« sarkozy a fait de la libye un centre de djihadistes »

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Yacoub Salah a fui la guerre, déclenchée en mars 2011 par Paris et Londres. Arrivé cette année en France, il dénonce cette intervention qui a bouleversé sa vie, le transformant en clandestin.

« Il y a un Libyen qui parle bien français », nous informe-t-on à notre arrivée au lycée Jean-Quarré, à Paris, occupé par des réfugiés depuis le 31 juillet. Yacoub Salah s’est créé une petite notoriété dans le milieu militant qui gravite autour de l’établissement. Pour y accéder, il faut grimper un escalier de béton sur lequel sont assis quelques migrants qui discutent entre eux et blaguent, comme les lycéens devaient le faire avant la fermeture des lieux. La cour est le point névralgique en ce début de soirée d’été : au milieu, Yacoub, 27 ans, promène son sourire et son bonnet aux couleurs de la Jamaïque avec aisance, saluant de tous côtés.

« C’est l’Europe qui nous a mis dans cette situation »

Arrivé depuis quelques mois en France, le jeune homme a le contact facile et maîtrise l’arabe, l’anglais et le français, ce qui lui vaut le statut de passeur de messages. En Libye, il était guide touristique. Ici, il est sans papiers, un dossier parmi d’autres pour l’administration qui doit traiter sa demande d’asile. Il déroule son histoire au fil de son épopée. Des anecdotes, il en a plein sa besace, certaines sont presque drôles, comme celle où, après avoir dérivé six jours en Méditerranée, il demande à son arrivée : « C’est l’Italie ici ? » « Non, c’est la France », s’entend-il répondre. Il ponctue cet aveu d’un éclat de rire mais redevient grave dès qu’il s’agit d’évoquer d’autres moments : « Le troisième jour en mer, on a jeté un bébé de deux semaines mort par-dessus bord, ça, ça reste là » et d’un geste il porte sa main sur son cœur.

Il décrit son pays comme un paradis perdu : « La Libye était riche, plus riche que la France. En arrivant ici, je n’ai vu que la misère. » La guerre, déclenchée en mars 2011 par Paris et Londres, est venue bouleverser sa vie. Elle a décimé sa famille : « Nous ne sommes plus que deux, ma petite sœur de neuf ans et moi. » Sa mère et son autre sœur de sept ans sont décédées par manque de soins. « Tous les docteurs sont partis, il y avait des tentes autour des hôpitaux, il n’y avait plus assez de monde pour prendre en charge les malades. »

Dans la bouche de Yacoub, les responsables de la situation sont tout désignés : « Ce que l’intervention de l’Otan a amené, ce n’est pas le chaos, ça le dépasse. » Dans le film qui passe en boucle dans sa tête, certaines images restent plus vives : « On était à Tripoli, et on a entendu des avions de l’Otan. Au bruit qu’ils faisaient, une femme s’est penchée par la fenêtre du 6e étage de l’immeuble d’à côté avec son bébé dans les bras pour voir. Les avions sont passés, les immeubles se sont effondrés. » Il déplore les pertes civiles qu’a engendrées la guerre, et s’insurge contre les autorités occidentales qui déclaraient viser uniquement des objectifs militaires. Ce à quoi il ajoute : « Sarkozy a créé un centre de djihadistes, la Libye tout entière. Ils ont distribué des armes pour verser le sang, celui des Libyens. » Avec la guerre civile qui s’est ensuivie, la Libye est passée de pays d’accueil pour les migrants à pays de départ. Dans le lycée désaffecté, Yacoub a croisé des Soudanais et des Érythréens, qui étaient installés en Libye et ont dû une nouvelle fois reprendre la route lorsque le conflit a éclaté : « Ils ne voulaient pas aller en Europe, ils étaient bien installés en Libye, mais depuis le déclenchement de la guerre, eux aussi partent en Europe. »

