Ça va durer .
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Au terminal 2 de l’aéroport Charles-de-Gaulle, le plus grand calme régnait samedi 14 novembre, au lendemain des attentats qui ont endeuillé Paris. Pourtant, les attaques terroristes ont des conséquences indirectes sur le fonctionnement du terminal. Une file interminable de passagers en partance s’étire dans le hall de l’aérogare. « En raison de la réintroduction du contrôle aux frontières, tous les passagers doivent passer par le contrôle des passeports, et l’aéroport n’est pas dimensionné pour cela », explique Christophe Lamartinie, chef d’escale de la Lufthansa à Roissy. Les passagers, comme ce groupe de Chinois en transit pour l’Allemagne, doivent prendre leur mal en patience. « Une à deux heures de queue car, en plus, les vols ont été retardés à cause des mesures de sécurité renforcées », ajoute Corine, employée au comptoir de la compagnie grecque Agean.
lemonde.fr
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Au terminal 2 de l’aéroport Charles-de-Gaulle, le plus grand calme régnait samedi 14 novembre, au lendemain des attentats qui ont endeuillé Paris. Pourtant, les attaques terroristes ont des conséquences indirectes sur le fonctionnement du terminal. Une file interminable de passagers en partance s’étire dans le hall de l’aérogare. « En raison de la réintroduction du contrôle aux frontières, tous les passagers doivent passer par le contrôle des passeports, et l’aéroport n’est pas dimensionné pour cela », explique Christophe Lamartinie, chef d’escale de la Lufthansa à Roissy. Les passagers, comme ce groupe de Chinois en transit pour l’Allemagne, doivent prendre leur mal en patience. « Une à deux heures de queue car, en plus, les vols ont été retardés à cause des mesures de sécurité renforcées », ajoute Corine, employée au comptoir de la compagnie grecque Agean.
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