Bah oui dans mon précédent post je disais qu'avec belle maman c'était complexe, j'ai beaucoup de compassion pour elle au fond de mon coeur mais je ne lui montre pas.
Parcontre mon beau frere je suis dingue de lui, c'est un amour, mon confident. Je l'admires tant, il est jeune mais est l'homme de la famille, il tient toute la famille à bout de bras. Il est fort, pas comme mon mari, et croyez moi j'en suis triste de le dire. Et souvent je demandes à mon fils de prendre exemple sur son tonton "fais comme lui regardes comme il est soigneux de son apparence, jamais il a un faux plis sur sa chemise" (c'est un pur beau goss le bof'), "va à la mosquée avec lui".
Combien de fois il a volé à mon secours, des tas de fois... Un matin ma carette ne démarrait pas, il été super tot, et bien il est venu avec ses pinces et son adorable petit visage bouffi, ses cheuveux froissés, son corps encore tout chaud de sommeil...qu'est ce que je l'ai trouvé touchant.
Combien de longues discussions j'ai eu avec lui, dans sa voiture tard le soir. Je me sens bien avec lui, dans sa voiture je me sens en sécurité.
Combien de longues conversations au téléphone...je n'ai pas besoin d'excuses pour l'appeller, il devine que j'ai simplement besoin de parler.
Combien de fois il m'a dit que je pouvais compter sur lui pour tout (problème du quotidien, maladie, argent...).
Combien de fois je lui ai demandé de garder des choses secrètes, quand je suis tombée malade c'est à lui en premier que je l'ai dis... il m'a beaucoup poussé à en parler à la famille, à son frere. Il a du trahir mon secret car un jour il n'y a pas si longtemps il m'a conduite à l'hopital, clandestinement, mais comme j'ai été hospitalisé c'était trop lourd à porter pour lui, mais je ne lui en veux pas.
Nous n'avons jamais parlé ensemble de mon mariage avec son frere, je ne voulais pas le mettre dans une situation inconfortable, où il devait arbitrer.
Il n'a jamais été envahissant, il est là seulement quand j'ai besoin.
Je sais bien que notre amitiée n'est pas perçue d'un très bon oeil par sa mère et mes parents, pour eux je demande des choses à mon beau frère que je devrais demander à mon mari en premier.
Nous sommes pourtant très respectueux l'un envers l'autre, et nous sommes "distants" en présence de la famille ou de mon mari.
Mon mari est souvent en déplacement professionnel, donc il le substitue, quand il sait que je suis clouée au lit, il m'apporte des courses.
Quand mes (psychopathes de) parents n'arrivent pas à me joindre au téléphone durant deux jours, c'est à mon beau frère qu'il téléphone pour qu'il vienne voir chez moi si tout va bien.
Ce soir j'ai envie de dire (pour la millième fois) que j'adore mon beau frère.
Parcontre mon beau frere je suis dingue de lui, c'est un amour, mon confident. Je l'admires tant, il est jeune mais est l'homme de la famille, il tient toute la famille à bout de bras. Il est fort, pas comme mon mari, et croyez moi j'en suis triste de le dire. Et souvent je demandes à mon fils de prendre exemple sur son tonton "fais comme lui regardes comme il est soigneux de son apparence, jamais il a un faux plis sur sa chemise" (c'est un pur beau goss le bof'), "va à la mosquée avec lui".
Combien de fois il a volé à mon secours, des tas de fois... Un matin ma carette ne démarrait pas, il été super tot, et bien il est venu avec ses pinces et son adorable petit visage bouffi, ses cheuveux froissés, son corps encore tout chaud de sommeil...qu'est ce que je l'ai trouvé touchant.
Combien de longues discussions j'ai eu avec lui, dans sa voiture tard le soir. Je me sens bien avec lui, dans sa voiture je me sens en sécurité.
Combien de longues conversations au téléphone...je n'ai pas besoin d'excuses pour l'appeller, il devine que j'ai simplement besoin de parler.
Combien de fois il m'a dit que je pouvais compter sur lui pour tout (problème du quotidien, maladie, argent...).
Combien de fois je lui ai demandé de garder des choses secrètes, quand je suis tombée malade c'est à lui en premier que je l'ai dis... il m'a beaucoup poussé à en parler à la famille, à son frere. Il a du trahir mon secret car un jour il n'y a pas si longtemps il m'a conduite à l'hopital, clandestinement, mais comme j'ai été hospitalisé c'était trop lourd à porter pour lui, mais je ne lui en veux pas.
Nous n'avons jamais parlé ensemble de mon mariage avec son frere, je ne voulais pas le mettre dans une situation inconfortable, où il devait arbitrer.
Il n'a jamais été envahissant, il est là seulement quand j'ai besoin.
Je sais bien que notre amitiée n'est pas perçue d'un très bon oeil par sa mère et mes parents, pour eux je demande des choses à mon beau frère que je devrais demander à mon mari en premier.
Nous sommes pourtant très respectueux l'un envers l'autre, et nous sommes "distants" en présence de la famille ou de mon mari.
Mon mari est souvent en déplacement professionnel, donc il le substitue, quand il sait que je suis clouée au lit, il m'apporte des courses.
Quand mes (psychopathes de) parents n'arrivent pas à me joindre au téléphone durant deux jours, c'est à mon beau frère qu'il téléphone pour qu'il vienne voir chez moi si tout va bien.
Ce soir j'ai envie de dire (pour la millième fois) que j'adore mon beau frère.