La réaction que suscite l’arrivée des réfugiés lui laisse un sentiment en demi-teinte. D’un côté, il apprécie l’accueil fait par les habitants du quartier de la place des Fêtes, qui jouxte le lycée. Certains voisins sont venus spontanément apporter des produits d’hygiène et de première nécessité. De l’autre, il raconte : « Une fois, je passais à la radio, et un monsieur a appelé pour dire : les migrants, il faut les renvoyer chez eux. Mais c’est l’Europe qui nous a mis dans cette situation, nous n’avons pas le choix ! » Avant d’ajouter : « Ils sont partis gâter (détruire – NDLR) chez nous, et aujourd’hui nous n’avons aucun droit, pas même celui d’être respectés comme des humains. Ils pensent que nous sommes là pour ruiner l’économie, alors que Sarkozy a détruit la Libye, il en a fait un désert. » Si l’Ofpra lui accorde le statut de réfugié, il veut repartir en Tunisie ou en Algérie, reprendre son travail de guide. En attendant, comme mû par un ressort, il se lève de sa chaise et part rejoindre ses camarades d’infortune.

http://www.humanite.fr/sarkozy-fait-de-la-libye-un-centre-de-djihadistes-581079
 
Personne n'est intervenu en Syrie, ça n'a pas empêché les jihadistes de s'y implanter durablement. Je ne crois pas que Kaddafi aurait réussi a retrouver la stabilité en Lybie. Au contraire, il aurait essayé vainement d'écraser la rébellion, a l'instar de Assad, avec les conséquences que l'on imagine.
Jamais l'Occident n'aurait du intervenir.
Facile de dire ça après coup alors qu'à l'époque, tout le monde souhaitait la fin de kadaffi coute que coute.
 
Personne n'est intervenu en Syrie, ça n'a pas empêché les jihadistes de s'y implanter durablement. Je ne crois pas que Kaddafi aurait réussi a retrouver la stabilité en Lybie. Au contraire, il aurait essayé vainement d'écraser la rébellion, a l'instar de Assad, avec les conséquences que l'on imagine.
Jamais l'Occident n'aurait du intervenir.
Facile de dire ça après coup alors qu'à l'époque, tout le monde souhaitait la fin de kadaffi coute que coute.
Tout le monde? tu veux dire toi et la bande à bhl? ça c'est pas tout le monde.
En Syrie il y a intervention et ce de manière bien plus perfide que celle faite en Libye avec pour conséquence la mort , la destruction, du pays et des millions de réfugiés.
 

ainsebaa

Sauf erreur, je ne me trompe jamais.
Tout le monde? tu veux dire toi et la bande à bhl? ça c'est pas tout le monde.
En Syrie il y a intervention et ce de manière bien plus perfide que celle faite en Libye avec pour conséquence la mort , la destruction, du pays et des millions de réfugiés.
Seuls les faibles sont envahis.
Rejeter la faute sur les autres et aussi une constante employée par les pays en difficulté
Le monde arabo musulman est dans cet état depuis des siècles.
actuellement c'est le monde occidentale juif le bouc émissaire
Avant les anglais et français
Avant les Ottomans
Avant les mongoles
Etc..........
Il faut appeler un chat un chat
Et le soigner comme un félin et non dire que c'est la faute des rongeurs.
 
Seuls les faibles sont envahis.
Rejeter la faute sur les autres et aussi une constante employée par les pays en difficulté
Le monde arabo musulman est dans cet état depuis des siècles.
actuellement c'est le monde occidentale juif le bouc émissaire
Avant les anglais et français
Avant les Ottomans
Avant les mongoles
Etc..........
Il faut appeler un chat un chat
Et le soigner comme un félin et non dire que c'est la faute des rongeurs.
Il n y a pas de monde arabo musulman sauf dans la bouche des propagandistes islamophobes, reprendre leurs terminologie bêtement est un signe de soumission intellectuelle.
Sinon, le fond de ta réponse est hors sujet.
 

