Taza: retour des violences

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Pneus brûlés, jets de pierre… le siège de la province de Taza est une nouvelle fois en proie à la fureur de la population de Douar El Koucha et d’autres quartiers périphériques. Motif de la fronde, la «demande express» de libération d’une poignée de fouteurs de trouble qui ont été arrêtés après avoir causé de gros dégâts dans la ville lors de la défaite de l’équipe nationale contre le Gabon. Aussi, le 31 janvier, quelque 200 personnes se sont attaquées à la préfecture de police, bloquant le principal boulevard de la ville et demandant la libération immédiate des six personnes arrêtées. Regain de violence le 1er février, avec l’attaque du siège de la province.
En milieu d’après midi, des dizaines de manifestants ont pris d’assaut l’administration territoriale. «Munis d’armes blanches, de sabres et de cocktails Molotov, ces individus menacent l’ordre public et la sécurité des fonctionnaires», exprime terrifié un responsable de la province. A l’heure où nous mettions sous presse, les affrontements entre forces de l’ordre et manifestants étaient sur le point de commencer


L'Economiste
 

3robi78

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Pneus brûlés, jets de pierre… le siège de la province de Taza est une nouvelle fois en proie à la fureur de la population de Douar El Koucha et d’autres quartiers périphériques. Motif de la fronde, la «demande express» de libération d’une poignée de fouteurs de trouble qui ont été arrêtés après avoir causé de gros dégâts dans la ville lors de la défaite de l’équipe nationale contre le Gabon. Aussi, le 31 janvier, quelque 200 personnes se sont attaquées à la préfecture de police, bloquant le principal boulevard de la ville et demandant la libération immédiate des six personnes arrêtées. Regain de violence le 1er février, avec l’attaque du siège de la province.
En milieu d’après midi, des dizaines de manifestants ont pris d’assaut l’administration territoriale. «Munis d’armes blanches, de sabres et de cocktails Molotov, ces individus menacent l’ordre public et la sécurité des fonctionnaires», exprime terrifié un responsable de la province. A l’heure où nous mettions sous presse, les affrontements entre forces de l’ordre et manifestants étaient sur le point de commencer


L'Economiste



tous ça a cause du système , c'est le premier responsable .

Monsieur est en train de faire le tour du maroc , 2M et RTM nous cassent les pieds avec ses soit disons inaugurations , sa fait 11 ans qu'il fait ces sorties médiatique on a rien vu , le peuple est de plus en plus pauvre , les gens sont de plus en plus désespéré ,

mais c'est quoi ce bled , la hawla wa 9wata ila bilah .
 
B

blagheurt

Non connecté
salam

c'est pas encore fini...mais je vois pas dans quel but?
Salam,
Tout le monde sait que l'on ne met pas fin au chômage ou à la précarité d'un coup de baguette magique.
Une bonne question :
Des tours de piste d'échauffement fiévreux en prévision d'une prochaine course solennelle ? ? ?
 

madalena

Contributeur
Contributeur
Salam,
Tout le monde sait que l'on ne met pas fin au chômage ou à la précarité d'un coup de baguette magique.
Une bonne question :
Des tours de piste d'échauffement fiévreux en prévision d'une prochaine course solennelle ? ? ?


salam

c'est pour trouver du travail qu'ils fond ça...c'est pas comme ça que ça va avancer.

j'ai pas compris ta question,lol
 
B

blagheurt

Non connecté
Salam,
Le 20 Février approche, probablement il faudra le fêter par un défilé, donc s'échauffer en dégourdissant les jambes par des tours de pistes d'entrainement ? ? ? ...
 

petitbijou

Casablanca d'antan
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tous ça a cause du système , c'est le premier responsable .

