Salam,
Je dois dire que j'ai un certain degré "d'admiration" à l'égard de celles et ceux ne possédant aucune croyance en l'au-delà et qui continuent à mener leur existence en surmontant les épreuves qui se présentent à eux. Celles et ceux qui imaginent la mort comme la fin définitive d'une existence. Celles et ceux qui se disent qu'une fois leurs corps éteints, il ne se passera plus jamais rien et que bientôt la terre (et les mémoires des individus) ne contiendra plus aucune trace de leur passage.
Tout d'abord, je serais terrifié à l'idée qu'à mon décès ce soit un trou noir qui s'applique, qu'il n'y aurait plus rien, que mon avenir se limite à ma courte existence terrestre et qu'une fois celle-ci échue, la vie sur terre continuerait comme si je n'avais jamais existé, que personne ne se rappellerait bientôt de moi et que mon existence n'aura donc eu aucune utilité.
Je crois bien qu'à la moindre dépression, au moindre premier gros soucis je déraillerais. A quoi bon garder espoir, croire en un avenir qui n'existe pas, continuer à espérer, attendre des jours meilleurs alors que je n'aurais aucune foi, aucune croyance pour me réconcilier avec la vie, que je n'aurais aucun Dieu pour m'aider à combattre contre mes peines et à les relativiser en les percevant différemment et en pensant au futur, à la vraie vie que constitue celle qui débute après la mort.
Soit le suicide serait fatalement le choix pour lequel j'opterais soit je dériverais vers l'illégalité en me disant, à quoi bon mener une vie bien terne où rien d'exceptionnel ne se produit, où je n'aime ni mon travail ni mes collègues, où je lutte au quotidien pour survivre et continuer à mener une existence misérable qui me déplaît.
Pourquoi ne pas tenter de m'enrichir afin de voyager, de goûter aux plaisirs de la vie (qui est donc si courte et qui arrivera bientôt à son terme). Pourquoi me résoudre à suivre des lois qui me brident dans mon existence et qui ont été conçues par ceux désirant profiter de la vie à ma place. Pourquoi m'astreindre au respect de ce qui limite mon être, de ce qui m'empêche d'avoir accès au réel bonheur, au seul bonheur existant qui est celui de satisfaire ses sens, son goût pour le voyage, pour les femmes, pour le pouvoir.
Si la religion n'existait pas, quel serait l'état du monde. On accuse bien souvent celle-ci de tous les torts possibles mais heureusement que la croyance en Dieu permet d'éloigner, bon nombre d'entre-nous, de chemins tortueux qui rendraient la vie infernale pour la majorité des gens. En ce qui me concerne, je crois bien que je serais déjà mort si je n'avais pas la foi qui me permet de tenir au quotidien :
C'est une chose d'avoir un certain confort matériel en comparaison avec la majorité des résidents de la planète mais le matériel ne suffit pas à lui seul à procurer le bonheur, à dispenser du bien-être et à permettre à ce que l'espoir, la motivation s'imprègnent dans l'esprit de quelqu'un.
Je dois dire que j'ai un certain degré "d'admiration" à l'égard de celles et ceux ne possédant aucune croyance en l'au-delà et qui continuent à mener leur existence en surmontant les épreuves qui se présentent à eux. Celles et ceux qui imaginent la mort comme la fin définitive d'une existence. Celles et ceux qui se disent qu'une fois leurs corps éteints, il ne se passera plus jamais rien et que bientôt la terre (et les mémoires des individus) ne contiendra plus aucune trace de leur passage.
Tout d'abord, je serais terrifié à l'idée qu'à mon décès ce soit un trou noir qui s'applique, qu'il n'y aurait plus rien, que mon avenir se limite à ma courte existence terrestre et qu'une fois celle-ci échue, la vie sur terre continuerait comme si je n'avais jamais existé, que personne ne se rappellerait bientôt de moi et que mon existence n'aura donc eu aucune utilité.
Je crois bien qu'à la moindre dépression, au moindre premier gros soucis je déraillerais. A quoi bon garder espoir, croire en un avenir qui n'existe pas, continuer à espérer, attendre des jours meilleurs alors que je n'aurais aucune foi, aucune croyance pour me réconcilier avec la vie, que je n'aurais aucun Dieu pour m'aider à combattre contre mes peines et à les relativiser en les percevant différemment et en pensant au futur, à la vraie vie que constitue celle qui débute après la mort.
Soit le suicide serait fatalement le choix pour lequel j'opterais soit je dériverais vers l'illégalité en me disant, à quoi bon mener une vie bien terne où rien d'exceptionnel ne se produit, où je n'aime ni mon travail ni mes collègues, où je lutte au quotidien pour survivre et continuer à mener une existence misérable qui me déplaît.
Pourquoi ne pas tenter de m'enrichir afin de voyager, de goûter aux plaisirs de la vie (qui est donc si courte et qui arrivera bientôt à son terme). Pourquoi me résoudre à suivre des lois qui me brident dans mon existence et qui ont été conçues par ceux désirant profiter de la vie à ma place. Pourquoi m'astreindre au respect de ce qui limite mon être, de ce qui m'empêche d'avoir accès au réel bonheur, au seul bonheur existant qui est celui de satisfaire ses sens, son goût pour le voyage, pour les femmes, pour le pouvoir.
Si la religion n'existait pas, quel serait l'état du monde. On accuse bien souvent celle-ci de tous les torts possibles mais heureusement que la croyance en Dieu permet d'éloigner, bon nombre d'entre-nous, de chemins tortueux qui rendraient la vie infernale pour la majorité des gens. En ce qui me concerne, je crois bien que je serais déjà mort si je n'avais pas la foi qui me permet de tenir au quotidien :
C'est une chose d'avoir un certain confort matériel en comparaison avec la majorité des résidents de la planète mais le matériel ne suffit pas à lui seul à procurer le bonheur, à dispenser du bien-être et à permettre à ce que l'espoir, la motivation s'imprègnent dans l'esprit de quelqu'un.