Santé, ces services publics qui cachent des services privés

La presse rapporte le cas d’un célèbre chirurgien plastique qui du rôle de star est passé brusquement à celui d’un escroc. Chef de service dans un établissement prestigieux il disposait de structures publiques pour une activité privée sous condition de reverser à l’hôpital une partie des énormes honoraires que lui payait sa patientèle privée. Le praticien, depuis des années avait oublié de s’acquitter de ce dû pensant que sa célébrité et ses connaissances le mettait à l’abri de poursuites. L’administration ne céda pas et devant le scandale porté dans la rue, le Professeur quitta l’hôpital pour rejoindre un autre établissement. Là, encore, ce fut au tour des patients de dénoncer ses activités. Les chirurgiens de son service ne recevaient en priorité que ceux qui étaient disposés à payer les dépassements d’honoraires conséquents, leur secrétariat reportant à des dates dissuasives les plus humbles des citoyens. Mieux et j’en arrive à ce qui motive mon post, un hospitalisé a porté plainte devant contre un chirurgien qui avait accepta de l’opérer dans des délais raisonnables en contrepartie d’honoraires versés au noir. Le chef hiérarchique, notre célèbre chirurgien plastique interviewé par la presse à ce sujet, sans aucune déontologie, commença par revenir sur ses anciennes activités litigieuses pour balancer ses pairs. Ils seraient nombreux à ne pas reverser à l’hôpital ce qui lui revient, avant d’aborder l’affaire de son subordonné mis en accusation. Informé par la hiérarchie distractive en tant que responsable du service, il attendait les résultats de l’enquête pour se prononcer sur le devenir de son collaborateur, un chirurgien … d’origine algérienne qui avait acquis la nationalité française depuis peu !
 
le but du post n'est pas de dénoncer un praticien en privé , mais le système qui s'est généralisé et le dévoiement des sercices publics avec la dette des hôpitaux qui devient vertigineuse

le chirurgien plastique le plus célèbre en France ? tous les Français connaissent son nom. Je dénonce son peu de déontologie et son racisme. Son collaborateur est avant tout un citoyen français comme un autre. S'il a commis une faute, son chef doit expliquer le pourquoi et comment l'éviter à l'avenir , s'il le veut bien , mais non balancer le nom de celui qui jusqu'à preuve de la justice est innocent. Le professeur n'a pas cité de nom , mais comme les lecteurs savent dans quel hôpital il exerce , il suffit d'aller sur le site de l'établissement pour avoir le nom des spécialistes en chirurgie plastique. Il n'y a qu'un Mohamed
 
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