Le sketch de la justice : mostafa ramid et les libertés

Je suis royaliste jusqu'au bout des doigts et j'adore le Maroc sous la dynastie Alaouite qui a toujours prôné la liberté et la tolérance.
Quand je parle d'injustice je parle de personnes qui ne font pas leur travail correctement et d'entreprises dont les assurances qui sucent le sang des citoyens.
Quand j'avait 3 ans, je dormais dans mon lit d'enfant et dès que j'entendais l'hymne national je descendais d'entre les barreaux de fer pour descendre faire le salut militaire et écouter l'hymne et la chanson que je connais toujours par cœur.
La vision de Sa majesté the King Mohamed the Sixth d'un Maroc de lumière où l'art, la culture, l'économie et la diversité se mélange est particulièrement partagée par mes nombreux écrits. Je suis en train de suivre le changement magnifique qui est en train de s'opérer progressivement.
En même temps je souhaite que nous citoyens marocains fassions ce qu'il faut pour que tous ces changements se fassent à 100 %.
Ce qui me pousse à dénoncer les infractions commises par certains vis à vis de mon dossier qui n'est qu'un dossier et un seul parmi beaucoup de dossiers de marocains.
 
Je ne suis pas un cas social. J'ai été un jour l'assistante de direction la mieux payée du Maroc et la plus privilégiée à l'âge de 22 ans.
En 1996, j'ai atterri chez Tanamo citée précédemment en tailleur mini jupe élégant. A Tanger, mon profil n'est pas très courant. D'abords qui est Tanamo ?
Spanish company my dear audience. Cher concitoyens, les spanishs font chez nous ce qu'ils veulent c'est à dire nous piétiner.
 
En 1991, j'étais assistante de direction générale à Uniban, Casablanca, banque avalée deux fois par Wafabank et par Attijariwafa. Je sais qu'on dit absorbée toutefois j'ai envie d'employer mes propres termes d'écrivains (Amazon.com - Osmora.com). Un monsieur Diaz est venu ouvrir un compte bancaire bien garni avec quelques milliards de dollars. Le projet en a coûté trois.
En 1992, les travaux de construction de la tuyauterie ont commencé. Grâce à Feu Basri et à d'autres ministres, un beau contrat a été signé entre Enagas et le ministère de l'énergie et des mines. Bien sûr un beau contrat pour l'Espagne puisque pour 7% misérables de redevances ils ont été exonérés d'impôts 25 ans et ils ont eu droit à un dahir d'utilité publique, pourquoi un gazoduc espagnol est déclaré d'utilité publique ?
540 km ont été enlevés à leurs propriétaires de Ain Beni Mathar jusqu'à Achakkar.
Les expropriations se sont faites avec sans bon gré. Beaucoup de pauvres gens sont passés là dedans à la ruine. Feu Rouan Aissa est un agriculteur. On lui a pris 100 mètres. Il est resté au tribunal de Taourirt dix ans. Il est mort sans avoir gain de cause. Après son décès, le tribunal a émis son jugement : 600 Dhs pour Rouan Aissa le Marocain à qui l'Espagne a enlevé sa terre sous le nez des autorités.
Actuellement Tanamo veut signer un contrat de gazification pour tout le Maroc, donc encore utilité publique et terres qui passent à l'Espagne.
Ce n'est pas tout. Le président de Tanamo a acheté un enfant marocain aux beaux cheveux noirs de la crèche de Tanger à qui Tanamo paie 7000 Dh par an. Cela permet à M. le P.D.G. d'être papa après avoir falsifié les papiers en se déclarant musulman, chose que bien sûr il n'est pas.
 
Je reviens à mon pays que j'adore. J'ai traversé le Maroc de long en large. J'ai pris du thé avec les nomades et j'ai mangé le tagine aux sources d'Oum Rabie. A Merzouga, je n'ai pas peur des scorpions, j'ai dormi dans une tente entre les dunes et j'ai couru nu pied en contemplant le magnifique coucher de soleil.
Me laisser piétiner par un Espagnol sur ma terre alors que je suis la petite fille de Khadrir Gayland, le Che de 1664 qui leur a tenu tête 30 ans, cela c'est trop me demander que n'on déplaise au sieur Ramid qui ne veut pas entendre parler de moi.
 
J'ai vécu la vraie liberté dans mon pays "Morocco". Etudiante j'ai été athée, j'ai fréquenté en son temps le Jefferson et j'ai eu comme livre de chevet "les aventures de Dieu et de son petit Jesus" de Cavana avant de me convertir à l'islam deux ans après mon emploi chez Tanamo alias l'enfer de Dante.
 
