Et si notre Super Sarko se voulait plus *on que Bush?
Lors du sommet international sur la sécurité nucléaire à Washington, Nicolas Sarkozy, fervent défenseur de l'Etat hébreu dont on dit qu'il est "sensible" sur la question, "grand ami d'Israel" (il organise volontier de grands raouts pour la communauté juive à Neuilly où habite une importante diaspora), a indiqué qu'il était prêt à sortir des sentiers onusiens s'il le fallait contre l'Iran.
Hier, notre SuperPrésident, qui parle de "clapotis" quand il s'agit d'évoquer les rumeurs sur sa vie privée (il n'y a pas de fumée sans feu), a déclaré que la France était prête à envisager des sanctions hors du cadre d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU s'il n'était pas possible de parvenir à un accord. Le président français a réclamé des sanctions "en avril ou mai, pas plus tard". Sans doute craint il une opposition de la Chine, membre permanent du Conseil de Sécurité et client gourmand en hydrocarbures iranien.
Alors qu'Obama, que notre cher président adule, déclarait qu'il souhaitait civiliser l'Iran, conscient des importantes réserves en gaz et pétrole du pays mais aussi des opportunités commerciales que pourraient constituer une normalisation des relations diplomatiques, Nicolas Ier fait dans la surenchère comme pour exister alors qu'il dégringole dans les sondages en France. C'est Israel qui va être content et toujours Israel qui pousse notre SuperSarko national à militer pour une confrontation directe avec l'Iran. Sans doute pour mieux masquer les exactions de Tsahal accusé de crime de guerre et accélérer le rythme de la colonisation de la Cisjordanie et Jérusalem.
Quoi de plus efficace qu'une guerre pour juguler la croissance démographique mondiale galopante dans la plus pure tradition malthusienne ?
+A+
Lors du sommet international sur la sécurité nucléaire à Washington, Nicolas Sarkozy, fervent défenseur de l'Etat hébreu dont on dit qu'il est "sensible" sur la question, "grand ami d'Israel" (il organise volontier de grands raouts pour la communauté juive à Neuilly où habite une importante diaspora), a indiqué qu'il était prêt à sortir des sentiers onusiens s'il le fallait contre l'Iran.
Hier, notre SuperPrésident, qui parle de "clapotis" quand il s'agit d'évoquer les rumeurs sur sa vie privée (il n'y a pas de fumée sans feu), a déclaré que la France était prête à envisager des sanctions hors du cadre d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU s'il n'était pas possible de parvenir à un accord. Le président français a réclamé des sanctions "en avril ou mai, pas plus tard". Sans doute craint il une opposition de la Chine, membre permanent du Conseil de Sécurité et client gourmand en hydrocarbures iranien.
Alors qu'Obama, que notre cher président adule, déclarait qu'il souhaitait civiliser l'Iran, conscient des importantes réserves en gaz et pétrole du pays mais aussi des opportunités commerciales que pourraient constituer une normalisation des relations diplomatiques, Nicolas Ier fait dans la surenchère comme pour exister alors qu'il dégringole dans les sondages en France. C'est Israel qui va être content et toujours Israel qui pousse notre SuperSarko national à militer pour une confrontation directe avec l'Iran. Sans doute pour mieux masquer les exactions de Tsahal accusé de crime de guerre et accélérer le rythme de la colonisation de la Cisjordanie et Jérusalem.
Quoi de plus efficace qu'une guerre pour juguler la croissance démographique mondiale galopante dans la plus pure tradition malthusienne ?
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