Des seins qui repoussent

Amine

En mode pause
Des scientifiques australiens vont tenter de faire «repousser» un sein chez des femmes ayant subi une amputation. Dans quelques mois, les premières expériences commenceront chez un nombre réduit de femmes, après avoir obtenu des résultats positifs chez des animaux. L’annonce a été faite par l’Institut Bernard O’Brien pour la microchirurgie à Melbourne.

Les médecins pensent qu’il doit être possible d’insérer un implant creux de la forme d’un sein sous la peau de la femme. Une petite quantité de tissus adipeux sera ensuite introduite dans l’implant, qui se multipliera tant qu’il y a de la place. Les chercheurs comptent sur la tendance qu’a le corps humain à remplir des endroits vides. Ils espèrent pouvoir développer un implant creux dans les plus brefs délais, qui sera détruit par le corps dès qu’il est rempli de graisse. Ainsi le patient ne devra pas subir une énième opération. La technique offrira une nouvelle solution aux femmes qui ont perdu un sein, suite à un cancer du sein par exemple.

Le magazine des sciences
 
La science avant à pas de géant. Ce serait magnifique pour toutes ces femmes qui ont dû perdre ce membre à cause d'un cancer ou d'un accident quelconque.
 

harissagirl

Quidquid latine dictum sit, altum sonatur
VIB
Des scientifiques australiens vont tenter de faire «repousser» un sein chez des femmes ayant subi une amputation. Dans quelques mois, les premières expériences commenceront chez un nombre réduit de femmes, après avoir obtenu des résultats positifs chez des animaux. L’annonce a été faite par l’Institut Bernard O’Brien pour la microchirurgie à Melbourne.

Les médecins pensent qu’il doit être possible d’insérer un implant creux de la forme d’un sein sous la peau de la femme. Une petite quantité de tissus adipeux sera ensuite introduite dans l’implant, qui se multipliera tant qu’il y a de la place. Les chercheurs comptent sur la tendance qu’a le corps humain à remplir des endroits vides. Ils espèrent pouvoir développer un implant creux dans les plus brefs délais, qui sera détruit par le corps dès qu’il est rempli de graisse. Ainsi le patient ne devra pas subir une énième opération. La technique offrira une nouvelle solution aux femmes qui ont perdu un sein, suite à un cancer du sein par exemple.

Le magazine des sciences

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Amine

En mode pause
oh c'est excellent si ça marche !

parce qu'une amputation d'un sein ça doit être dur à vivre :(

La science avant à pas de géant. Ce serait magnifique pour toutes ces femmes qui ont dû perdre ce membre à cause d'un cancer ou d'un accident quelconque.


En effet, dur à vivre. Ces pauvres femmes en plus d'avoir perdu un ou les deux seins, doivent par après refaire tout un travail sur elles. Sans oublier l'approche psychologique que toute femme peut bénéficier, mais que certaines refusent les plongent dans un gouffre sans précédent.
 
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