Tout savoir sur les plantes dépolluantes

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Tout savoir sur les plantes dépolluantes

“ Contre les sources de pollution intérieure ”

Alors qu'on est parfois tenté de se calfeutrer chez soi pour échapper à la pollution extérieure, il est surprenant d'apprendre que l'air intérieur - habitats, lieux publics, moyens de transports - n'est pas plus sain ; bien au contraire. Dans ces espaces clos dans lesquels nous passons la majorité de notre temps, l'air est même en moyenne 8 fois plus pollué que dehors (Etude Rowenta, 2013). Pour lutter contre cette pollution sous-estimée mais quotidienne, les plantes dépolluantes sont-elles la solution ?

Les sources de pollution intérieure
On pense bien sûr à la peinture, aux vernis, aux colles, aux allergènes domestiques (chien, chat, acariens), aux produits d'entretien. Mais il faut aussi se méfier de la moquette, des textiles, des panneaux de bois et de particules, des isolants. Les odeurs de cuisine, les appareils électroménagers et le tabac font également partie des polluants courants. Ces nombreuses sources de pollution ont des conséquences multiples sur notre santé, avec des effets à durée variable. Certains polluants peuvent provoquer des troubles respiratoires et des allergies. L'ensemble des maladies allergiques (asthme, rhinite, conjonctivite, allergie alimentaire...) concerne 25 à 30 % de la population dans les pays industrialisés (Etude Inserm). Les composés organiques volatils (COV) que l'on trouve notamment dans les peintures, les meubles contre-plaqués ou les emballages sont le plus souvent à l'origine d'irritations des yeux et des voies respiratoires. Les pathologies respiratoires, neurologiques ou cardio-vasculaires peuvent même aller jusqu'au développement de certains cancers.

Les plantes dépolluantes, quel principe ?
Par leurs tiges et leurs feuilles, elles absorbent les agents polluants de nos habitats et produisent en retour de l'oxygène. Un échange gazeux qui repose sur le principe de bioépuration, c'est-à-dire de purification par le biais d'organismes vivants. Des micro-organismes, présents dans leurs racines, convertissent ces agents polluants en matières organiques qui nourrissent le végétal. Certaines espèces vont également émettre de la vapeur d'eau et ainsi augmenter le taux d'humidité des pièces.

Les espèces dépolluantes aux multiples effets
Contre le benzène (tabac, ameublement, produits bricolage) : Aglaonema, Chlorophytum, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Pothos, Gerbera Jamesonii.

Contre le formaldéhyde (panneaux de particules, bois agglomérés, peintures avec solvant, photocopieurs) : Chlorophytum, Aglaonema, Caoutchouc (ou Ficus Elastica), Anthurium, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Fougère de Boston, Pothos, Gerbera Jamesonii, Rhapis.

Contre l'ammoniac (engrais, produits d'entretien, réfrigération, tabac) : Anthurium, Spathiphyllum, Azalée, Ficus Benjamina (ou Figuier Pleureur), Rhapis.

Contre le monoxyde de carbone (appareils de chauffage et de production d'eau chaude, tabac) : Anthurium, Dracaena Marginata, Azalée, Fougère de Boston, Pothos.

Contre le xylène (peintures, vernis, insecticides, colles) : Anthurium, Chlorophytum, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Azalée, Fougère de Boston, Ficus Benjamina (ou Figuier Pleureur), Rhapis.

Contre le toluène (peintures, vernis, colles, encres, moquettes, tapis) : Chlorophytum, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Fougère de Boston, Pothos, Gerbera Jamesonii.

Contre le trichloréthylène (peintures, vernis, colles, dégraissants métaux) : Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Gerbera Jamesonii.

Où les installer dans l'appartement et dans quelles conditions ?
Installez les Aglaonema, Dracaena Marginata, Pothos, Rhapis et Anthurium dans une pièce à l'ombre mais chaude, de préférence humide comme la salle de bains. Pour qu'elles s'épanouissent la température doit être comprise entre 15 et 25°C. A l'opposé, le Chlorophytum, le Spathiphyllum, le Gerbera Jamesonii réclament une lumière vive, des températures plus modérées et un arrosage fréquent. Certains végétaux (Azalée) sont originaires des forêts subtropicales, doivent profiter d'une lumière importante et être arrosées abondamment. Enfin, d'autres espèces peuvent parfaitement s'acclimater à l'atmosphère d'une chambre. C'est le cas notamment de la Fougère de Boston.

