droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Sid Ahmed Ghlam a été pris vivant . Ce thread a pour but de compiler les éléments d'enquête et la nébuleuse gravitant autour du jeune homme. Il est à ce jour mutique et entouré de 3 avocats.
Dans son entourage proche Emilie L. vient de sortir de garde à vue :
Emilie L., âgée de 25 ans, a été interpellée mercredi à Saint-Dizier, en Haute-Marne, où est installée la famille de Sid Ahmed Ghlam, suspect numéro 1 de l'attentat déjoué à Villejuif. Elle est accusée d'avoir joué un rôle dans l'attaque que préparait l'étudiant algérien contre des églises catholiques. La jeune femme a été relâchée à l'issue de sa garde à vue.
Certains médias l'avaient présenté dans un premier temps comme la compagne du suspect de l'attentat avorté de Villejuif, Sid Ahmed Ghlam. En realité, le degré de proximité d'Emilie L. avec le suspect n'est pas très clair. Elle aurait envisagé sérieusement de se marier avec Sid Ahmed Ghlam mais la famille du suspect s'opposait à cette union. "Elle est tombée amoureuse de mon frère, mais ni lui ni nos parents n'ont voulu qu'ils se marient, parce qu'elle avait déjà deux garçons, âgés de 4 et 6 ans", explique Hind, soeur de Sid Ahmed Ghlam, citée par Le Parisien.
Emilie L. est en tout cas considérée comme très proche de Sid Ahmed Ghlam. Si proche que les enquêteurs ont découvert dans son appartement à Saint-Dizier des clés de chiffrement permettant de communiquer sans éveiller les soupçons des autorités en cas de surveillance policière.
Relâchée à l'issue de la garde à vue
Masquée sous le prénom de Jennifer dans le répertoire de Sid Ahmed Ghlam, Emilie, 25 ans était convertie à l'islam et portait le voile intégral. Selon Le Parisien, la jeune femme avait même été verbalisée il y a quelques mois pour avoir porté ce vêtement sur la voie publique. Pour autant la jeune femme aurait affirmé devant les enquêteurs avoir aujourd'hui une approche "moins radicale" de la religion.
Mise en garde à vue mercredi pour éclaircir son rôle dans l'attentat avorté contre des églises catholiques à Villejuif, la jeune femme a été relâchée à l'issue de sa garde à vue.
Qui est Emilie, complice présumée de Sid Ahmed Ghlam? - leJDD.fr
Son arrestation :
Attentat évité à Villejuif : enquête sur la mystérieuse amie à la burqa
C'est d'abord une jeune femme vociférante à laquelle les policiers ont eu affaire. Lors de son interpellation, mercredi, au petit matin, Emilie L., 25 ans, a copieusement insulté les fonctionnaires de la brigade de recherche et d'intervention (BRI), venus la cueillir au saut du lit dans sa maison de Saint-Dizier (Haute-Marne).
Attentat évité à Villejuif : les secrets d'un projet téléguidé
Jeudi, c'est un visage plus adouci que cette convertie à l'islam depuis deux ans a montré aux enquêteurs de la section antiterroriste (SAT) de la brigade criminelle, chargés de déterminer la nature de ses liens avec Sid Ahmed Ghlam.
Selon les premières investigations, les deux amis communiquaient ensemble, selon le principe du circuit fermé, grâce à un téléphone portable réservé à leurs échanges. Chez elle, les enquêteurs ont trouvé des éléments intrigants, notamment un code manuscrit destiné à décrypter des messages.
Emilie L. -- masquée sous le prénom de Jennifer dans le répertoire de ce fameux portable -- a confié qu'elle envisageait sérieusement de se marier avec Sid Ahmed Ghlam. Une future alliance largement dénoncée par la famille du suspect. A commencer par sa soeur, Hind. « Elle est tombée amoureuse de mon frère, mais ni lui ni nos parents n'ont voulu qu'ils se marient, parce qu'elle avait déjà deux garçons, âgés de 4 et 6 ans », explique-t-elle, avant de poursuivre : « Elle vient de Brest, où elle s'est convertie à l'islam. Elle est venue sans la burqa, mais ensuite elle est repartie à Brest et quand elle est rentrée à Saint-Dizier, elle portait la burqa. » Le port ostensible sur la voie publique de ce « vêtement » qui voile, de la tête au pied, la jeune femme lui vaudra d'ailleurs, il y a quelques mois, d'être verbalisée...
Des visites à la nuit tombée
Selon nos informations, Emilie L., un temps en difficulté pour trouver un logement après avoir dû quitter le domicile familial, aurait expliqué aux enquêteurs avoir, désormais, une approche « moins radicale » de la religion.
Mais à Saint-Dizier, cette jeune femme n'apparaissait jamais sans son voile intégral, les mains gantées. Elle sortait peu, « sauf pour aller chercher ses enfants à l'école », témoigne encore une voisine. Installée depuis quelques mois seulement dans le quartier Vert-Bois, elle y vit cloîtrée. « Les volets étaient toujours fermés et elle sortait tout encapuchonnée », raconte une riveraine, étonnée de n'avoir jamais vu que les yeux d'Emilie. « Je l'ai vue une fois sans son voile, c'est une belle poupée », selon Annick.
Emilie est entrée dans la vie de Sid Ahmed, parce qu'elle était « une de mes copines », raconte encore Hind, la soeur du terroriste présumé. Les deux sont dorénavant « fâchées ».
D'après le voisinage, Emilie recevait parfois des visites. « On voyait des hommes arriver à la nuit tombée, mais pas un homme en particulier... La maison restait tout le temps fermée. » L'insondable jeune femme aurait reçu la visite de la police voici quelques semaines. « Ils sont venus plusieurs fois, les policiers », assure une vieille dame demeurant tout près de chez Emilie. Elle ne leur a même pas ouvert.