Le 30 avril 1998, j'ai porté le voile.
Boum. Une explosion à Tanamo. J'ai reçu des menaces pour quitter lieux. Quand j'ai refusé j'ai été informée que mon futur était "fini".
Suite à des mauvais traitements de toutes sortes de la part des responsables hiérarchiques dont la placardisation, différents types de harcèlement, aliénation, ils m'ont donné comme travail durant dix ans des papiers à tamponner toute la journée comme dans "Sir heta teteji" le feuilleton de Mohamed el Jem.
En 2003, j'ai commencé à avoir des crises de psychoses que peu de temps après les psychiatres ont déclaré comme trouble bipolaire ou psychose maniaco dépressive.
C'est une maladie extrêmement invalidante classée par l'OMS parmi les six maladies les plus graves du monde. J'ai d'ailleurs été déclarée invalide par mon psychiatre traitant en mai 2013.
 
J'assume entièrement mon choix et je ne regrette nullement le port du voile qui a été l'objet de nombreux textes satiriques dans mes écrits dont le foulard islamique "Amazon.com".
J'ai bien sûr cotisé durant ma période professionnelle à des caisses dont la CNSS, caisse qui parait minime mais qui regroupe les uniques personnes sérieuses pour traiter les maux des gens. Puis la grande Axa qui m'a fait une expertise chez un chirurgien pour affirmer après sous la pression de Tanamo "que je n'avais rien". Puis un crédit logement avec une assurance décès invalidité de la BMCI qui avale en ce moment ma pension Cnss.
Iwa ?
 
J'ai atteri avec mes trois dossiers Metragaz + Axa + BMCI chez le meilleur avocat du Maroc, Pr. Bakkali qui fait de son mieux pour faire avancer mes dossiers.
Seulement, le fameux trouble que j'ai c'est une maladie qui avec le stress pousse vers la psychose avec ou sans retour et de là le ton dramatique que j'ai utilisé pour étaler mon linge (lavé à la machine) sur Bladi.
 
En plus avec ma cervelle de bipolaire, je me dis que Metragaz n'est pas une usine de sardines. C'est une société structurée avec un pour cent de participation marocaine, certifiée EFR Ressources humaines et Ohsas sécurité et santé, disposant d'un code éthique et d'une politique de responsabilité joints à une convention collective avec le personnel.

Pourtant elle me fait courir dans mon état dans les tribunaux elle et ses amis de Axa et de la BMCI alors que mon avocat Pr. Bakkali est justement directeur du centre Européen de médiation et des dossiers comme le mien sont traités dans les pays civilisés avec beaucoup de célérité ?
 
Je refuse d'être une victime.

Je me dis que ce Maroc chéri que nous aimons tous mérite beaucoup mieux que cette corruption qui colle partout. Aussi je refuse que mon cas se répète dans une entreprise Marocaine.

C'est vrai qu'en ce moment, mes entrées d'argent sont très limitées mais je suis peintre et j'ai mes clients (juifs marocains, parlementaires, etc...). Je veux surtout attirer l'attention sur les injustices qu'on ne voit pas, ces assurances auxquelles on cotise et puis on doit les poursuivre dans les tribunaux, ces entreprises étrangères qui viennent abuser de notre bonne foi et la générosité de notre pays.

Mon cas est un thermomètre de l'état du droit et de l'application du droit dans notre pays. Par exemple pourquoi faut-il payer un pour cent de frais judiciaires au début de chaque litige ? Il y a un arsenal de procédures à revoir et pourquoi ne pas calquer sur des pays évolués comme les USA où l'indemnité pour la perte d'un être humain est arrivée jusqu'à 250 millions de dollars.

Depuis que je suis confrontée à cet arsenal judiciaire du moyen âge, je me sens comme une mendiante. Le système est moche et méprise l'être humain. Quand je dis système je dis "choses à changer".

C'est un peu comme quelqu'un qui meurt et puis il revient raconter ce qu'il a vu de l'autre côté. Voilà ce que je vous ai disserté. Quand je déjeunais au Mirage de Tanger, je pensais que le Maroc c'était cela des lieux raffinés et élégants avec des gens satisfaits.

Seulement, je découvre que je ne suis pas satisfaite. Ce qui se passe derrière les coulisses est atroce ! J'ai la foi que nous allons entre nous tous nous entraider pour faire évoluer les choses dans le sens positif et assurer ainsi à nos enfants (je n'en aurais jamais) un avenir prometteur et faire de notre pays bien aimé "le Maroc", un havre de paix et de tranquillité monnayé par les justes droits.
 