Les plantes dépolluantes décriées
En 2010, les plantes dépolluantes se retrouvent au cœur de la controverse. Les études menées par l'Observatoire de la qualité de l'air (OQAI) rejoignent celles réalisées en 1980 par Bill Wolverton, précurseur sur le sujet. Elles confirment l'efficacité dépolluante de ces végétaux. Toutefois, elles émettent d'importantes réserves : dans nos maisons, l'action des végétaux dépendrait de trop de facteurs pour être réellement efficace : la luminosité, l'humidité, la température... Ainsi, si certains résultats tendent à démontrer que leur présence diminue la pollution intérieure, ces vertus sont en tout cas bien trop restreintes pour nous protéger. Pire, on les accuse d'être toxiques ! Sur ce point précis, les études de l'OQAI tempèrent : comme toute plante, notamment en cas de floraison ou de présence importante, elles peuvent entraîner des réactions allergiques chez certaines personnes.

Les gestes de bases pour lutter contre la pollution intérieure
C'est de bons sens plus que de formule magique dont parle l'OQAI dans ses multiples études et comptes rendu. La priorité : limiter les sources de polluants en aérant au maximum votre intérieur. Et à profiter, avec un peu de recul, des vertus relaxantes et apaisantes des plantes d'intérieur : des qualités que personne ne peut contester.

Infos pratiques :
www.plantes-depolluantes.com
www.oqai.fr

http://www.deco.fr/jardin-jardinage...ur/actualite-585350-plantes-depolluantes.html

avis aux amateurs.................

mam
 

Schtrouf

Demain aujourd'hui sera hier.
VIB
quoi donc : des avis, des infos ou des plantes
plaisanterie mise à part,
tu as lesquelles chez toi et à quel endroit ?
si ce n'est pas trop indiscret :mignon:

mam
Aglaonema et Dracaena Marginita, le tout au salon (à l opposé des fenêtres). Elles vivent leurs vies tranquillement...
 

marocN95

Associable - Bien mal acquis ne profite jamais
VIB
Tout savoir sur les plantes dépolluantes

“ Contre les sources de pollution intérieure ”

Alors qu'on est parfois tenté de se calfeutrer chez soi pour échapper à la pollution extérieure, il est surprenant d'apprendre que l'air intérieur - habitats, lieux publics, moyens de transports - n'est pas plus sain ; bien au contraire. Dans ces espaces clos dans lesquels nous passons la majorité de notre temps, l'air est même en moyenne 8 fois plus pollué que dehors (Etude Rowenta, 2013). Pour lutter contre cette pollution sous-estimée mais quotidienne, les plantes dépolluantes sont-elles la solution ?

Les sources de pollution intérieure
On pense bien sûr à la peinture, aux vernis, aux colles, aux allergènes domestiques (chien, chat, acariens), aux produits d'entretien. Mais il faut aussi se méfier de la moquette, des textiles, des panneaux de bois et de particules, des isolants. Les odeurs de cuisine, les appareils électroménagers et le tabac font également partie des polluants courants. Ces nombreuses sources de pollution ont des conséquences multiples sur notre santé, avec des effets à durée variable. Certains polluants peuvent provoquer des troubles respiratoires et des allergies. L'ensemble des maladies allergiques (asthme, rhinite, conjonctivite, allergie alimentaire...) concerne 25 à 30 % de la population dans les pays industrialisés (Etude Inserm). Les composés organiques volatils (COV) que l'on trouve notamment dans les peintures, les meubles contre-plaqués ou les emballages sont le plus souvent à l'origine d'irritations des yeux et des voies respiratoires. Les pathologies respiratoires, neurologiques ou cardio-vasculaires peuvent même aller jusqu'au développement de certains cancers.

Les plantes dépolluantes, quel principe ?
Par leurs tiges et leurs feuilles, elles absorbent les agents polluants de nos habitats et produisent en retour de l'oxygène. Un échange gazeux qui repose sur le principe de bioépuration, c'est-à-dire de purification par le biais d'organismes vivants. Des micro-organismes, présents dans leurs racines, convertissent ces agents polluants en matières organiques qui nourrissent le végétal. Certaines espèces vont également émettre de la vapeur d'eau et ainsi augmenter le taux d'humidité des pièces.

Les espèces dépolluantes aux multiples effets
Contre le benzène (tabac, ameublement, produits bricolage) : Aglaonema, Chlorophytum, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Pothos, Gerbera Jamesonii.

