Une patiente, qui souffre du cancer du sein, a effectué 22 séances de rayons au centre de radiothérapie de l'hôpital de Créteil, dans le Val de Marne.
Le 6 novembre dernier, lors de la 23ème séance, son mari s'est étonné des rougeurs anormales sur le côté sain de son épouse.
Les manipulateurs, qui jusque-là suivaient la prescription du radiothérapeute, se sont rendus compte alors compte de l'erreur. Durant les 22 séances dernières, ils s'étaient trompés de sein.
Comment a-t-elle pu se produire ? "C’est une conjonction d’éléments qui a conduit à cette erreur. La patiente présentait des troubles cognitifs insoupçonnés et n’avait pas de syndrome tumoral sur le sein." a indiqué le docteur Housset, chef du pôle spécial cancer.
Elle avait été opérée de sa tumeur, et n’avait pas de cicatrice. Hormis des lésions cutanées, la patiente n’a pas eu de séquelles et a terminé son protocole. "Elle continue à être suivie chez nous et nous a gardé sa confiance" assure le médecin.
www.ledauphine.com/france-monde/2016/01/22/soignee-22-fois-du-mauvais-cote-pour-son-cancer-du-sein
Le 6 novembre dernier, lors de la 23ème séance, son mari s'est étonné des rougeurs anormales sur le côté sain de son épouse.
Les manipulateurs, qui jusque-là suivaient la prescription du radiothérapeute, se sont rendus compte alors compte de l'erreur. Durant les 22 séances dernières, ils s'étaient trompés de sein.
Comment a-t-elle pu se produire ? "C’est une conjonction d’éléments qui a conduit à cette erreur. La patiente présentait des troubles cognitifs insoupçonnés et n’avait pas de syndrome tumoral sur le sein." a indiqué le docteur Housset, chef du pôle spécial cancer.
Elle avait été opérée de sa tumeur, et n’avait pas de cicatrice. Hormis des lésions cutanées, la patiente n’a pas eu de séquelles et a terminé son protocole. "Elle continue à être suivie chez nous et nous a gardé sa confiance" assure le médecin.
www.ledauphine.com/france-monde/2016/01/22/soignee-22-fois-du-mauvais-cote-pour-son-cancer-du-sein