Monsieur est en train de faire le tour du maroc , 2M et RTM nous cassent les pieds avec ses soit disons inaugurations , sa fait 11 ans qu'il fait ces sorties médiatique on a rien vu , le peuple est de plus en plus pauvre , les gens sont de plus en plus désespéré ,

mais c'est quoi ce bled , la hawla wa 9wata ila bilah .


ewa baz 8ada may9ol lwa7ed :prudent:
 

petitbijou

Casablanca d'antan
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Salam,
Le 20 Février approche, probablement il faudra le fêter par un défilé, donc s'échauffer en dégourdissant les jambes par des tours de pistes d'entrainement ? ? ? ...
et cela ne m'étonnerait pas..

tu crois qu'à commencer par moi, on aimerait pas avoir un poste tranquil dans la fonction publique, cnss garantie, mutuelle garantie, retraite garantie et surtout je me gratterais les C..... même si j'en ai pas toute la journée..c'est bien de l'administration dans sa globalité dont on se plaint et ces gens là veulent l'intégrer pour son laxisme et la sécurité qu'offre pas le secteur privé, pendant que des millions triment, et vivent dans un stress permanent, se réveille le matin en se disant est ce que j'aurais encore mon poste aujourd'hui ou pas..c'est trop facil de manifester et réclamer des choses incensées et purement égoiste..je trouve cela d'un manque de respect total pour ceux qui bossent dans le privé, quand tu es face au porte parole du gouvernement qui parle des étapes que le gouvernement compte mettre en place pour améliorer le code du travail, et t'as le porte parole des chômeurs qui lui répond, on vous parle de fonction publique le privé machi lmouchkil dialna..pchack pour la lutte juste..la connerie de l'humain ne cessera de m'étonner!
 

petitbijou

Casablanca d'antan
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150 blessés lors d'affrontements à Taza, appel au calme du gouvernement

Quelque 150 personnes, des policiers et des civils, ont été blessées lors d'affrontements à Taza, au nord-est du Maroc, a indiqué vendredi à l'AFP une source hospitalière, les autorités appelant au "dialogue" et "au calme".

Entre 150 et 160 personnes, membres des forces de l'ordre et manifestants, ont été blessées lors de ces affrontements qui ont commencé à partir de mercredi, a indiqué vendredi à l'AFP une source hospitalière.

Plusieurs journaux nationaux ont fait état vendredi de ces affrontements souvent violents, sur fond de problèmes sociaux et de chômage des jeunes, entre la population et les forces de l'ordre.

Ces journaux montraient en Une des photos de véhicules incendiés sur fond de fumée et des édifices publics endommagés à Taza.

Le gouvernement tente de calmer le jeu alors que la tension restait assez vive dans cette localité.

"Le calme règne à Taza et l'on s'achemine vers un contrôle de la situation. Les autorités sont concernées par le maintien de l'ordre et la prise en considération des revendications légitimes de la population", a ainsi déclaré vendredi à l'AFP le porte-parole et ministre de la communication Mustapha Khalfi.

"Le dialogue est l'unique moyen pour résoudre ces problèmes. Autant le droit de manifester pacifiquement est garanti autant le respect des édifices publics doit être assuré", a ajouté M. Khalfi.

Au Fait
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
salam

il faut que quelqu'un leur parlent...qui les raisonnent.
raisonnent?? ne sont ils pas assez instruits au point de réclamer des fonctions dans le public? nul besoin d'être raisonnés quand on prétend être instruit on sait qu'un gouvernement fraichement élu et qui vient de prendre ses fonctions ne peut changer la donne d'un claquement de main dans des circonstances économique MONDIALES aussi difficile..
 

petitbijou

Casablanca d'antan
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Taza renoue avec la violence

Taza renoue avec la tension. Après les incidents du 4 janvier, la ville a connu, dans l’après-midi du mercredi, une reprise des affrontements entre les forces de l’ordre et des manifestants. «  C’est l’arrestation, lundi, de quatre jeunes et d’un mineur qui a mis le feu à la poudrière ; des jeunes accusés d’avoir incendié des véhicules et volé du matériel de télécommunication de la police. Des accusations liées aux événements qu’a connus la ville, un mois auparavant», nous rapporte Mohamed Chbairi, président de la section locale de l’AMDH.
Précipitation

