Tanger : Une faculté de médecine pour 2014


Investissement prévu, 140 millions de DH

Tétouan aura, elle, une école de gestion


Le campus de l'Université Abdelmalek Essaadi devra s'étendre avec une faculté de médecine en 2014 et une école de gestion


L’un des projets prioritaires pour l’Université Abdelmalek Essaadi reste la faculté de médecine. La wilaya de Tanger a octroyé à l’Université Abdelmalek Essaadi (UAE) un terrain d’environ 8 hectares à l’entrée de la ville pour accueillir le projet. Les grandes lignes de la future faculté ont déjà été fixées et l’UAE espère avoir l’aval du ministère pour le projet dès ce mois de septembre pour ensuite démarrer les travaux, selon Houdaifa Ameziane, le président de l’Université.

Pour l’année 2013, une enveloppe budgétaire de 40 millions de DH a été programmée pour lancer la construction de cette faculté, le budget total prévu est, quant à lui, de 140 millions de DH. Sauf imprévu, la première promotion devrait entamer ses cours en 2014. Ce projet sera suivi lors d’une deuxième phase par une faculté de médecine dentaire. L’objectif est de mettre la formation médicale à la portée des jeunes de la région qui n’avaient d’autre alternative que de partir à Rabat pour faire leurs études.

L’Université a aussi dans ses cartons le projet de création d’une Ecole supérieure de technologie. C’est un projet qui sera présenté pour accréditation lors de cette rentrée. Il prendra place au sein des murs de la faculté polydisciplinaire de Larache, il pourra vraisemblablement entrer en service dès la rentrée 2013-2014.

Tétouan n’est pas en reste. L’Université Abdelmalek Essaadi compte y mettre en place une école nationale de commerce et de gestion. L’idée devrait être présentée lors du prochain contrat-programme 2013-2016. Mais le problème du financement reste entier.

Les universités sont entrées depuis 2009 dans une culture contractuelle. Il est précisé dans le contrat que l’Etat participera à hauteur de 150 millions de DH par an afin de financer la réalisation des objectifs précisés par le contrat-programme, explique Ameziane. «Malheureusement, le contexte économique n’était pas favorable et nous n’avons pas pu avoir les moyens promis lors de la signature de ce contrat», se plaint ce dernier. Pour 2009, l’Université a eu tout le budget convenu, mais en 2010, une ponction a été effectuée par le ministère de tutelle, arguant de la crise économique. Malgré la baisse des moyens, les objectifs ont été atteints, mais dans une ambiance teintée de malaise.

L'economiste
 
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Un trés bon médecin arabe dans son pays. ne fera jamais le travail de bon médecin. La tête polluée ne fera jamais un grand professionnel.
Ils n'arriveront jamais à faire la part de : L'égalité des malades pauvres ou riches - L'amour du métier - l'argent - le culte de la personnalité.....D'où vient ce malaise ?

Souvent on critique la médecine et les soins au Maroc. On les attribue aux équipements et au roi.
Dans un modeste lieu de soin la déontologie commence par la femme de ménage au médecin chef. Personne ne fait son travail convenablement c'est toujours la faute à l'autre. Le pays gaspille des milliards d'équipements hospitaliers ....hélas donner la confiture aux cochons.


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Bientôt donc un CHU dans la même ville ^^

De quoi étoffer l'offre sanitaire dans la région du Nord.

PS: à Agadir, est prévu fac + CHU à la même échéance.
 
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