’a rien d’exceptionnel, en revanche son ampleur attire cette fois-ci l’attention.

Ces méduses ont été observées sur toute la rive ouest de la Méditerranée, depuis les Baléares en Espagne jusqu’à Oued Laou (banlieue de Tétouan) au Maroc.

L’espèce de méduse qui a envahi les côtes est désignée par les scientifiques sous le nom de «Pelagia Noctiluca», une espèce méditerranéenne bien connue qui vit dans les profondeurs marines.

Les marocains, eux, les ont baptisées du doux nom de «Hourraiga», l’urticante.


Et leur danger s’arrête en effet là: une légère sensation de brûlure et une douleur vive qui s’estompe au bout de quelques minutes, rien à voir avec les méduses du Pacifique dont le contact peut se révéler mortel.

De même, les autorités sanitaires de Tétouan n’ont pas constaté de cas alarmants, tout au plus deux cas dans une colonie de vacances soignés dans un dispensaire local.

Mais la phobie causée par ces animaux n’a pas manqué de se manifester.

En ce début de juillet, la station balnéaire de Mdiq présente un aspect désolant.

Le secteur touristique qui, avec la pêche, reste l’un des piliers de l’économie locale, tarde à se réveiller de la léthargie hivernale.

Et pour cause, les rumeurs sur «l’invasion» des méduses n’ont pas manqué de faire fuir les visiteurs habituels de la ville et de la côte.

S’il est encore trop tôt pour en cerner l’étendue, il n’en reste pas moins vrai que la baisse est visible même au niveau des plages, moins fréquentées que d’habitude.

«La baisse se remarque depuis le début de l’année», note Youssef Othman, directeur de l’Ibis Fnideq, mais l’effet méduses se laisse remarquer depuis le début de la haute saison, «des habitués de la région ne sont pas venus craignant les méduses».

Et la rumeur n’arrange pas les choses. Tant qu’elles sont encore là, difficile de prévoir un retour à la normale.


Les responsables communaux brillent par contre par leur absence. Aucune déclaration ni mesures pour protéger les baigneurs n’ont été mises en place.

Selon un responsable qui s’exprimait officieusement, la phobie risquerait de tourner au désastre si on arrivait à fermer les plages.

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A Mdiq, même les chauffeurs de taxis se plaignent du manque de visiteurs. Les esplanades des cafés face à la côte restent moyennement fréquentées, les restaurants déplorent le nombre de tables vides.

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elle m'a piqué une fois, je peux vous assurer que j'ai eu un tatouage sous forme de méduse pour presque un an! A éviter
 
Apparition massive des méduses sur les côtes méditerranéennes.

Pas de danger certes, selon les spécialistes mais ces animaux marins réveillent tout de même de vieilles peurs

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LA côte tétouanaise accueille depuis quelque temps un bien gênant hôte : les méduses.

Ces animaux marins de la famille des cnidaires (prononcé knidaires) sont arrivés en force cette année sur cette partie de la Méditerranée.

Si tout le monde est d’accord que le phénomène n’a rien d’exceptionnel, en revanche son ampleur attire cette fois-ci l’attention.

Ces méduses ont été observées sur toute la rive ouest de la Méditerranée, depuis les Baléares en Espagne jusqu’à Oued Laou (banlieue de Tétouan) au Maroc.

L’espèce de méduse qui a envahi les côtes est désignée par les scientifiques sous le nom de «Pelagia Noctiluca», une espèce méditerranéenne bien connue qui vit dans les profondeurs marines.

Les marocains, eux, les ont baptisées du doux nom de «Hourraiga», l’urticante.


Et leur danger s’arrête en effet là: une légère sensation de brûlure et une douleur vive qui s’estompe au bout de quelques minutes, rien à voir avec les méduses du Pacifique dont le contact peut se révéler mortel.

De même, les autorités sanitaires de Tétouan n’ont pas constaté de cas alarmants, tout au plus deux cas dans une colonie de vacances soignés dans un dispensaire local.

Mais la phobie causée par ces animaux n’a pas manqué de se manifester.

En ce début de juillet, la station balnéaire de Mdiq présente un aspect désolant.

Le secteur touristique qui, avec la pêche, reste l’un des piliers de l’économie locale, tarde à se réveiller de la léthargie hivernale.

Et pour cause, les rumeurs sur «l’invasion» des méduses n’ont pas manqué de faire fuir les visiteurs habituels de la ville et de la côte.

S’il est encore trop tôt pour en cerner l’étendue, il n’en reste pas moins vrai que la baisse est visible même au niveau des plages, moins fréquentées que d’habitude.

«La baisse se remarque depuis le début de l’année», note Youssef Othman, directeur de l’Ibis Fnideq, mais l’effet méduses se laisse remarquer depuis le début de la haute saison, «des habitués de la région ne sont pas venus craignant les méduses».

Et la rumeur n’arrange pas les choses. Tant qu’elles sont encore là, difficile de prévoir un retour à la normale.


Les responsables communaux brillent par contre par leur absence. Aucune déclaration ni mesures pour protéger les baigneurs n’ont été mises en place.

Selon un responsable qui s’exprimait officieusement, la phobie risquerait de tourner au désastre si on arrivait à fermer les plages.

(...)

A Mdiq, même les chauffeurs de taxis se plaignent du manque de visiteurs. Les esplanades des cafés face à la côte restent moyennement fréquentées, les restaurants déplorent le nombre de tables vides.

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Je n'ai jamais de souvenir de méduse depuis tout petit pourtant , la première fois que ce phénomène est apparu pour moi est dans le début des années 90 ...parait que c'est à cause du réchauffement?
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
Tant que c'est pas des Irukandji, et tant qu'on ne se fait pas piquer par plusieurs a la foi, c'est tres douleureux, mais on peut survivre. On peut se proteger avec des combinaisons SCUBA mais aussi en installant des filets fins autour des plages. Mais attention, ces filets ne protegent pas contre les micro-meduses mortelles comme Irukandji.
 

Islamogeek

Fissoul
:minute de rire ::D

certainement des colonies de méduses mené par Abu Médusa qui ont prété allégeance à Daesh pour envahir les plages marocaines et enquiquiner le Maroc.
:p
je rigole, je rigole, alors que je suis à tetouan , les gens attendent de finir le mois sacré pour prendre d'assaut les plages
 
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