La réaction des familles des mis en cause, ne s’est pas fait attendre. «Il faut dire que l’attitude des autorités a nettement favorisé le déclenchement des échauffourées. Et pour cause, ces arrestations sont effectuées en toute illégalité : aucune convocation à la police, aucune consultation de l’avocat et sans aviser les familles que leurs enfants sont en détention provisoire et leur indiquer le lieu de leur incarcération», poursuit Chbairi. C’est justement ce dernier point qui a exacerbé davantage les tensions à Taza. Pour forcer les autorités à révéler l’endroit, les familles ont entrepris mardi des marches au tribunal de première instance, à la Cour d’appel et à la prison. Des sit-in sont également organisés devant le siège de la police. Ce climat de tension s’est poursuivi le mercredi avec à la clé des affrontements entre les jeunes du quartier El Koucha et les forces de l’ordre. Notre interlocuteur, à défaut d’informations exactes, évite d’avancer qu’il y ait eu des arrestations. La mobilisation des familles a eu raison du refus des autorités de révéler le lieu de détention des jeunes arrêtés lundi. « Mercredi vers 19 heures , après deux jours d’attente, les premières informations commencent à tomber. Le procureur instruit le dossier, il accorde la liberté provisoire aux mineurs et fixe la date de la première audience du procès : jeudi 2 février à 9 heures. Une audience qui a eu lieu comme prévu en présence d’un seul avocat, trois autres n’ont pu arriver à temps. Dans la précipitation, la cour a reporté l’affaire au 9 février et refusé d’accorder la liberté provisoire aux quatre détenus», nous explique Mohamed Chbairi, président de la section locale de l’AMDH. Autre incident : l’arrestation, vendredi dernier, de cinq jeunes ayant participé à des manifestations contre la fédération royale de football, survenues juste après la défaite du Onze national face à la sélection gabonaise. Une affaire qui est portée devant la justice. Le tribunal de première instance de la ville l’examinera le 8 février. C’est dire que les «  ingrédients » d’un déclenchement éventuel d’affrontements entre jeunes et forces de l’ordre sont suffisamment présents. ◆

Le Soir Echos
 

madalena

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raisonnent?? ne sont ils pas assez instruits au point de réclamer des fonctions dans le public? nul besoin d'être raisonnés quand on prétend être instruit on sait qu'un gouvernement fraichement élu et qui vient de prendre ses fonctions ne peut changer la donne d'un claquement de main dans des circonstances économique MONDIALES aussi difficile..


salam

vu ce qu'il se passe...ils sont peut être sous l'emprise de la colère et là le raisonnement n'y est pas.
il laisse pas le temps au nouveau gouvernement de faire ces preuves.
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
salam

vu ce qu'il se passe...ils sont peut être sous l'emprise de la colère et là le raisonnement n'y est pas.
il laisse pas le temps au nouveau gouvernement de faire ces preuves.
quelle colère stp??

quand tu vois des gens qui bossent et ne peuvent pas se permettre ni de se marier ni de fonder une famille et en face tu as ces chômeurs qui sont mariés et ont des gosses..cherchons l'erreur on demande qui sont les mieux lotis dans ce lot d'injustice sociale :prudent:
 
et cela ne m'étonnerait pas..

