TGV: Les vrais chiffres de la polémique

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Après le retrait de Aziz Rabbah, ministre de l’Equipement et du Transport, de la rencontre avec le collectif associatif sur le TGV, il a tenu, deux jours après, une deuxième conférence, samedi dernier à Rabat. L’objectif est d’expliquer les causes de son repli et démonter «les informations erronées, véhiculées par le collectif». Rabbah a été on ne peut plus clair. Pour lui, «la communication régulière avec l’opinion publique est une tradition du gouvernement. Tous les projets lancés appartiennent au peuple, qui a le droit d’être informé sur leur contenu et leur état d’avancement, à travers les parlementaires, mais aussi de la société civile. Toutefois, le débat doit avoir lieu dans un esprit de respect mutuel». Evoquant le contenu de l’article de presse qui a déclenché cette polémique, le ministre a noté qu’il «ne peut accepter aucun dépassement, ni tolérer que le projet et ses porteurs soient insultés». Il considère qu’il est «normal que ce projet fasse l’objet de critiques et de résistance, comme cela a été le cas dans les années 60 pour la politique des barrages, dans les années 80 pour les autoroutes, et dans les années 90 pour la privatisation».

http://www.leconomiste.com/article/893640-tgv-les-vrais-chiffres-de-la-pol-mique
 
Après le retrait de Aziz Rabbah, ministre de l’Equipement et du Transport, de la rencontre avec le collectif associatif sur le TGV, il a tenu, deux jours après, une deuxième conférence, samedi dernier à Rabat. L’objectif est d’expliquer les causes de son repli et démonter «les informations erronées, véhiculées par le collectif». Rabbah a été on ne peut plus clair. Pour lui, «la communication régulière avec l’opinion publique est une tradition du gouvernement. Tous les projets lancés appartiennent au peuple, qui a le droit d’être informé sur leur contenu et leur état d’avancement, à travers les parlementaires, mais aussi de la société civile. Toutefois, le débat doit avoir lieu dans un esprit de respect mutuel». Evoquant le contenu de l’article de presse qui a déclenché cette polémique, le ministre a noté qu’il «ne peut accepter aucun dépassement, ni tolérer que le projet et ses porteurs soient insultés». Il considère qu’il est «normal que ce projet fasse l’objet de critiques et de résistance, comme cela a été le cas dans les années 60 pour la politique des barrages, dans les années 80 pour les autoroutes, et dans les années 90 pour la privatisation».

http://www.leconomiste.com/article/893640-tgv-les-vrais-chiffres-de-la-pol-mique

mais c esr vraiment une cata ce rabbah

incapable de prendre des decisions, en ce qui concerne votre temps devant les cameras que je trouve un peu exagere..normalement il faut nommer un agent de communication du ministere
On veut des ACTIONS pour:
- grimattes
- rimal
- TGV

Sinon laisses les projets en etude au lieu...il y a un bon exemple ds les cours de managment
" CONDUIRE UNE VOITURE SUR LA ROUTE EN REGARDANT DANS LE RETROVISEUR"
 
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