Dans son entourage proche Emilie L. vient de sortir de garde à vue :
Emilie L., âgée de 25 ans, a été interpellée mercredi à Saint-Dizier, en Haute-Marne, où est installée la famille de Sid Ahmed Ghlam, suspect numéro 1 de l'attentat déjoué à Villejuif. Elle est accusée d'avoir joué un rôle dans l'attaque que préparait l'étudiant algérien contre des églises catholiques. La jeune femme a été relâchée à l'issue de sa garde à vue.
Certains médias l'avaient présenté dans un premier temps comme la compagne du suspect de l'attentat avorté de Villejuif, Sid Ahmed Ghlam. En realité, le degré de proximité d'Emilie L. avec le suspect n'est pas très clair. Elle aurait envisagé sérieusement de se marier avec Sid Ahmed Ghlam mais la famille du suspect s'opposait à cette union. "Elle est tombée amoureuse de mon frère, mais ni lui ni nos parents n'ont voulu qu'ils se marient, parce qu'elle avait déjà deux garçons, âgés de 4 et 6 ans", explique Hind, soeur de Sid Ahmed Ghlam, citée par Le Parisien.
Emilie L. est en tout cas considérée comme très proche de Sid Ahmed Ghlam. Si proche que les enquêteurs ont découvert dans son appartement à Saint-Dizier des clés de chiffrement permettant de communiquer sans éveiller les soupçons des autorités en cas de surveillance policière.
Relâchée à l'issue de la garde à vue
Masquée sous le prénom de Jennifer dans le répertoire de Sid Ahmed Ghlam, Emilie, 25 ans était convertie à l'islam et portait le voile intégral. Selon Le Parisien, la jeune femme avait même été verbalisée il y a quelques mois pour avoir porté ce vêtement sur la voie publique. Pour autant la jeune femme aurait affirmé devant les enquêteurs avoir aujourd'hui une approche "moins radicale" de la religion.
Mise en garde à vue mercredi pour éclaircir son rôle dans l'attentat avorté contre des églises catholiques à Villejuif, la jeune femme a été relâchée à l'issue de sa garde à vue.
Qui est Emilie, complice présumée de Sid Ahmed Ghlam? - leJDD.fr
Son arrestation :
Attentat évité à Villejuif : enquête sur la mystérieuse amie à la burqa
C'est d'abord une jeune femme vociférante à laquelle les policiers ont eu affaire. Lors de son interpellation, mercredi, au petit matin, Emilie L., 25 ans, a copieusement insulté les fonctionnaires de la brigade de recherche et d'intervention (BRI), venus la cueillir au saut du lit dans sa maison de Saint-Dizier (Haute-Marne).
Attentat évité à Villejuif : les secrets d'un projet téléguidé
Jeudi, c'est un visage plus adouci que cette convertie à l'islam depuis deux ans a montré aux enquêteurs de la section antiterroriste (SAT) de la brigade criminelle, chargés de déterminer la nature de ses liens avec Sid Ahmed Ghlam.
Selon les premières investigations, les deux amis communiquaient ensemble, selon le principe du circuit fermé, grâce à un téléphone portable réservé à leurs échanges. Chez elle, les enquêteurs ont trouvé des éléments intrigants, notamment un code manuscrit destiné à décrypter des messages.
Emilie L. -- masquée sous le prénom de Jennifer dans le répertoire de ce fameux portable -- a confié qu'elle envisageait sérieusement de se marier avec Sid Ahmed Ghlam. Une future alliance largement dénoncée par la famille du suspect. A commencer par sa soeur, Hind. « Elle est tombée amoureuse de mon frère, mais ni lui ni nos parents n'ont voulu qu'ils se marient, parce qu'elle avait déjà deux garçons, âgés de 4 et 6 ans », explique-t-elle, avant de poursuivre : « Elle vient de Brest, où elle s'est convertie à l'islam. Elle est venue sans la burqa, mais ensuite elle est repartie à Brest et quand elle est rentrée à Saint-Dizier, elle portait la burqa. » Le port ostensible sur la voie publique de ce « vêtement » qui voile, de la tête au pied, la jeune femme lui vaudra d'ailleurs, il y a quelques mois, d'être verbalisée...
Des visites à la nuit tombée
Selon nos informations, Emilie L., un temps en difficulté pour trouver un logement après avoir dû quitter le domicile familial, aurait expliqué aux enquêteurs avoir, désormais, une approche « moins radicale » de la religion.
Mais à Saint-Dizier, cette jeune femme n'apparaissait jamais sans son voile intégral, les mains gantées. Elle sortait peu, « sauf pour aller chercher ses enfants à l'école », témoigne encore une voisine. Installée depuis quelques mois seulement dans le quartier Vert-Bois, elle y vit cloîtrée. « Les volets étaient toujours fermés et elle sortait tout encapuchonnée », raconte une riveraine, étonnée de n'avoir jamais vu que les yeux d'Emilie. « Je l'ai vue une fois sans son voile, c'est une belle poupée », selon Annick.
Emilie est entrée dans la vie de Sid Ahmed, parce qu'elle était « une de mes copines », raconte encore Hind, la soeur du terroriste présumé. Les deux sont dorénavant « fâchées ».
D'après le voisinage, Emilie recevait parfois des visites. « On voyait des hommes arriver à la nuit tombée, mais pas un homme en particulier... La maison restait tout le temps fermée. » L'insondable jeune femme aurait reçu la visite de la police voici quelques semaines. « Ils sont venus plusieurs fois, les policiers », assure une vieille dame demeurant tout près de chez Emilie. Elle ne leur a même pas ouvert.