Je termine par un poème en anglais que j'ai publié sur le forum de Harvard où j'étudie l'ancienne poésie américaine. Bipolaire et je m'instruis.
J'en suis encore à mes débuts dans les poèmes en anglais. Je le publie pourtant pour le "feeling" :

Casablanca Couscous

At the north of Africa is the Moroccan land
Where there is a couscous for everyone to share
This exquisite plate is prepared usually Fridays
No need of many plates is really required
One big plate in the center and many hands
Experts eat with three fingers with a real art
Others with spoons celebrate the sacred days
Casablanca Couscous delicious you’ll find
Come on to visit our splendid mixture sand
And sea passing by mountains and plains
Generosity, tolerance and diversity at your side

Hadbaa Elfatemi, 18/11/2014
 

Pentarebus

inventeur du Pentarebus
VIB
Merci j'ai vu quelques vidéos sur ce genre de danse. On se défoule à merveille.
Je ne peux pas le faire parce qu'avec les doses corsées de neuroleptiques mes membres ne répondent plus comme avant.
J'étais championne du rock à 6 temps, je faisais à merveille les figures. Pas besoin de cavaliers, je m'entraînais avec... un foulard ! J'ai fréquenté une école de danse de société à Rabat.
Je veux juste voir des gens optimistes et qui ne vous tapent pas sur les nerfs et sur la vie avec leur négativisme.
Une fois là bas j'irais à un concert de ce qui reste de Queen et si je trouve où est la tombe de Freddie Mercury j'irais lui rendre hommage.
Appelle l'ambassade US et dis leur quelque chose en ma faveur ! Ne leur dis pas que je suis Rocky à dos de chameau.
Au fait ils ont des chameaux aux USA ? Je ne voudrais pas que le mien se retrouve seul !
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Dernière édition:

Amkhlaw69

amazigh épargné de l'idéologie arabo-islamiste
VIB
Je ne sais si vous connaissez "la divine comédie" de Dante dont une partie se réfère à l'enfer de Dante connu. Je suis en train de concevoir "la comédie humaine" de Hadbaa ou les justiciers à la noix de coco qui sont sensés sauver le Maroc de leur propre injustice. Ha.
En 1992, je travaillais à une banque connue de l'époque. Le 23 janvier 1992, en voulant entrer dans l'édifice de la banque, j'ai été prise d'assaut par les gardiens de sécurité. Je pesais 43 kilos. Ils m'ont prise comme un carton et ils m'ont jeté dehors sur une ruelle du Prince à Casablanca. L'année d'après, une fois mes plaies cicatrisées plus ou moins, j'ai essayé de récupérer mes droits. J'avais 24 ans. Une personne m'a recommandé Mostafa Ramid, avocat dont la cabinet se trouvait sur la route ou avenue de Médiouna à Casa.
Je suis partie avec mes cheveux bouclés, ma tenue en velours côtelé jean et veste. Je lui ai expliqué l'injustice que j'ai subi.
Mostafa Ramid laissait la porte de son bureau ouverte quand il recevait des femmes (pour la fitena). Je racontais mon histoire en pleurant.
Il n'a pas tardé à me mettre dehors en criant qu'il ne s'occupait pas de "ce genre" de dossier. Je me suis retrouvée sur la route de Médiouna et j'ai pleuré, pleuré. J'ai chargé un autre avocat casablancais de l'affaire qui a joué avec comme il a voulu. Je n'ai pas récolté un clou.
En 2014, le zoro marocain Mostafa Ramid est ministre de la justice et des "euh" libertés. J'ai trois dossiers au tribunal de Tanger qui ne veulent pas aboutir, que des corrompus allant de l'avocat au juge au présent du tribunal. J'ai un trouble bipolaire avancé chopé dans une "chochiété espagnole" avec 1 pour cent de participation marocaine à cause de l'oppression et des abus de tous genres que j'ai vécu suite au port du voile. Cela fait une année que mes dossiers se baladent au tribunal suite au conseil du médiateur du royaume qu'il m'a adressé par courrier, diwan al madalim où des professionnelles collectionnent les injustices subies par les citoyens pour en faire une pièce de théâtre qu'ils annexeront à ma "comédie humaine" le moment voulu et que nous jouerons nous les marocains dans le beau et élégant théâtre inauguré à Rabat récemment.
En citoyenne correcte avant de faire "un de mes tabacs" j'ai écrit une réclamation à son excellence Zoro, ministre de la justice et de la liberté. J'ai reçu batata c'est à dire : rien du toooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooouuuuuut. Dans le post suivant je passe à l'action étant coach. Ne partez pas !

islamisme/libertés, Islam/démocratie ne sont pas compatibles, Ramid est un islmaiste arriéré qui appelle les enfants son père "ouled elhram"
 
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