ainsebaa

Sauf erreur, je ne me trompe jamais.
Il n y a pas de monde arabo musulman sauf dans la bouche des propagandistes islamophobes, reprendre leurs terminologie bêtement est un signe de soumission intellectuelle.
Sinon, le fond de ta réponse est hors sujet.
Ah bon
La conquête arabe à été faite suivant quel prétexte?
si tu veux donner un autre nom peu me chaut
Bien sur que si que je suis dans le sujet
Bouche toi les yeux tu ne verras pas le mur dans lequel tu vas t'emplâtrer.
Ce qui se produit en Syrie, en Irak est la conséquence de ce qu'est la civilisation arabe musulmane depuis le XV° siècle
Technologiquement elle est hors du coup
Intellectuellement elle est restée au même niveau et même à régresser

C'est les arabes les responsables et personne d'autre
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Yacoub Salah a fui la guerre, déclenchée en mars 2011 par Paris et Londres. Arrivé cette année en France, il dénonce cette intervention qui a bouleversé sa vie, le transformant en clandestin.

« Il y a un Libyen qui parle bien français », nous informe-t-on à notre arrivée au lycée Jean-Quarré, à Paris, occupé par des réfugiés depuis le 31 juillet. Yacoub Salah s’est créé une petite notoriété dans le milieu militant qui gravite autour de l’établissement. Pour y accéder, il faut grimper un escalier de béton sur lequel sont assis quelques migrants qui discutent entre eux et blaguent, comme les lycéens devaient le faire avant la fermeture des lieux. La cour est le point névralgique en ce début de soirée d’été : au milieu, Yacoub, 27 ans, promène son sourire et son bonnet aux couleurs de la Jamaïque avec aisance, saluant de tous côtés.

« C’est l’Europe qui nous a mis dans cette situation »

Arrivé depuis quelques mois en France, le jeune homme a le contact facile et maîtrise l’arabe, l’anglais et le français, ce qui lui vaut le statut de passeur de messages. En Libye, il était guide touristique. Ici, il est sans papiers, un dossier parmi d’autres pour l’administration qui doit traiter sa demande d’asile. Il déroule son histoire au fil de son épopée. Des anecdotes, il en a plein sa besace, certaines sont presque drôles, comme celle où, après avoir dérivé six jours en Méditerranée, il demande à son arrivée : « C’est l’Italie ici ? » « Non, c’est la France », s’entend-il répondre. Il ponctue cet aveu d’un éclat de rire mais redevient grave dès qu’il s’agit d’évoquer d’autres moments : « Le troisième jour en mer, on a jeté un bébé de deux semaines mort par-dessus bord, ça, ça reste là » et d’un geste il porte sa main sur son cœur.

Il décrit son pays comme un paradis perdu : « La Libye était riche, plus riche que la France. En arrivant ici, je n’ai vu que la misère. » La guerre, déclenchée en mars 2011 par Paris et Londres, est venue bouleverser sa vie. Elle a décimé sa famille : « Nous ne sommes plus que deux, ma petite sœur de neuf ans et moi. » Sa mère et son autre sœur de sept ans sont décédées par manque de soins. « Tous les docteurs sont partis, il y avait des tentes autour des hôpitaux, il n’y avait plus assez de monde pour prendre en charge les malades. »

Dans la bouche de Yacoub, les responsables de la situation sont tout désignés : « Ce que l’intervention de l’Otan a amené, ce n’est pas le chaos, ça le dépasse. » Dans le film qui passe en boucle dans sa tête, certaines images restent plus vives : « On était à Tripoli, et on a entendu des avions de l’Otan. Au bruit qu’ils faisaient, une femme s’est penchée par la fenêtre du 6e étage de l’immeuble d’à côté avec son bébé dans les bras pour voir. Les avions sont passés, les immeubles se sont effondrés. » Il déplore les pertes civiles qu’a engendrées la guerre, et s’insurge contre les autorités occidentales qui déclaraient viser uniquement des objectifs militaires. Ce à quoi il ajoute : « Sarkozy a créé un centre de djihadistes, la Libye tout entière. Ils ont distribué des armes pour verser le sang, celui des Libyens. » Avec la guerre civile qui s’est ensuivie, la Libye est passée de pays d’accueil pour les migrants à pays de départ. Dans le lycée désaffecté, Yacoub a croisé des Soudanais et des Érythréens, qui étaient installés en Libye et ont dû une nouvelle fois reprendre la route lorsque le conflit a éclaté : « Ils ne voulaient pas aller en Europe, ils étaient bien installés en Libye, mais depuis le déclenchement de la guerre, eux aussi partent en Europe. »

