Je suis une legende.

Le film américain Je suis une légende (2007) ira au bout de cette logique. Le métrage, trahissant totalement le roman de Richard Matheson, nous conte l'histoire du présupposé dernier homme sur Terre, un noir américain sauveur de l'humanité préfigurant Obama, mangeant bio en chassant lui-même le cerf en plein New York le M16 sous le bras, ne fumant pas, faisant du sport régulièrement et obligeant son pauvre ami canidé à manger ses 5 fruits et légumes par jour (délire hygiéniste)
On est donc bien loin du monde apocalyptique et poisseux des films de mort-vivants bien que l'histoire traite d'une pandémie mondiale qui aurait décimée la planète et transformée la population restante en contaminés cannibales.

Le héros, symbolisant l'Amérique, devient donc le dernier rempart de la civilisation, combattant pour le salut de l'humanité et la préservation de notre modèle de société.


La Révolte des nécrosés

Une vision qui d'ailleurs est l'opposée du 5ème film de Romero intitulé Land of The Dead, monde décimé par le virus « zombiesque » et qui a vu naitre une Cité-Etat (métaphore de l'Amérique) dominée par un Denis Hopper au relents de George W Bush et d'une élite réfugiée dans des tours de verres, jouissant des biens matériels et du confort du monde ancien (le notre, celui de l'avant contamination).
Privilèges qui sont d'ailleurs refusés à la classe inférieure que l'on divertit pendant ce temps avec des combats de morts- vivants dans des cages (transposition des jeux de télé-réalité et de la trash tv) selon le principe bien connu du "Panem et Circenses" pour anéantir toute revendication sociale.
Dans cette cité, le modèle économique est la rafle des villes voisines dévastées et l'anéantissement des occupants des lieux, c'est à dire des morts-vivants, avec forces moyens militaires, faisant écho à la politique extérieure Américaine menée par le gouvernement.

Ici le zombie reflet du prolétaire est méprisé et ses capacités sous évaluées, mais il développera une conscience, pénètrera dans la Cité et dévorera les bourgeois effrayés.

Je suis une légende, Land of the dead, deux films américains sur la thématique du mort-vivant et deux visions différentes.
On ne doutera pas quel film à la faveur idéologique des élites atlanto-libérales, et quel autre a celui de leurs opposants...
Mrx
 
Le film américain Je suis une légende (2007) ira au bout de cette logique. Le métrage, trahissant totalement le roman de Richard Matheson, nous conte l'histoire du présupposé dernier homme sur Terre, un noir américain sauveur de l'humanité préfigurant Obama, mangeant bio en chassant lui-même le cerf en plein New York le M16 sous le bras, ne fumant pas, faisant du sport régulièrement et obligeant son pauvre ami canidé à manger ses 5 fruits et légumes par jour (délire hygiéniste)
On est donc bien loin du monde apocalyptique et poisseux des films de mort-vivants bien que l'histoire traite d'une pandémie mondiale qui aurait décimée la planète et transformée la population restante en contaminés cannibales.

Le héros, symbolisant l'Amérique, devient donc le dernier rempart de la civilisation, combattant pour le salut de l'humanité et la préservation de notre modèle de société.

ceci est contrebalancé par le fait que : comemnt peux tu supposer des delires obsetionnel d'un homme vivant seul dans NY envahi de mort vivant.
ce passage reflete plutot la volonté du heros à essayer d epreserver une image de normalité pour ne pas devenir fou, apres tout il parle bien au manequin.

quand à l'amérique super heros c'est oublier qu'au debut du film ce sont les pharmaco américains qui créé et propagent le virus....
on est lion de la toute puissance que tu propose.
 
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