tu crois qu'à commencer par moi, on aimerait pas avoir un poste tranquil dans la fonction publique, cnss garantie, mutuelle garantie, retraite garantie et surtout je me gratterais les C..... même si j'en ai pas toute la journée..c'est bien de l'administration dans sa globalité dont on se plaint et ces gens là veulent l'intégrer pour son laxisme et la sécurité qu'offre pas le secteur privé, pendant que des millions triment, et vivent dans un stress permanent, se réveille le matin en se disant est ce que j'aurais encore mon poste aujourd'hui ou pas..c'est trop facil de manifester et réclamer des choses incensées et purement égoiste..je trouve cela d'un manque de respect total pour ceux qui bossent dans le privé, quand tu es face au porte parole du gouvernement qui parle des étapes que le gouvernement compte mettre en place pour améliorer le code du travail, et t'as le porte parole des chômeurs qui lui répond, on vous parle de fonction publique le privé machi lmouchkil dialna..pchack pour la lutte juste..la connerie de l'humain ne cessera de m'étonner!


les tiens, petitbijou je viendrais les gratter volontier et ne ne te fais pas payer... MDR :D

soyons sérieux, à Taza une équipe de zonards manifestent tous les jours. La police n'allait même voir ce qui se passe. Petit à petit sont passé à l'échelle de dessus et voilà le résultat. On ne se comporte pas avec les arabes comme en Europe.

En France, une manifestation sans autorisation est dispersé par les CRS à coup de bâtons, arrestations poursuites judiciaires etc il vaut mieux ne pas se trouver dans cette foule.

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madalena

Contributeur
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quelle colère stp??

quand tu vois des gens qui bossent et ne peuvent pas se permettre ni de se marier ni de fonder une famille et en face tu as ces chômeurs qui sont mariés et ont des gosses..cherchons l'erreur on demande qui sont les mieux lotis dans ce lot d'injustice sociale :prudent:


salam

c'est le contraire...tu crois que c'est fait exprès?
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
les tiens, petitbijou je viendrais les gratter volontier et ne ne te fais pas payer... MDR :D

soyons sérieux, à Taza une équipe de zonards manifestent tous les jours. La police n'allait même voir ce qui se passe. Petit à petit sont passé à l'échelle de dessus et voilà le résultat. On ne se comporte pas avec les arabes comme en Europe.

En France, une manifestation sans autorisation est dispersé par les CRS à coup de bâtons, arrestations poursuites judiciaires etc il vaut mieux ne pas se trouver dans cette foule.

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y a un vieil adage qui dit : al a3ssa limane a3ssa je vois que c'est appliqué en France aussi :D
 

petitbijou

Casablanca d'antan
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Une agitation sociale qui tourne au drame : Violences tous azimuts à Taza


Une agitation sociale qui tourne au drame : Violences tous azimuts à Taza
C’est la troisième fois que de simples sit-in et manifestations dégénèrent en émeutes à Taza. Mercredi, le sit-in observé devant le tribunal de première instance, en solidarité avec les cinq détenus suite aux événements du 4 janvier dernier, s’est transformé en une manifestation. Le mineur du groupe des cinq détenus sera libéré, mais les autres vont être incarcérés, sans possibilité d’obtenir une liberté provisoire. La grogne est montée d’un cran parmi les manifestants qui se sont dirigés vers la Cour d’appel, puis en direction du quartier populaire de Koucha.
Là, le caractère pacifique de la manifestation a dégénéré pour prendre la forme d’une émeute. L’affrontement a été d’une violence sans précédent. Le face-à-face entre des groupes de jeunes, notamment, et les forces de l’ordre s’est étendu au quartier avoisinant d’Aharrach où les scènes de violence ont continué jusqu’à deux heures du matin. Prévisibles, les causes qui ont engendré les deux premières émeutes n’ont pas été résolues.
Les responsables de la ville ont adopté le même comportement.
Le dialogue et les médiations n’ont pas eu lieu. Les autorités se sont encore une fois retrouvées directement face aux jeunes de la ville. Des dizaines de blessés des deux côtés. Selon un acteur de l’Association marocaine des droits de l’Homme (AMDH), la présence en masse des émeutiers a nécessité l’arrivée des renforts sécuritaires de Fès, Hoceima et Guercif. Une énième leçon pour les autorités et leur approche sécuritaire.
Le gouverneur de la ville qui était censé œuvrer dans le sens de l’apaisement, n’a rien fait. Sa tête était depuis le 5 janvier réclamée par des manifestants.
Il faut dire que la cause des jeunes licenciés chômeurs et des membres de l’Association nationale des diplômés chômeurs n’étaient que la goutte qui a fait déborder le vase. La ville vivait, en effet, depuis longtemps au rythme d’interminables problèmes sociaux. Les factures « gonflées » d’eau et d’électricité avaient provoqué la colère des citoyens.

