C’est surtout par des groupes de jeunes réfugiés que se sentent harcelés de façon croissante les patrons de bar, les riverains, les gérants des bordels et les prostituées. « Les Allemands n’osent plus venir dans les boîtes et les bordels », déclare une entraîneuse qui attend les clients devant la porte. Dans son établissement, les réfugiés n’ont pas le droit d’entrer. « Ils arrivent, commandent de la bière et du sexe, et injurient les femmes », dit-elle. Les réfugiés sont maintenant également interdits d’entrée dans d’autres bordels du quartier. Là où ce n’est pas le cas, les gérants courent le risque de voir partir les prostituées.
http://www.stuttgarter-zeitung.de/i...bot.fa59450a-3743-4643-a15c-dfb0efae904e.html
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