Contre le formaldéhyde (panneaux de particules, bois agglomérés, peintures avec solvant, photocopieurs) : Chlorophytum, Aglaonema, Caoutchouc (ou Ficus Elastica), Anthurium, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Fougère de Boston, Pothos, Gerbera Jamesonii, Rhapis.

Contre l'ammoniac (engrais, produits d'entretien, réfrigération, tabac) : Anthurium, Spathiphyllum, Azalée, Ficus Benjamina (ou Figuier Pleureur), Rhapis.

Contre le monoxyde de carbone (appareils de chauffage et de production d'eau chaude, tabac) : Anthurium, Dracaena Marginata, Azalée, Fougère de Boston, Pothos.

Contre le xylène (peintures, vernis, insecticides, colles) : Anthurium, Chlorophytum, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Azalée, Fougère de Boston, Ficus Benjamina (ou Figuier Pleureur), Rhapis.

Contre le toluène (peintures, vernis, colles, encres, moquettes, tapis) : Chlorophytum, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Fougère de Boston, Pothos, Gerbera Jamesonii.

Contre le trichloréthylène (peintures, vernis, colles, dégraissants métaux) : Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Gerbera Jamesonii.

Où les installer dans l'appartement et dans quelles conditions ?
Installez les Aglaonema, Dracaena Marginata, Pothos, Rhapis et Anthurium dans une pièce à l'ombre mais chaude, de préférence humide comme la salle de bains. Pour qu'elles s'épanouissent la température doit être comprise entre 15 et 25°C. A l'opposé, le Chlorophytum, le Spathiphyllum, le Gerbera Jamesonii réclament une lumière vive, des températures plus modérées et un arrosage fréquent. Certains végétaux (Azalée) sont originaires des forêts subtropicales, doivent profiter d'une lumière importante et être arrosées abondamment. Enfin, d'autres espèces peuvent parfaitement s'acclimater à l'atmosphère d'une chambre. C'est le cas notamment de la Fougère de Boston.

Les plantes dépolluantes décriées
En 2010, les plantes dépolluantes se retrouvent au cœur de la controverse. Les études menées par l'Observatoire de la qualité de l'air (OQAI) rejoignent celles réalisées en 1980 par Bill Wolverton, précurseur sur le sujet. Elles confirment l'efficacité dépolluante de ces végétaux. Toutefois, elles émettent d'importantes réserves : dans nos maisons, l'action des végétaux dépendrait de trop de facteurs pour être réellement efficace : la luminosité, l'humidité, la température... Ainsi, si certains résultats tendent à démontrer que leur présence diminue la pollution intérieure, ces vertus sont en tout cas bien trop restreintes pour nous protéger. Pire, on les accuse d'être toxiques ! Sur ce point précis, les études de l'OQAI tempèrent : comme toute plante, notamment en cas de floraison ou de présence importante, elles peuvent entraîner des réactions allergiques chez certaines personnes.

Les gestes de bases pour lutter contre la pollution intérieure
C'est de bons sens plus que de formule magique dont parle l'OQAI dans ses multiples études et comptes rendu. La priorité : limiter les sources de polluants en aérant au maximum votre intérieur. Et à profiter, avec un peu de recul, des vertus relaxantes et apaisantes des plantes d'intérieur : des qualités que personne ne peut contester.

Infos pratiques :
www.plantes-depolluantes.com
www.oqai.fr

http://www.deco.fr/jardin-jardinage/plante-interieur/actualite-585350-plantes-depolluantes.html?&svc_mode=M&svc_campaign=Jardin_17/09/2013&partner=-&svc_position=383538366&svc_misc=-&crmID=247807942_383538366&estat_url=http://www.deco.fr/jardin-jardinage/plante-interieur/actualite-585350-plantes-depolluantes.html

avis aux amateurs.................

mam
Intéressant merci mam ! :)

Liens internet a conserver pour mes prochains achats de plantes (j'ai pas trop la main verte alors je retiendrais que celles qui ne demandent pas trop d'entretien ^^)
 
Tout savoir sur les plantes dépolluantes

“ Contre les sources de pollution intérieure ”

Alors qu'on est parfois tenté de se calfeutrer chez soi pour échapper à la pollution extérieure, il est surprenant d'apprendre que l'air intérieur - habitats, lieux publics, moyens de transports - n'est pas plus sain ; bien au contraire. Dans ces espaces clos dans lesquels nous passons la majorité de notre temps, l'air est même en moyenne 8 fois plus pollué que dehors (Etude Rowenta, 2013). Pour lutter contre cette pollution sous-estimée mais quotidienne, les plantes dépolluantes sont-elles la solution ?