La réaction que suscite l’arrivée des réfugiés lui laisse un sentiment en demi-teinte. D’un côté, il apprécie l’accueil fait par les habitants du quartier de la place des Fêtes, qui jouxte le lycée. Certains voisins sont venus spontanément apporter des produits d’hygiène et de première nécessité. De l’autre, il raconte : « Une fois, je passais à la radio, et un monsieur a appelé pour dire : les migrants, il faut les renvoyer chez eux. Mais c’est l’Europe qui nous a mis dans cette situation, nous n’avons pas le choix ! » Avant d’ajouter : « Ils sont partis gâter (détruire – NDLR) chez nous, et aujourd’hui nous n’avons aucun droit, pas même celui d’être respectés comme des humains. Ils pensent que nous sommes là pour ruiner l’économie, alors que Sarkozy a détruit la Libye, il en a fait un désert. » Si l’Ofpra lui accorde le statut de réfugié, il veut repartir en Tunisie ou en Algérie, reprendre son travail de guide. En attendant, comme mû par un ressort, il se lève de sa chaise et part rejoindre ses camarades d’infortune.

http://www.humanite.fr/sarkozy-fait-de-la-libye-un-centre-de-djihadistes-581079
Salam Drianke,
Une vision bien simpliste de la situation.
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Personne n'est intervenu en Syrie, ça n'a pas empêché les jihadistes de s'y implanter durablement. Je ne crois pas que Kaddafi aurait réussi a retrouver la stabilité en Lybie. Au contraire, il aurait essayé vainement d'écraser la rébellion, a l'instar de Assad, avec les conséquences que l'on imagine.
Jamais l'Occident n'aurait du intervenir.
Facile de dire ça après coup alors qu'à l'époque, tout le monde souhaitait la fin de kadaffi coute que coute.
Salam Marbeldano,
+1
 
Tout le monde? tu veux dire toi et la bande à bhl? ça c'est pas tout le monde.
En Syrie il y a intervention et ce de manière bien plus perfide que celle faite en Libye avec pour conséquence la mort , la destruction, du pays et des millions de réfugiés.

La première intervention militaire fut faite contre la rébellion et contre Benghazi, par khadafi. Assad a également choisit les armes pour mater les rebelles.... On connaît le résultat.
Les causes de ces révolutions arabes sont profondes, mal connues encore, et ne donner tort qu'à la France pour justifier le chaos actuel en Lybie me paraît intellectuellement malhonnête.
 
Ah bon
La conquête arabe à été faite suivant quel prétexte?
Il n y a jamais eu de conquête arabe sauf dans la bouche des charlatans pour la plus part orientaliste.
Pour nous il y a eut des da3wa dans le meilleurs des cas et des razias de voyous, rien d'autres et les protagonistes étaient d'origine diverse.
L'histoire est bien plus compliquée qu'une aventure de tintin.
 
La première intervention militaire fut faite contre la rébellion et contre Benghazi, par khadafi. Assad a également choisit les armes pour mater les rebelles.... On connaît le résultat.
Les causes de ces révolutions arabes sont profondes, mal connues encore, et ne donner tort qu'à la France pour justifier le chaos actuel en Lybie me paraît intellectuellement malhonnête.
Tout Etat se défend contre les violences afin de maintenir l'ordre, c'est sa première prérogative.
Le chaos est du à la prise de position pour un front, la complicité pour des raisons bassement économique est évidente.
 
Salam alaykoum

Pourquoi blâmer les étrangers dans la perte de notre sécurité et le trouble dans le quel nous vivons et vivront peut-être nos enfants ?Je ne comprend pas pourquoi tant de facilité dans les accusations lorsque on veut soulager nos conscience du sentiment de culpabilité ?

