Une taxe sur les snacks et friandises pour réduire les frais de santé

madalena

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salam

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Selon une étude de l’Université de Gand, une taxe sur les collations grasses, bonbons et boissons sucrées devrait permettre à terme au gouvernement d’économiser sur les coûts des soins de santé.

Moins de frais médicaux
Taxer les boissons sucrées, friandises, snacks et autres collations peu équilibrées devrait dissuader les consommateurs d’opter pour de tels produits, ce qui à terme aura son effet sur les soins de santé. « Grâce à une telle taxe nous mangerions plus sain et bon nombre de maladies seraient bien moins fréquentes, notamment les maladies cardiaques, le diabète ou encore certains cancers », explique le professeur Lieven Annemans. « Résultat les frais médicaux liés à ces maladies diminueront. »


Les chercheurs précisent qu’il s’agit d’une étude théorique, mais invitent néanmoins les politiciens à examiner l’éventualité d’une taxe sur l’alimentation nuisible à la santé. « Notre étude démontre que les pays qui élaborent soigneusement une taxe sur l’alimentation non équilibrée, gagnent leur pari. »


« Un plan de prévention global »
La Finlande, selon eux, en est le meilleur exemple : tant l’industrie que les consommateurs y ont été impliqués dans le projet de taxe, d’où le nombre limité de protestations. De plus dès le départ il a été annoncé clairement que la taxe avait pour objectif de réduire les frais de santé.


Annemans et son collègue le professeur Ignaas Devisch proposent d’utiliser les gains de la taxe pour réduire le prix des fruits et légumes. « Les gens pauvres achètent généralement des produits bon marché, qui souvent ne sont pas sains », indique Annemans. « Ils seraient donc les principales victimes de cette taxe. C’est pourquoi les gains de la taxe doivent servir de subsides pour les fruits et légumes et pour des campagnes promouvant une alimentation saine et s’adressant aux groupes qui en ont le plus besoin. »


« Tout cela doit s’inscrire dans le cadre d’un plan de prévention global qui doit s’attaquer à cette problématique en profondeur. Il ne s’agit donc pas de traiter un symptôme en instaurant une taxe à la va-vite et dont les gains serviront ensuite à tout autre chose », ajoute Devisch.

http://www.retaildetail.be/fr/f-bel...et-friandises-pour-reduire-les-frais-de-sante
 
A

AncienMembre

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Moi par contre je suis pour que TOUTES les écoles retire l'accès à ces cochonneries aux élèves et étudiant!

c'est une catastrophe! tu n'en vois jamais manger un fruit et pire celui qui en mange est regarder comme un extra terrestre
 

madalena

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Moi par contre je suis pour que TOUTES les écoles retire l'accès à ces cochonneries aux élèves et étudiant!

c'est une catastrophe! tu n'en vois jamais manger un fruit et pire celui qui en mange est regarder comme un extra terrestre


salam

de nos jours beaucoup d'école achète eux même les collation équilibré pour les enfants...mais c'est nous qu'on paie^^
 
A

AncienMembre

Non connecté
salam

lol ah mais c'est juste pour les petits..après c'est a nous de leur donner^^
nous on avais presque jamais de collation ^^

moi j'en ai tjs eu :p

des berlingot de lait :love: avec soit un sablé! ou alors un chocolat ou un fruit! chaque jour de la semaine, on avait un truc en particulier (mais tjs avec le lait :love:
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
salam

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Selon une étude de l’Université de Gand, une taxe sur les collations grasses, bonbons et boissons sucrées devrait permettre à terme au gouvernement d’économiser sur les coûts des soins de santé.

Moins de frais médicaux
Taxer les boissons sucrées, friandises, snacks et autres collations peu équilibrées devrait dissuader les consommateurs d’opter pour de tels produits, ce qui à terme aura son effet sur les soins de santé. « Grâce à une telle taxe nous mangerions plus sain et bon nombre de maladies seraient bien moins fréquentes, notamment les maladies cardiaques, le diabète ou encore certains cancers », explique le professeur Lieven Annemans. « Résultat les frais médicaux liés à ces maladies diminueront. »


Les chercheurs précisent qu’il s’agit d’une étude théorique, mais invitent néanmoins les politiciens à examiner l’éventualité d’une taxe sur l’alimentation nuisible à la santé. « Notre étude démontre que les pays qui élaborent soigneusement une taxe sur l’alimentation non équilibrée, gagnent leur pari. »


« Un plan de prévention global »
La Finlande, selon eux, en est le meilleur exemple : tant l’industrie que les consommateurs y ont été impliqués dans le projet de taxe, d’où le nombre limité de protestations. De plus dès le départ il a été annoncé clairement que la taxe avait pour objectif de réduire les frais de santé.


Annemans et son collègue le professeur Ignaas Devisch proposent d’utiliser les gains de la taxe pour réduire le prix des fruits et légumes. « Les gens pauvres achètent généralement des produits bon marché, qui souvent ne sont pas sains », indique Annemans. « Ils seraient donc les principales victimes de cette taxe. C’est pourquoi les gains de la taxe doivent servir de subsides pour les fruits et légumes et pour des campagnes promouvant une alimentation saine et s’adressant aux groupes qui en ont le plus besoin. »


« Tout cela doit s’inscrire dans le cadre d’un plan de prévention global qui doit s’attaquer à cette problématique en profondeur. Il ne s’agit donc pas de traiter un symptôme en instaurant une taxe à la va-vite et dont les gains serviront ensuite à tout autre chose », ajoute Devisch.

http://www.retaildetail.be/fr/f-bel...et-friandises-pour-reduire-les-frais-de-sante
Salam mada,
Où et comment flingué la croissance........je suis pour qu'il diminue les marges de ces sociétés..et réglemente les publicités.
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
salam

c'est a toi de faire attention pour tes futur enfants et même toi même^^
Non, l'état doit aussi réglementer les publicités, les menus dans les cantines, etc.
Comme passé 5mn de pub sur du chocolat entre deux dessins animés, équilibré les rations dans les cantines, diminuer le sucre, sel, et tout les produits chimiques dans la bouffe et soda, en gnrl, etc.
Les parents ont autre chose à faire que de passer leurs temps à lire les étiquettes.
On a une petite part de responsabilité sur nos enfants, mais aujourd'hui les grands sont autant concernés que les petits. Et le sujet de la mal bouffe concerne toute la société. Comment faire quand tu n'as plus d'autre choix que de manger des plats préparés artificiel, boire de l'eau empoisonné et respirer un air pollué ?
L'état à aussi sont rôle à jouer. Sauf à vivre en autarcie sur une ile déserte :)
 
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