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Tapie vs pujadas: le clash
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[QUOTE="remake, post: 11886404, member: 285471"] Le crédit lyonnais était une banque publique à ne pas oublier avec beaucoup d'affaires en coulisses déjà . ** 1993 - Quasi-faillite notamment à cause d'investissements massifs (dont ceux faits par le truchement d'une filiale aux Pays-Bas) perdus dans la Metro-Goldwyn-Mayer. Un rapport parlementaire dénonce le système des avances et prêts à risques, notamment dans le domaine immobilier, qui anticipaient la plus-value envisagée sur ces opérations immobilières. L'affaire du Crédit lyonnais a mis en valeur certaines des causes financières de la crise du logement. Le montant des pertes (130 milliards de francs) en ont fait l'un des plus grands scandales financiers de l'histoire, au même titre que l'affaire du canal de Panama. Ce scandale a touché également plusieurs filiales du Crédit lyonnais (CLBN, Société de banque occidentale (SDBO), IBSA, Altus Finance). 5 mai 1996 - Incendie du siège central parisien, le siège social étant à Lyon. Le Crédit lyonnais sauve toutefois ses activités de marché grâce à une salle de marché de secours prête à fonctionner. Sérieux doutes sur le caractère « accidentel » du sinistre, en particulier du fait des multiples foyers et de l'incendie au Havre d'une partie des archives du groupe. Les crapules sont toujours avec leurs gosses qui vivent avec de l'argent volé au peuple . Dieu a dit tu ne voleras pas . 1999 : privatisation partielle après recapitalisation. Après avoir placé la moitié du capital en bourse, l'État conserve 20 % des parts du capital et met en place avec des investisseurs institutionnels entrant au capital un « Groupement d'actionnaires partenaires », qui de fait est un pacte d'actionnaires, pour assurer l'indépendance de la banque. Les plus gros actionnaires sont le Crédit agricole, Axa et Allianz, notamment via les AGF, aucun ne pouvant détenir plus de 10 % (cas du Crédit agricole) du Crédit lyonnais sans l'autorisation du gouvernement. [/QUOTE]
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