Taarabt : lu pour vous dans la presse canadienne

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Taarabt : Lu pour vous dans la presse du Canada

http://www.marocfootball.info/mountakhab/5327-lu-pour-vous-dans-la-presse-du-canada-.html

Blaise Pascal, un célèbre penseur et écrivain français avait dit : "L’homme n’est ni ange ni bête mais le malheur veut que qui veut faire l’ange fait la bête".

Adel Taarabt, par son comportement et par ses déclarations intempestives, illustre à merveilles cette phrase.

Je ne voulais pas intervenir sur ce sujet tellement il me fend le cœur et d’ailleurs que peut-on dire de plus après le flot de critiques reçues par ce joueur qui, au lieu de faire parler de lui sur les terrains, a choisi de s’illustrer dans les faits divers.

Je propose aux lecteurs de Maroc Football un article paru au Canada, dans la principale chaîne sportive (RDS) du pays. Cet article illustre bien les conséquences néfastes du statut mal assumé par ce joueur.

 

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Triste Football !
Par Franck Rochefort

Comme je le fais plusieurs fois par jour depuis des années, je me suis connecté sur le site de l’Equipe.fr. Un site qui demeure fort pratique et complet. Je tombe alors sur l’interview d’un joueur prometteur : Adel Taarabt. Il fait partie depuis quelques années malgré son jeune âge de la liste des futurs Zidane. En compagnie de Camel Meriem et Marvin Martin.

Après quelques années d’errance, il semble avoir trouvé ses marques cette saison dans son club, les mythiques Queens Park Rangers. Il réalise sa première vraie saison réussie en pro, à 22 ans.

Selon ma théorie, un joueur peut être considéré comme étant un bon joueur lorsqu’il enchaîne 2 bonnes saison de suite. En suivant ma logique, Adil n’est donc encore qu’un espoir du football.

Bref, revenons à l’interview dans l’Equipe.fr.
Déçu d’apprendre qu’il ne débuterait pas contre l’Algérie, le 4 juin dernier, Adel Taarabt avait quitté la sélection marocaine avec fracas. Il revient pour nous, sur cet incident.

Une introduction qui me donne envie de connaître la version du jeune homme.
Problème, je n’aurai jamais du lire cet article. Car dedans y figure tout ce que je déteste dans le football et la mentalité de certains joueurs actuels. Petits extraits croustillants ci-dessous.

A défaut de détenir la panoplie du joueur parfait, Taraabt détient la panoplie du sale joueur à la mentalité pourrie.

Début d’interview et première remarque : Adel emploie un vocabulaire on ne peut plus châtié. Son fameux “qu’ils ne croient pas que je leur ait fait un coup de bâtard.” restera dans les annales.

A la rigueur, pour sa défense, on peut toujours dire qu’il s’agit du discours d’un petit jeune qui ne veut pas se prendre la tête.

Il ne faut pas s’étonner alors si Thuram, qui sait s’exprimer correctement, passe pour l’intello du foot Français. Mais plus que c’est parole, c’est le fond qui m’a fait bondir de ma chaise.

Adel nous annonce dans un premier temps que jouer pour sa sélection dans des pays comme le Gabon, ça ne le passionne guère (et encore je suis poli).

Certains appelleront ceci de la sincérité, moi j’appellerai ça un manque de respect pour le pays concerné et un manque de passion pour le foot en général. Dans le même genre, on a un peu plus loin la phrase suivante : Au final, c’est peut-être mieux comme ça. Au lieu de me fatiguer à prendre l’avion, de jouer sur des terrains en Afrique qui ne sont même pas des terrains. (Merci pour nos amis jardiniers Africains).

Il nous parle ensuite de sa décision de ne pas jouer pour son pays : Je suis désolé pour les supporters parce que je suis leur chouchou ! Égocentrisme démesuré que ne renierait pas un certain … a je ne dirait pas le nom, mais Adel a tout d’un Cristiano Ronaldo Marocain.

Le festival continue ensuite avec : Aucun joueur marocain n’a fait mieux que moi cette année. J’étais le meilleur buteur, le meilleur passeur, le seul à avoir gagné un titre.

Je ne remets pas en question cette affirmation. Quoique se comparer aux autres joueurs me semble ridicule. Mais lorsqu’il parle de titre, il parle de titre de champion de 2ième division Anglaise, un titre à relativiser malgré tout. Un peu d’humilité n’a jamais tué personne.

 

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Toujours dans le dénigrement de sa sélection , Adel nous sort cette petite bombe que pas mal de footballeurs pensent sans jamais s’être permis de la lâcher : En club, je ne me serais jamais permis de faire ça. C’est grâce à lui que je gagne ma vie, pas grâce à la sélection. En voilà un qui n’a pas intérêt à passer ses vacances au Maroc. C’est surtout la preuve que pour pas mal de joueurs, le club, donc l’employeur, est considéré comme étant plus important que la sélection.

Tout ceux qui parlent d’amour du maillot et de fierté de jouer pour sa sélection peuvent aller se rhabiller. Adel annonce ces couleurs et dit qu’il préfère courir pour son employeur que pour sa nation (d’origine).

La solution serait-elle d’augmenter les primes des joueurs en équipe Nationale ?
Non, au contraire, la solution serait de radier à jamais de l’équipe nationale ces mercenaires qui tiennent de tels propos.

La phrase de la fin, je la garde pour Adel lui même: En tout cas, j’aimerais rester à Londres, c’est la meilleure ville au monde.

C’est sur qu’en France, voir revenir un joueur avec cette mentalité, ce n’est pas forcément ce qu’on recherche.

Espérons que les dirigeants de la fédération Marocaine auront le courage de sanctionner ce businessman (je ne parle même plus de footballeurs) par de tels propos.

 

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Taarabt, un conseil ne remet plus les pieds au Maroc !