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Sécurité sociale: les fraudeurs « oubliés » par l'UMP
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[QUOTE="kolargool, post: 9202665, member: 157079"] Cuisine Exonérations de cotisations patronales : le plus gros trou de la Sécu C'est la championne Exonérations de cotisations patronales : le plus gros trou de la Sécu C'est la championne des niches, conquête majeure du patronat, perpétuée par tous les gouvernements. Les exonérations de cotisations sociales patronales représentent plus de 32 milliards d'euros. Un manque à gagner énorme pour la Sécurité sociale, supérieur à son déficit (23,9 milliards en 2010), que l'état compense, pour l'essentiel, reportant ainsi le trou sur les finances publiques. Les allégements de cotisations sur les bas salaires (jusqu'à 1,6 smic) constituent la plus grosse part de ces dispositifs, pour un coût de 21,9 milliards d'euros. Depuis la première mesure de ce type, la ristourne Juppé, adoptée en 1993, jusqu'aux exonérations Sarkozy sur les heures supplémentaires, en passant part les allégements 35 heures, le discours dominant n'a pas varié : les baisses de prélèvements sociaux seraient le meilleur outil de la politique d'emploi. Selon les estimations, très controversées, 800 000 emplois auraient ainsi été créés, ou sauvegardés. Ce qui porte le coût de l'emploi à la bagatelle de 27 500 euros, à comparer, entre autres, avec le coût d'un emploi aidé dans le secteur public, de l'ordre de 19 000 euros... Ce n'est pas tout. Syndicats et économistes sont nombreux à pointer les effets pervers de ces allégements, en particulier ceux de « trappe à bas salaires » et de substitution de travail non qualifié au travail qualifié. En lieu et place de ce dispositif, le PCF et la CGT notamment préconisent une modulation des cotisations, favorisant les entreprises qui accroissent la part des salaires dans la valeur ajoutée, et pénalisant celles qui privilégient les dividendes des actionnaires. L'Humanité [/QUOTE]
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