Les sources de pollution intérieure
On pense bien sûr à la peinture, aux vernis, aux colles, aux allergènes domestiques (chien, chat, acariens), aux produits d'entretien. Mais il faut aussi se méfier de la moquette, des textiles, des panneaux de bois et de particules, des isolants. Les odeurs de cuisine, les appareils électroménagers et le tabac font également partie des polluants courants. Ces nombreuses sources de pollution ont des conséquences multiples sur notre santé, avec des effets à durée variable. Certains polluants peuvent provoquer des troubles respiratoires et des allergies. L'ensemble des maladies allergiques (asthme, rhinite, conjonctivite, allergie alimentaire...) concerne 25 à 30 % de la population dans les pays industrialisés (Etude Inserm). Les composés organiques volatils (COV) que l'on trouve notamment dans les peintures, les meubles contre-plaqués ou les emballages sont le plus souvent à l'origine d'irritations des yeux et des voies respiratoires. Les pathologies respiratoires, neurologiques ou cardio-vasculaires peuvent même aller jusqu'au développement de certains cancers.

Les plantes dépolluantes, quel principe ?
Par leurs tiges et leurs feuilles, elles absorbent les agents polluants de nos habitats et produisent en retour de l'oxygène. Un échange gazeux qui repose sur le principe de bioépuration, c'est-à-dire de purification par le biais d'organismes vivants. Des micro-organismes, présents dans leurs racines, convertissent ces agents polluants en matières organiques qui nourrissent le végétal. Certaines espèces vont également émettre de la vapeur d'eau et ainsi augmenter le taux d'humidité des pièces.

Les espèces dépolluantes aux multiples effets
Contre le benzène (tabac, ameublement, produits bricolage) : Aglaonema, Chlorophytum, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Pothos, Gerbera Jamesonii.

Contre le formaldéhyde (panneaux de particules, bois agglomérés, peintures avec solvant, photocopieurs) : Chlorophytum, Aglaonema, Caoutchouc (ou Ficus Elastica), Anthurium, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Fougère de Boston, Pothos, Gerbera Jamesonii, Rhapis.

Contre l'ammoniac (engrais, produits d'entretien, réfrigération, tabac) : Anthurium, Spathiphyllum, Azalée, Ficus Benjamina (ou Figuier Pleureur), Rhapis.

Contre le monoxyde de carbone (appareils de chauffage et de production d'eau chaude, tabac) : Anthurium, Dracaena Marginata, Azalée, Fougère de Boston, Pothos.

Contre le xylène (peintures, vernis, insecticides, colles) : Anthurium, Chlorophytum, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Azalée, Fougère de Boston, Ficus Benjamina (ou Figuier Pleureur), Rhapis.

Contre le toluène (peintures, vernis, colles, encres, moquettes, tapis) : Chlorophytum, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Fougère de Boston, Pothos, Gerbera Jamesonii.

Contre le trichloréthylène (peintures, vernis, colles, dégraissants métaux) : Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Gerbera Jamesonii.

Où les installer dans l'appartement et dans quelles conditions ?
Installez les Aglaonema, Dracaena Marginata, Pothos, Rhapis et Anthurium dans une pièce à l'ombre mais chaude, de préférence humide comme la salle de bains. Pour qu'elles s'épanouissent la température doit être comprise entre 15 et 25°C. A l'opposé, le Chlorophytum, le Spathiphyllum, le Gerbera Jamesonii réclament une lumière vive, des températures plus modérées et un arrosage fréquent. Certains végétaux (Azalée) sont originaires des forêts subtropicales, doivent profiter d'une lumière importante et être arrosées abondamment. Enfin, d'autres espèces peuvent parfaitement s'acclimater à l'atmosphère d'une chambre. C'est le cas notamment de la Fougère de Boston.

Les plantes dépolluantes décriées
En 2010, les plantes dépolluantes se retrouvent au cœur de la controverse. Les études menées par l'Observatoire de la qualité de l'air (OQAI) rejoignent celles réalisées en 1980 par Bill Wolverton, précurseur sur le sujet. Elles confirment l'efficacité dépolluante de ces végétaux. Toutefois, elles émettent d'importantes réserves : dans nos maisons, l'action des végétaux dépendrait de trop de facteurs pour être réellement efficace : la luminosité, l'humidité, la température... Ainsi, si certains résultats tendent à démontrer que leur présence diminue la pollution intérieure, ces vertus sont en tout cas bien trop restreintes pour nous protéger. Pire, on les accuse d'être toxiques ! Sur ce point précis, les études de l'OQAI tempèrent : comme toute plante, notamment en cas de floraison ou de présence importante, elles peuvent entraîner des réactions allergiques chez certaines personnes.