http://www.libe.ma/Une-agitation-so...ame-Violences-tous-azimuts-a-Taza_a24878.html
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Une agitation sociale qui tourne au drame : Violences tous azimuts à Taza


Une agitation sociale qui tourne au drame : Violences tous azimuts à Taza
C’est la troisième fois que de simples sit-in et manifestations dégénèrent en émeutes à Taza. Mercredi, le sit-in observé devant le tribunal de première instance, en solidarité avec les cinq détenus suite aux événements du 4 janvier dernier, s’est transformé en une manifestation. Le mineur du groupe des cinq détenus sera libéré, mais les autres vont être incarcérés, sans possibilité d’obtenir une liberté provisoire. La grogne est montée d’un cran parmi les manifestants qui se sont dirigés vers la Cour d’appel, puis en direction du quartier populaire de Koucha.
Là, le caractère pacifique de la manifestation a dégénéré pour prendre la forme d’une émeute. L’affrontement a été d’une violence sans précédent. Le face-à-face entre des groupes de jeunes, notamment, et les forces de l’ordre s’est étendu au quartier avoisinant d’Aharrach où les scènes de violence ont continué jusqu’à deux heures du matin. Prévisibles, les causes qui ont engendré les deux premières émeutes n’ont pas été résolues.
Les responsables de la ville ont adopté le même comportement.
Le dialogue et les médiations n’ont pas eu lieu. Les autorités se sont encore une fois retrouvées directement face aux jeunes de la ville. Des dizaines de blessés des deux côtés. Selon un acteur de l’Association marocaine des droits de l’Homme (AMDH), la présence en masse des émeutiers a nécessité l’arrivée des renforts sécuritaires de Fès, Hoceima et Guercif. Une énième leçon pour les autorités et leur approche sécuritaire.
Le gouverneur de la ville qui était censé œuvrer dans le sens de l’apaisement, n’a rien fait. Sa tête était depuis le 5 janvier réclamée par des manifestants.
Il faut dire que la cause des jeunes licenciés chômeurs et des membres de l’Association nationale des diplômés chômeurs n’étaient que la goutte qui a fait déborder le vase. La ville vivait, en effet, depuis longtemps au rythme d’interminables problèmes sociaux. Les factures « gonflées » d’eau et d’électricité avaient provoqué la colère des citoyens.

http://www.libe.ma/Une-agitation-so...ame-Violences-tous-azimuts-a-Taza_a24878.html
une partie du commentaire d'un résidant


Encore pire, ces agitateurs ont procédé au blocage de la circulation en dressant des barricades et en brulant des pneus et de branches d'arbres.

Ces scènes de violences ont été accentuées après l'enlèvement d'un misérable policier qui y'a été attaqué par des pierres, des armes blanches et des hraouas par une dizaine de jeunes, comme si c'était un serpent, et qui sans l'intervention suicidaires de policiers en civil, il allait être décapité par ses agresseurs.

Non loin de là, une foule enragée, apparemment agissant sous l'effet du karkoubi, a attaqué des policiers qui étaient à bord d'une estafette par des cocktails Molotov voulant ainsi les bruler vifs. Une barbarie, allah yastar, mêmes les israéliens ne pouvaient commettre.
 
j'aime bien petitbijou qui dialogue avec elle méme toute la journé ou avec madalena , qu'est la méme , seule change , déconnexion et connexion avec autre pseudo.
 
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