Je ne sais si vous connaissez "la divine comédie" de Dante dont une partie se réfère à l'enfer de Dante connu. Je suis en train de concevoir "la comédie humaine" de Hadbaa ou les justiciers à la noix de coco qui sont sensés sauver le Maroc de leur propre injustice. Ha.
En 1992, je travaillais à une banque connue de l'époque. Le 23 janvier 1992, en voulant entrer dans l'édifice de la banque, j'ai été prise d'assaut par les gardiens de sécurité. Je pesais 43 kilos. Ils m'ont prise comme un carton et ils m'ont jeté dehors sur une ruelle du Prince à Casablanca. L'année d'après, une fois mes plaies cicatrisées plus ou moins, j'ai essayé de récupérer mes droits. J'avais 24 ans. Une personne m'a recommandé Mostafa Ramid, avocat dont la cabinet se trouvait sur la route ou avenue de Médiouna à Casa.
Je suis partie avec mes cheveux bouclés, ma tenue en velours côtelé jean et veste. Je lui ai expliqué l'injustice que j'ai subi.
Mostafa Ramid laissait la porte de son bureau ouverte quand il recevait des femmes (pour la fitena). Je racontais mon histoire en pleurant.
Il n'a pas tardé à me mettre dehors en criant qu'il ne s'occupait pas de "ce genre" de dossier. Je me suis retrouvée sur la route de Médiouna et j'ai pleuré, pleuré. J'ai chargé un autre avocat casablancais de l'affaire qui a joué avec comme il a voulu. Je n'ai pas récolté un clou.
En 2014, le zoro marocain Mostafa Ramid est ministre de la justice et des "euh" libertés. J'ai trois dossiers au tribunal de Tanger qui ne veulent pas aboutir, que des corrompus allant de l'avocat au juge au présent du tribunal. J'ai un trouble bipolaire avancé chopé dans une "chochiété espagnole" avec 1 pour cent de participation marocaine à cause de l'oppression et des abus de tous genres que j'ai vécu suite au port du voile. Cela fait une année que mes dossiers se baladent au tribunal suite au conseil du médiateur du royaume qu'il m'a adressé par courrier, diwan al madalim où des professionnelles collectionnent les injustices subies par les citoyens pour en faire une pièce de théâtre qu'ils annexeront à ma "comédie humaine" le moment voulu et que nous jouerons nous les marocains dans le beau et élégant théâtre inauguré à Rabat récemment.
En citoyenne correcte avant de faire "un de mes tabacs" j'ai écrit une réclamation à son excellence Zoro, ministre de la justice et de la liberté. J'ai reçu batata c'est à dire : rien du toooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooouuuuuut. Dans le post suivant je passe à l'action étant coach. Ne partez pas !
En 1992, je travaillais à une banque connue de l'époque. Le 23 janvier 1992, en voulant entrer dans l'édifice de la banque, j'ai été prise d'assaut par les gardiens de sécurité. Je pesais 43 kilos. Ils m'ont prise comme un carton et ils m'ont jeté dehors sur une ruelle du Prince à Casablanca. L'année d'après, une fois mes plaies cicatrisées plus ou moins, j'ai essayé de récupérer mes droits. J'avais 24 ans. Une personne m'a recommandé Mostafa Ramid, avocat dont la cabinet se trouvait sur la route ou avenue de Médiouna à Casa.
Je suis partie avec mes cheveux bouclés, ma tenue en velours côtelé jean et veste. Je lui ai expliqué l'injustice que j'ai subi.
Mostafa Ramid laissait la porte de son bureau ouverte quand il recevait des femmes (pour la fitena). Je racontais mon histoire en pleurant.
Il n'a pas tardé à me mettre dehors en criant qu'il ne s'occupait pas de "ce genre" de dossier. Je me suis retrouvée sur la route de Médiouna et j'ai pleuré, pleuré. J'ai chargé un autre avocat casablancais de l'affaire qui a joué avec comme il a voulu. Je n'ai pas récolté un clou.
En 2014, le zoro marocain Mostafa Ramid est ministre de la justice et des "euh" libertés. J'ai trois dossiers au tribunal de Tanger qui ne veulent pas aboutir, que des corrompus allant de l'avocat au juge au présent du tribunal. J'ai un trouble bipolaire avancé chopé dans une "chochiété espagnole" avec 1 pour cent de participation marocaine à cause de l'oppression et des abus de tous genres que j'ai vécu suite au port du voile. Cela fait une année que mes dossiers se baladent au tribunal suite au conseil du médiateur du royaume qu'il m'a adressé par courrier, diwan al madalim où des professionnelles collectionnent les injustices subies par les citoyens pour en faire une pièce de théâtre qu'ils annexeront à ma "comédie humaine" le moment voulu et que nous jouerons nous les marocains dans le beau et élégant théâtre inauguré à Rabat récemment.
En citoyenne correcte avant de faire "un de mes tabacs" j'ai écrit une réclamation à son excellence Zoro, ministre de la justice et de la liberté. J'ai reçu batata c'est à dire : rien du toooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooouuuuuut. Dans le post suivant je passe à l'action étant coach. Ne partez pas !