Les gestes de bases pour lutter contre la pollution intérieure
C'est de bons sens plus que de formule magique dont parle l'OQAI dans ses multiples études et comptes rendu. La priorité : limiter les sources de polluants en aérant au maximum votre intérieur. Et à profiter, avec un peu de recul, des vertus relaxantes et apaisantes des plantes d'intérieur : des qualités que personne ne peut contester.

Infos pratiques :
www.plantes-depolluantes.com
www.oqai.fr

http://www.deco.fr/jardin-jardinage/plante-interieur/actualite-585350-plantes-depolluantes.html?&svc_mode=M&svc_campaign=Jardin_17/09/2013&partner=-&svc_position=383538366&svc_misc=-&crmID=247807942_383538366&estat_url=http://www.deco.fr/jardin-jardinage/plante-interieur/actualite-585350-plantes-depolluantes.html

avis aux amateurs.................

mam
Merci serait plus attentive pour les prochains achat:cool:
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Tout savoir sur les plantes dépolluantes

“ Contre les sources de pollution intérieure ”

Alors qu'on est parfois tenté de se calfeutrer chez soi pour échapper à la pollution extérieure, il est surprenant d'apprendre que l'air intérieur - habitats, lieux publics, moyens de transports - n'est pas plus sain ; bien au contraire. Dans ces espaces clos dans lesquels nous passons la majorité de notre temps, l'air est même en moyenne 8 fois plus pollué que dehors (Etude Rowenta, 2013). Pour lutter contre cette pollution sous-estimée mais quotidienne, les plantes dépolluantes sont-elles la solution ?

Les sources de pollution intérieure
On pense bien sûr à la peinture, aux vernis, aux colles, aux allergènes domestiques (chien, chat, acariens), aux produits d'entretien. Mais il faut aussi se méfier de la moquette, des textiles, des panneaux de bois et de particules, des isolants. Les odeurs de cuisine, les appareils électroménagers et le tabac font également partie des polluants courants. Ces nombreuses sources de pollution ont des conséquences multiples sur notre santé, avec des effets à durée variable. Certains polluants peuvent provoquer des troubles respiratoires et des allergies. L'ensemble des maladies allergiques (asthme, rhinite, conjonctivite, allergie alimentaire...) concerne 25 à 30 % de la population dans les pays industrialisés (Etude Inserm). Les composés organiques volatils (COV) que l'on trouve notamment dans les peintures, les meubles contre-plaqués ou les emballages sont le plus souvent à l'origine d'irritations des yeux et des voies respiratoires. Les pathologies respiratoires, neurologiques ou cardio-vasculaires peuvent même aller jusqu'au développement de certains cancers.

Les plantes dépolluantes, quel principe ?
Par leurs tiges et leurs feuilles, elles absorbent les agents polluants de nos habitats et produisent en retour de l'oxygène. Un échange gazeux qui repose sur le principe de bioépuration, c'est-à-dire de purification par le biais d'organismes vivants. Des micro-organismes, présents dans leurs racines, convertissent ces agents polluants en matières organiques qui nourrissent le végétal. Certaines espèces vont également émettre de la vapeur d'eau et ainsi augmenter le taux d'humidité des pièces.

Les espèces dépolluantes aux multiples effets
Contre le benzène (tabac, ameublement, produits bricolage) : Aglaonema, Chlorophytum, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Pothos, Gerbera Jamesonii.

Contre le formaldéhyde (panneaux de particules, bois agglomérés, peintures avec solvant, photocopieurs) : Chlorophytum, Aglaonema, Caoutchouc (ou Ficus Elastica), Anthurium, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Fougère de Boston, Pothos, Gerbera Jamesonii, Rhapis.

Contre l'ammoniac (engrais, produits d'entretien, réfrigération, tabac) : Anthurium, Spathiphyllum, Azalée, Ficus Benjamina (ou Figuier Pleureur), Rhapis.

Contre le monoxyde de carbone (appareils de chauffage et de production d'eau chaude, tabac) : Anthurium, Dracaena Marginata, Azalée, Fougère de Boston, Pothos.

