salut les ami(e)s
qui parmi vous jeune les six jours de chawal?
et pour les filles comment faites vous avec les jours a récupérer de ramadan (des menstruations),? certains disent qu'il faut avoir "niya" de jeuner pour les deux (ajer et diine) certains disent que le faitede jeuner (diine) en chawal est considéré comme si tu as jeune meme chawal????
merci
salam aleikom
donc daprès les hadith et ce que expliquent les oulémas en ce qui concerne les femmes elles doivent dabord rattraper leurs jours de menstrues et ensuite attaquer les 6 jours de chawal
maintenant il est fortement recommandé de jeuner ces 6 jours car si on complète le ramadan et les 6 jours de chawal c'est comme si on jeune une année machallah
Le Jeûne des six jours de Chawwâl n'est pas un jeûne obligatoire [fardh], selon les dires du Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) :
« Quiconque jeûne le mois de Ramadhân, puis le fait suivre des six jours du mois de Chawwâl ;
son jeûne est considéré comme étant un jeûne continu. » Rapporté par l'Imâm Muslim
dans son Sahîh.
Le hadîth cité [plus haut] prouve qu'il n'y a pas de mal à ce que le jeûne soit accompli de manière continue ou de manière discontinue. Seulement,
il est recommandé de les jeûner rapidement, selon les paroles d'Allâh - Subhânahu :
« [...] Et je me suis hâté vers Toi, Seigneur, afin que Tu sois satisfait »
[1]
Et il y a des preuves Coraniques et des ahadîth [traditions] prophétiques qui prouvent les bienfaits dans la concurrence, et l'empressement à bien faire. Il n'est pas obligatoire d'accomplir le jeûne des six jours du mois de Chawwâl de manière continue, seulement cela est meilleur, selon les dires du Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) :
« L'uvre la plus aimée par Allâh, c'est celle pratiquée avec régularité, minime soit-elle. »
Et il n'est pas prescrit de compenser les six jours de mois de Chawwâl, une fois ce mois passé la Sounnah n'a plus lieu d'être, que la raison pour laquelle [cette Sounnah] n'a pas été accomplie soit valable ou pas. [2]
1] Coran, 20/84
[2] Madjmu' Fatâwa du SHeikh Ibn BâZ
, vol-15 p.388-389