Les étrangers n'ont rien qu'entrer ou donner ou conseiller ou interdire ou faire pression directement ou indirectement ,c'est nous dont le nom maintenant est VCTIMES nous qui avons accepté ecouté pris accordé et ouvert la porte à ce mal ,nous

sommes coupables ,de ce qui arrive à nos pays arabes nous serons les coupables les seuls de ce qui arrivera un jour aux autres pays ,comme des enfants on attend la décision et les conseils et les ordres des autres nos ennemis pour établir la sécurité dans

notre pays nos maisons nos foyers nos esprits et nos coeurs et parfois même notre âme ,même les enfants maintenant n'acceptent plus d'être guidés par les adultes tellement ils ont vu ce qui faisait mal au coeur et fait vomir ,l'indignité de leur

grands .Salam alaykoum et svp ne voyez ceci comme insulte ou mauvaise critique ou attaque méchante ,mais seulement une douleur d'une mere qui voit peut_être par peur pour ses enfants les vitres un peu plus loin avec son âme .Allah soubhanahou nous protège et nous guide vers le meilleur.





Yacoub Salah a fui la guerre, déclenchée en mars 2011 par Paris et Londres. Arrivé cette année en France, il dénonce cette intervention qui a bouleversé sa vie, le transformant en clandestin.

« Il y a un Libyen qui parle bien français », nous informe-t-on à notre arrivée au lycée Jean-Quarré, à Paris, occupé par des réfugiés depuis le 31 juillet. Yacoub Salah s’est créé une petite notoriété dans le milieu militant qui gravite autour de l’établissement. Pour y accéder, il faut grimper un escalier de béton sur lequel sont assis quelques migrants qui discutent entre eux et blaguent, comme les lycéens devaient le faire avant la fermeture des lieux. La cour est le point névralgique en ce début de soirée d’été : au milieu, Yacoub, 27 ans, promène son sourire et son bonnet aux couleurs de la Jamaïque avec aisance, saluant de tous côtés.

« C’est l’Europe qui nous a mis dans cette situation »

Arrible d’à côté avec son bébé dans les bras pour voir. Les avions sont passés, les immeubles se sont effondrés. » Il déplore les pertes civiles qu’a engendrées la guerre, et s’insurge contre les autorités occidentales qui déclaraient viser uniquement des objectifs militaires. Ce à quoi il ajoute : « Sarkozy a créé un centre de djihadistes, la Libye tout entière. Ils ont distribué des armes pour verser le sang, celui des Libyens. » Avec la guerre civile qui s’est ensuivie, la Libye est passée de pays d’accueil pour les migrants à pays de départ. Dans le lycée désaffecté, Yacoub a croisé des Soudanais et des Érythréens, qui étaient installés en Libye et ont dû une nouvelle fois reprendre la route lorsque le conflit a éclaté : « Ils ne voulaient pas aller en Europe, ils étaient bien installés en Libye, mais depuis le déclenchement de la guerre, eux aussi partent en Europe. »


http://www.humanite.fr/sarkozy-fait-de-la-libye-un-centre-de-djihadistes-581079
 
C'est quand même formidable ce forum !

Les mecs arme et finance les islamistes quand ça les arranges et quand ça leur pète à la truffe te sorte le plus normalement du monde : "c'est d'là faute aux arabes picétous !".

On ce souvient pourtant d'une certaine Caroline Fourest qui disait qu'il fallait soutenir les islamistes en Libye :


Le chef de la révolution Lybienne lui même, Mustapha Abdul Jalil admet que Kaddhafy n'as jamais tué de manifestant, c'était des mercenaires payer par l'étranger pour le faire accuser, le pire c'est que lui même et l'Otan était au courant mais ont laisser faire parce que ça les arrangeais :

http://www.bladi.info/threads/chef-fausse-revolution-libyenne-admet.389213/

Les gens n'ont aucun honneur, aucune dignité, aucune valeurs pour défendre et innocenté des personnes et des organisme qui ont soutenu de façon directe ou indirecte des fanatiques et ensuite accuser les arabes...

"Faut pas rejeter la faute sur les autres !" qu'ils nous sorte ces hypocrites.
 
Haut