Contre le xylène (peintures, vernis, insecticides, colles) : Anthurium, Chlorophytum, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Azalée, Fougère de Boston, Ficus Benjamina (ou Figuier Pleureur), Rhapis.

Contre le toluène (peintures, vernis, colles, encres, moquettes, tapis) : Chlorophytum, Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Fougère de Boston, Pothos, Gerbera Jamesonii.

Contre le trichloréthylène (peintures, vernis, colles, dégraissants métaux) : Spathiphyllum, Dracaena Marginata, Gerbera Jamesonii.

Où les installer dans l'appartement et dans quelles conditions ?
Installez les Aglaonema, Dracaena Marginata, Pothos, Rhapis et Anthurium dans une pièce à l'ombre mais chaude, de préférence humide comme la salle de bains. Pour qu'elles s'épanouissent la température doit être comprise entre 15 et 25°C. A l'opposé, le Chlorophytum, le Spathiphyllum, le Gerbera Jamesonii réclament une lumière vive, des températures plus modérées et un arrosage fréquent. Certains végétaux (Azalée) sont originaires des forêts subtropicales, doivent profiter d'une lumière importante et être arrosées abondamment. Enfin, d'autres espèces peuvent parfaitement s'acclimater à l'atmosphère d'une chambre. C'est le cas notamment de la Fougère de Boston.

Les plantes dépolluantes décriées
En 2010, les plantes dépolluantes se retrouvent au cœur de la controverse. Les études menées par l'Observatoire de la qualité de l'air (OQAI) rejoignent celles réalisées en 1980 par Bill Wolverton, précurseur sur le sujet. Elles confirment l'efficacité dépolluante de ces végétaux. Toutefois, elles émettent d'importantes réserves : dans nos maisons, l'action des végétaux dépendrait de trop de facteurs pour être réellement efficace : la luminosité, l'humidité, la température... Ainsi, si certains résultats tendent à démontrer que leur présence diminue la pollution intérieure, ces vertus sont en tout cas bien trop restreintes pour nous protéger. Pire, on les accuse d'être toxiques ! Sur ce point précis, les études de l'OQAI tempèrent : comme toute plante, notamment en cas de floraison ou de présence importante, elles peuvent entraîner des réactions allergiques chez certaines personnes.

Les gestes de bases pour lutter contre la pollution intérieure
C'est de bons sens plus que de formule magique dont parle l'OQAI dans ses multiples études et comptes rendu. La priorité : limiter les sources de polluants en aérant au maximum votre intérieur. Et à profiter, avec un peu de recul, des vertus relaxantes et apaisantes des plantes d'intérieur : des qualités que personne ne peut contester.

Infos pratiques :
www.plantes-depolluantes.com
www.oqai.fr

http://www.deco.fr/jardin-jardinage/plante-interieur/actualite-585350-plantes-depolluantes.html?&svc_mode=M&svc_campaign=Jardin_17/09/2013&partner=-&svc_position=383538366&svc_misc=-&crmID=247807942_383538366&estat_url=http://www.deco.fr/jardin-jardinage/plante-interieur/actualite-585350-plantes-depolluantes.html

avis aux amateurs.................

mam
L'effet relaxant des plantes est une réalité. Il ne faut pas oublié que les plantes absorbent de l'oxygène et rejette du dioxyde de carbone la journée, et le soir c'est le phénomène inverse. Donc toujours bien aéré avant de dormir le soir.
Dans le même sujet il existe les piscines naturelles ou bio, qui utilisent les plantes pour filtrer l'eau sans l'utilisation de produit chimique chlore etc. Je vous invites à faire une recherche sur google.
En image une superbe piscine:
 

Pièces jointes

  • piscine-bio-shema2.jpg
    piscine-bio-shema2.jpg
    30.7 KB · Affichages: 43
  • piscine-naturelle.jpg
    piscine-naturelle.jpg
    267.5 KB · Affichages: 145

marocN95

Associable - Bien mal acquis ne profite jamais
VIB
L'effet relaxant des plantes est une réalité. Il ne faut pas oublié que les plantes absorbent de l'oxygène et rejette du dioxyde de carbone la journée, et le soir c'est le phénomène inverse. Donc toujours bien aéré avant de dormir le soir.
Dans le même sujet il existe les piscines naturelles ou bio, qui utilisent les plantes pour filtrer l'eau sans l'utilisation de produit chimique chlore etc. Je vous invites à faire une recherche sur google.
En image une superbe piscine:
La 2eme image : le reeeeeeve :love:
 
Haut